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P.C.F. - CLIP N°3

- Sous-titreTROIS TÉMOIGNAGES ENREGISTRES AU SIÈGE DU P.C.F.
- Réalisateur.ice.sANONYME
- Année(s)1990 environ
- Durée00:02:00
- ColorationCouleur
- FormatUmatic
- SonSonore

Enseignement Collège Chômage Économie (organisation)Industrie automobile

Dans ce très bref reportage non daté tourné au siège du Parti communiste Place du Colonel Fabien, trois personnes témoignent des difficultés constatées sur des plans professionnels ou politiques.
Gilbert Chollier du Conseil économique et social du Parti communiste évoque l'exportation des capitaux à l'étranger. Martine Petremann, professeur en collège, dénonce la sélection massive qui sévit au collège et à l'entrée en seconde. Jean-Louis Fournier de la Régie Renault décrit la suppression de 21000 emplois depuis 1981 et les licenciements encore prévus.

Concernant la date du document, ce Clip n°3 fait suite au Clip n°1 (1986) et au Clip n°2 (1989). Il s'agit probablement du début des années 90.

Personnalité : Fournier Jean-Louis
Lieu : Espace Niemeyer, siège du Parti communiste français, Place du Colonel Fabien (Paris 19e)
Descripteurs : Crise économique, Sélection scolaire

Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, BNF

Time code départ
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Time code fin
00:00:24:00

Durée 00:00:24:00

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Gilbert Chollier, du Conseil économique et social du Parti communiste, dénonce l'exportation des capitaux à l'étranger par les patrons, notamment au Japon.

Time code départ
00:00:24:01

Time code fin
00:00:51:00

Durée 00:00:26:24

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Martine Petremann, professeur au CES Goussainville : ils ont 14 classes de 5ème et 7 de 4ème : 1 élève sur 2 passe dans la classe supérieure (idem de la 3ème à la seconde). Elle regrette cette sélection, elle sait que les élèves sont capables de faire des choses.

Time code départ
00:00:51:01

Time code fin
00:01:09:00

Durée 00:00:17:24

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Jean-Louis Fournier, Régie Renault, syndicaliste. Les salariés ont vu leur pouvoir d'achat amputé de 10%, il y a eu 21000 emplois supprimés depuis 1981 et la situation risque de se dégrader encore (4000 licenciements et 9000 suppressions d'emploi prévus). Fin brutale.