FÊTE DE L'HUMANITÉ 1995
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- Réalisateur.ice.sPierre STAAT
- Année(s)1995 précisément
- Durée00:15:00
- ColorationCouleur
- FormatBétacam SP
- SonSonore
Au son de l'accordéon, les militants qui vont monter et tenir les stands de la Fête arrivent en voiture dans les allées boueuses. Vues depuis la pelouse encore vide de la Grande Scène en plein montage. Le montage des stands : on colle les affiches, on accroche les banderoles, on peint les slogans.
Le jeudi soir, Robert Hue, Marie-George Buffet, André Lajoinie et Pierre Zarka, directeur de l'Humanité, viennent selon la tradition saluer les militants avant l'ouverture de la Fête.
Plusieurs séquences s'enchaînent qui montrent la diversité de la fête : un orchestre, un bal folklorique, un manège de fête foraine, un débat, un concert, et les gens qui déambulent dans les allées trempées avec leurs bottes en caoutchouc.
Les plans sur les stands mettent à l'honneur les pays étrangers : Japon, Irlande, Chili, Rwanda, Turquie, Espagne, Vietnam, Cuba, Uruguay.
Des couples valsent sous la pluie, avec leurs anoraks.
Au hasard des allées, on croise le prêtre Jacques Gaillot. Un secrétaire de section ou CDH énonce les chiffres des abonnements à l'Humanité et l'Humanité Dimanche.
Bernard Lavilliers monte sur la Grande Scène.
Le lendemain, on joue aux échecs. Un CDH vend l'Humanité Dimanche dans une allée.
Un public joyeux chante et danse sur Guantanamera.
S'ensuit un microtrottoir dans les allées, où les gens expriment ce que représente la Fête pour eux. On croise aussi bien Roger Hanin aux côtés de Robert Hue et Pierre Zarka, que des artistes de rue.
Sur scène, les Rita Mitsouko puis Philippe Caubère, qui déclame Aragon, sont applaudis.
Georges Marchais, Francis Wurtz et André Lajoinie discutent avec les militants. Le dernier jour, tous les dirigeants se retrouvent sur la grande scène. Le mot de la fin sera laissé à Paul Eluard, dont on fête le centenaire : "Il ne faut pas de tout pour faire un monde, il faut du bonheur et rien d'autre" tandis que Jacques Higelin salue le public.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, BNF
Le jeudi soir, Robert Hue, Marie-George Buffet, André Lajoinie et Pierre Zarka, directeur de l'Humanité, viennent selon la tradition saluer les militants avant l'ouverture de la Fête.
Plusieurs séquences s'enchaînent qui montrent la diversité de la fête : un orchestre, un bal folklorique, un manège de fête foraine, un débat, un concert, et les gens qui déambulent dans les allées trempées avec leurs bottes en caoutchouc.
Les plans sur les stands mettent à l'honneur les pays étrangers : Japon, Irlande, Chili, Rwanda, Turquie, Espagne, Vietnam, Cuba, Uruguay.
Des couples valsent sous la pluie, avec leurs anoraks.
Au hasard des allées, on croise le prêtre Jacques Gaillot. Un secrétaire de section ou CDH énonce les chiffres des abonnements à l'Humanité et l'Humanité Dimanche.
Bernard Lavilliers monte sur la Grande Scène.
Le lendemain, on joue aux échecs. Un CDH vend l'Humanité Dimanche dans une allée.
Un public joyeux chante et danse sur Guantanamera.
S'ensuit un microtrottoir dans les allées, où les gens expriment ce que représente la Fête pour eux. On croise aussi bien Roger Hanin aux côtés de Robert Hue et Pierre Zarka, que des artistes de rue.
Sur scène, les Rita Mitsouko puis Philippe Caubère, qui déclame Aragon, sont applaudis.
Georges Marchais, Francis Wurtz et André Lajoinie discutent avec les militants. Le dernier jour, tous les dirigeants se retrouvent sur la grande scène. Le mot de la fin sera laissé à Paul Eluard, dont on fête le centenaire : "Il ne faut pas de tout pour faire un monde, il faut du bonheur et rien d'autre" tandis que Jacques Higelin salue le public.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, BNF