CAMPAGNE PRÉSIDENTIELLE 1988 - APPELS À VOTER ANDRÉ LAJOINIE (2)
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- Réalisateur.ice.sANONYME
- Année(s)1988 précisément
- Durée00:04:00
- ColorationCouleur
- FormatBétacam
- SonSonore
Ce clip donne la parole à des personnes d'horizons divers, qui soutiennent la candidature d'André Lajoinie, candidat du désarmement : un prêtre ouvrier, un médecin, le mathématicien Jean-Pierre Kahane, une étudiante et Georges Séguy. Tous expliquent à quelles fins sociales pourraient être utilisés les milliards de francs destinés à l'armement.
Le premier intervenant est Bernard Lacombe, prêtre ouvrier, syndicaliste à la CGT. On prépare de nouvelles armes chimiques d'agression, pas de défense, ce qui provoque la militarisation de l'industrie française. "Dans quelques semaines s'ouvre à l'ONU la troisième session spéciale du désarmement Nous devons être des millions de français à exiger de la France qu'elle s'engage fermement lors de cette conférence, en décidant d'arrêter les essais nucléaires."
Pjilippe Denis, médecin, s'offusque que des milliers d'enfants meurent par manque de soins, quand dans le même temps, on dépense des milliards pour l'armement. "L'Organisation Mondiale de la Santé a pour objectif la santé pour tous en l'an 2000. M.Gorbatchev propose zéro arme nucléaire en l'an 2000. La question est là : l'homme ou l'arme nucléaire."
Jean-Pierre Kahane, mathématicien, dénonce la loi de programmation militaire votée par tous les députés à l'exception des communistes. C'est de "l'argent empoisonné, et de l'argent en moins pour la formation." André Lajoinie préconise d'utiliser ces 40 milliards pour la formation.
Une étudiante s'indigne que le budget de l'armement soit désormais supérieur à celui de l'éducation.
Georges Séguy clôt le film : Au moment où les deux superpuissances décident le désarmement, et ou un nouvel espoir se soulève, il est temps que la France s'engage dans cette voie, le seul candidat prônant ouvertement le désarmement étant André Lajoinie.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, BNF
Le premier intervenant est Bernard Lacombe, prêtre ouvrier, syndicaliste à la CGT. On prépare de nouvelles armes chimiques d'agression, pas de défense, ce qui provoque la militarisation de l'industrie française. "Dans quelques semaines s'ouvre à l'ONU la troisième session spéciale du désarmement Nous devons être des millions de français à exiger de la France qu'elle s'engage fermement lors de cette conférence, en décidant d'arrêter les essais nucléaires."
Pjilippe Denis, médecin, s'offusque que des milliers d'enfants meurent par manque de soins, quand dans le même temps, on dépense des milliards pour l'armement. "L'Organisation Mondiale de la Santé a pour objectif la santé pour tous en l'an 2000. M.Gorbatchev propose zéro arme nucléaire en l'an 2000. La question est là : l'homme ou l'arme nucléaire."
Jean-Pierre Kahane, mathématicien, dénonce la loi de programmation militaire votée par tous les députés à l'exception des communistes. C'est de "l'argent empoisonné, et de l'argent en moins pour la formation." André Lajoinie préconise d'utiliser ces 40 milliards pour la formation.
Une étudiante s'indigne que le budget de l'armement soit désormais supérieur à celui de l'éducation.
Georges Séguy clôt le film : Au moment où les deux superpuissances décident le désarmement, et ou un nouvel espoir se soulève, il est temps que la France s'engage dans cette voie, le seul candidat prônant ouvertement le désarmement étant André Lajoinie.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, BNF