Ce film amateur retrace la venue du cosmonaute soviétique Guerman Titov à Saint-Pierre des Corps le 28 novembre 1967, à l'occasion des célébrations du 50ème anniversaire de la révolution d'octobre. On aperçoit Jean Bonnin (maire de Saint-Pierre-des-Corps) et Marcel Longuet, conseiller général du canton. La première partie (la remise de cadeaux à la mairie) est très sombre. La façade de la mairie e ... [Voir la suite]

Ce film amateur retrace la venue du cosmonaute soviétique Guerman Titov à Saint-Pierre des Corps le 28 novembre 1967, à l'occasion des célébrations du 50ème anniversaire de la révolution d'octobre. On aperçoit Jean Bonnin (maire de Saint-Pierre-des-Corps) et Marcel Longuet, conseiller général du canton. La première partie (la remise de cadeaux à la mairie) est très sombre. La façade de la mairie est ornée d'un calicot « Le cosmonaute Titov sera l'hôte de notre ville le 28 novembre 1967, Venez tous l'accueillir ». Une foule d'enfants est présente pour l'acclamer ; Titov se prête de bonne grâce à la siganture d'autographes. Le film se termine par l'inauguration en sa présence du « carrefour des cosmonautes », après un trajet en car. Dans les années 1960, une grande partie des français.es suit avec enthousiasme les aventures des cosmonautes soviétiques et des astronautes américains, héros modernes à la conquête de mondes nouveaux. Au cœur de la guerre froide, la conquête spatiale devient un enjeu symbolique capital, et l'URSS est très consciente du prestige de ses cosmonautes, qui assument un véritable rôle de représentation à l'étranger. Le fonds Ciné-Archives compte ainsi plusieurs films relatant des visites officielles de cosmonautes, à l'invitation de municipalités ouvrières et/ou communistes : Valentina Terechkova avec Adrian Nicolaev à Lille en 1965 (filmée par le cinéaste amateur Pierre Charret) puis seule à Villeneuve-le-Roi en 1968, Youri Gagarine lors de sa venue triomphale à Ivry en 1963, Guerman Titov à Saint-Pierre des Corps en 1967. Ces visites, par l'enthousiasme qu'elles suscitaient, ont été abondamment documentées par les cinéastes amateurs et les opérateurs mandatés par le PCF. Mots clés : cosmonaute, conquête spatiale Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]

Autocar - Indre-et-Loire (37) - Mairie - Saint-Pierre-des-Corps (37) - Visite officielle

Les jeunes de Tours se préparent pour la journée nationale de soutien au Vietnam organisée à Paris le 26 novembre 1967 (voir le film réalisé par Marcel Trillat et Paul Seban Ce jour là). Des jeunes des quatre coins de la France convergent vers Paris pour défiler contre la guerre du Vietnam. Chez eux, à Tours et Saint-Pierre-des-Corps, ils récoltent de l'argent (quelques plans très sombres, mais a ... [Voir la suite]

Les jeunes de Tours se préparent pour la journée nationale de soutien au Vietnam organisée à Paris le 26 novembre 1967 (voir le film réalisé par Marcel Trillat et Paul Seban Ce jour là). Des jeunes des quatre coins de la France convergent vers Paris pour défiler contre la guerre du Vietnam. Chez eux, à Tours et Saint-Pierre-des-Corps, ils récoltent de l'argent (quelques plans très sombres, mais aussi de belles images des mains tenant les troncs pour les dons). Le deuxième bobineau est consacré à la manifestation, avec de nombreux plans sur les banderoles. Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]

Indre-et-Loire (37) - Manifestation - Vietnam

La famille Biéret - en voyage organisé - visite la Tchécoslovaquie. Outre des vues touristiques de la ville (les rues du centre-ville, les trams, le cimetière juif, les monuments emblématiques - l'entrée du château, l'horloge astronomique de Prague, l'Hôtel International), le film consiste essentiellement en la visite du camp de concentration de Terezin. Outre des plans d'ensemble du camp, la camé ... [Voir la suite]

La famille Biéret - en voyage organisé - visite la Tchécoslovaquie. Outre des vues touristiques de la ville (les rues du centre-ville, les trams, le cimetière juif, les monuments emblématiques - l'entrée du château, l'horloge astronomique de Prague, l'Hôtel International), le film consiste essentiellement en la visite du camp de concentration de Terezin. Outre des plans d'ensemble du camp, la caméra s'attarde sur plusieurs éléments : les inscriptions (Arbeit Macht Frei à l'entrée, Block A, Wachstube...), la potence, les murs d'enceinte. Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]

1918-1992 Tchécoslovaquie - Camp de concentration - Prague - République tchèque - Visite touristique

Ce film montre le quartier de Belleville à Paris alors que de grandes opérations de réaménagement urbain ont tout juste commencé. Léon Buch, militant communiste, filme la mobilisation menée sur sa section du 19e arrondissement et le comité de défense de l'Îlot 7. Après quelques images en couleurs des monuments de la capitale, les plans en noir en blanc s'attachent à décrire la mobilisation locale ... [Voir la suite]

Ce film montre le quartier de Belleville à Paris alors que de grandes opérations de réaménagement urbain ont tout juste commencé. Léon Buch, militant communiste, filme la mobilisation menée sur sa section du 19e arrondissement et le comité de défense de l'Îlot 7. Après quelques images en couleurs des monuments de la capitale, les plans en noir en blanc s'attachent à décrire la mobilisation locale pour réclamer la construction de logements sociaux à Belleville et le relogement des habitants dans le quartier. Des affiches, des banderoles, des inscriptions peintes sur les murs exposent ces revendications. Rue de Belleville, a lieu un rassemblement organisé par le comité de défense de l'îlot n°7 ; les participants signent une pétition à l'emplacement de l'ancien cinéma Pathé (25 rue de Belleville). De nombreux plans présentent les rues insalubres du quartier de Belleville : façades en piteux état, habitations vétustes, cours délabrées. On note aussi des terrains vagues, consécutifs à la destruction de certains immeubles. Un tract édité par la section du 19e arrondissement de la Fédération national des locataires indique « 5000 logements peuvent être construits tout de suite » et dresse la liste de tous les terrains vides. Une manifestation réclame des « HLM sur les terrains libres ». Les manifestants, partis de la rue de Belleville, défilent sur le boulevard de la Villette puis sur la rue d'Aubervilliers jusqu'à l'ancienne usine à Gaz de la Villette (où seront construits 1789 logements par la suite). André Sibaud et Jean Portejoie, conseiller municipal PCF du 19eme arrondissement, participent au rassemblement. Une dernière séquence, en couleurs, donne à voir une distribution de tracts sur un marché (peut-être celui de Joinville) et dans les rues du 19e arrondissement. Sur les voitures des militants sont collées des affiches « votez François Mitterrand ». Dès le début des années 1950, une grande opération de réaménagement urbain est lancée par la ville de Paris dans le quartier de Belleville et plus largement dans tout le 19e arrondissement : il s'agit d'éradiquer les îlots d'habitation insalubres. Certaines zones d'habitation sont alors complètement détruites pour y ériger de nouvelles constructions, qui sont le plus souvent des immeubles d'habitation collective. Jusque dans les années 1990, Belleville, et le 19e arrondissement, subissent d'énormes transformations, qui font l'objet de nombreuses critiques : le choix de démolir pour construire des tours et des barres d'immeubles ne fait pas l'unanimité. A partir de la fin des années 1970, la politique urbaine évolue sensiblement : aux destructions, on privilégie désormais la réhabilitation du parc immobilier ancien. La fin du film fait allusion à la campagne présidentielle de novembre-décembre 1965. François Mitterrand se présente face au général de Gaulle comme le candidat unique de la gauche. Cette alliance électorale, qui rassemble le PCF et le Parti socialiste, est le premier pas d'un rapprochement politique qui culmine en 1972 avec l'élaboration d'un Programme commun. Battu au deuxième tour par le général de Gaulle, François Mitterrand remporte néanmoins 45% des suffrages exprimés. Léon Buch est un militant communiste du 19e arrondissement de Paris. Il dispose d'une caméra 8mm et enregistre quelques luttes temps forts de sa vie militante. Son film garde la trace du quartier de Belleville avant les grandes transformations urbaines : c’est le « Vieux Belleville » ouvrier, érigé au XIXe siècle, qui apparaît à l’image. Le film témoigne en outre de la mobilisation du PCF pour donner une orientation plus sociale aux rénovations du quartier. Lieux : Paris, 19e arrondissement, Belleville, boulevard de la Villette, rue d'Aubervilliers, rue de Belleville. Mots clés : Paris, 19e arrondissement, Belleville, boulevard de la Villette, rue d'Aubervilliers, rue de Belleville - Urbanisme, réaménagement, aménagement, politique de la ville - Manifestant, pétition, manifestation, CNL 19e, militant, PCF, François Mitterrand, élection présidentiel, André Sibaud, Jean Portejoie. Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]

Campagne électorale - Militantisme - Paris (75) - Précarité - Urbanisme et paysage

Ce film montre la fête de l'Humanité de 1965, et sa préparation, du point vue d'un militant de la section communiste du 19e arrondissement de Paris. Toute une première partie, en noir et blanc, est consacrée à la préparation de la fête. Dans les locaux du comité d’Arrondissement du 19eme -situés à l’emplacement de l’actuel siège du P.C.F., 8 avenue Mathurin Moreau - les militants s'affairent pour ... [Voir la suite]

Ce film montre la fête de l'Humanité de 1965, et sa préparation, du point vue d'un militant de la section communiste du 19e arrondissement de Paris. Toute une première partie, en noir et blanc, est consacrée à la préparation de la fête. Dans les locaux du comité d’Arrondissement du 19eme -situés à l’emplacement de l’actuel siège du P.C.F., 8 avenue Mathurin Moreau - les militants s'affairent pour construire les éléments composant le stand du 19e arrondissement : en plein air, on découpe, on peint, on cloue... Au parc de la Courneuve, les militants ont ensuite à monter le stand. Peu à peu, celui-ci est érigé, alors que la fête approche. La deuxième partie du film, en couleurs, donne à voir la fête en elle-même : à plusieurs reprises, est montré le stand du 19e arrondissement, devant lequel la foule se presse. On reconnais Paul Laurent, son épouse Mounette Ainsi que la délégation Vietnamienne visitant la fête. La caméra se promène dans les allées de la fête où se déroulent différentes animations : vente de billets de tombola, fanfares, défilé en costumes historiques, démonstration de gymnastique... Certains stands sont visibles comme celui de la fédération Saône-et-Loire qui arbore une banderole : « Aimez et faire lire l'Humanité comme les Bourguignons aiment et savent faire déguster leurs bons vins ». Sur la Grande scène, on aperçoit des groupes de musique, de majorettes, ou des discours. Le film s'achève sur des images du feu d'artifice de la Fête de l’Humanité. En septembre 1965, la fête de l'Humanité a lieu à la veille de l'élection présidentielle, prévue fin novembre début/décembre. Le PCF, sous l'égide de son nouveau secrétaire général, Waldeck-Rocher, a adopté une stratégie d'union avec les autres partis de gauche, en particulier avec le parti socialiste : un seul candidat, François Mitterrand, affronte le général de Gaulle. Ce film, tourné en amateur par Léon Buch, présente la fête de l'Humanité au travers du regard d'un militant communiste du 19e arrondissement de Paris à une époque où le cinéma amateur se « démocratise » en devenant moins coûteux : la fête de l'Humanité de 1965 a d'ailleurs été filmée par deux autres militants cinéastes, Jacques Phélut (Fête de l'Humanité) et Michel Perrigouard (Fidèles au rendez-vous, fête de l'Humanité 1965). Lieux : Paris, 19e arrondissement, place du colonel Fabien, rue Mathurin Moreau, La Courneuve. Mots clés : Paris, 19e arrondissement, parc de la Courneuve - Délégation Vietnamienne - Stand, fédération, section - PCF, militant - Tombola, feu d'artifice. Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]

Concert - Discours - Fanfare - Gymnastique sportive - L'Humanité (fête de) - La Courneuve (93) - Laurent Paul - Militantisme - Paris (75)

Inauguration de la maison du parti de Manosque en juin 1973 en présence de Jacques Duclos et des responsables de la fédération du PCF des Basses-Alpes (aujourd'hui Alpes de Haute Provence). Jacques Duclos dédicace des livres et prononce un discours. Personnalités membres du comité fédéral du PCF : Joseph Casa, secrétaire de la section Manosque/Sainte-Tulle Pierre Girardot, maire de Sainte Tulle, ... [Voir la suite]

Inauguration de la maison du parti de Manosque en juin 1973 en présence de Jacques Duclos et des responsables de la fédération du PCF des Basses-Alpes (aujourd'hui Alpes de Haute Provence). Jacques Duclos dédicace des livres et prononce un discours. Personnalités membres du comité fédéral du PCF : Joseph Casa, secrétaire de la section Manosque/Sainte-Tulle Pierre Girardot, maire de Sainte Tulle, conseiller général du canton de Manosque, ancien député communiste des Basses Alpes Robert Demanet, membre du secrétariat de section de Manosque/Sainte Tulle; Raymond Philippe, secrétaire fédéral du PCF, maire des Mées et conseiller général. Janine De Geeter, membre du secrétariat de section Manosque/Sainte Tulle. Maurice Richaud, secrétaire général de l'Union Départementale CGT des Basses Alpes. En 2013, Marie-George Buffet sera invitée à fêter les 40 ans de la maison du parti. Un film aurait été fait à l'occasion. Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]

Alpes-de-Haute-Provence (04) - Duclos Jacques

La Laye se situe à coté de Forcalquier. Joseph Casa, cinéaste amateur et membre du PCF à Manosque, filme la fête organisée par le journal La Marseillaise, pendant provençal de l'Humanité. Cette fête champêtre et familiale a lieu sous un grand soleil. Les familles arrivent munies de leurs tables de camping et de leurs bobs. Les enfants peuvent profiter du manège ou faire la sieste, tandis que leur ... [Voir la suite]

La Laye se situe à coté de Forcalquier. Joseph Casa, cinéaste amateur et membre du PCF à Manosque, filme la fête organisée par le journal La Marseillaise, pendant provençal de l'Humanité. Cette fête champêtre et familiale a lieu sous un grand soleil. Les familles arrivent munies de leurs tables de camping et de leurs bobs. Les enfants peuvent profiter du manège ou faire la sieste, tandis que leurs parents s'attardent dans les stands, à la buvette ou devant la scène, quand ils ne disputent pas une partie de pétanque. La dimension locale de l'événement est manifeste (les commerçants du coin, sponsors de la fête, tiennent des stands, à l'instar du vendeur de machines à laver, coude à coude avec celui de la JC). Personnalités : dans le stand (chemise rose), Raymond PHILIPPE qui a été secrétaire fédéral du PCF, maire des Mées et conseiller général. Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]

Alpes-de-Haute-Provence (04) - La Marseillaise (journal) - Mouvement Jeunes Communistes de France - Parti Communiste Français

En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs. Le commentaire rappelle en off ... [Voir la suite]

En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs. Le commentaire rappelle en off certaines œuvres crées précédemment par Ernest Pignon-Ernest. Il s'agissait à chaque fois d'affiches sérigraphiées représentant des corps humains grandeur nature, placardées dans les rues des villes de France. Tour d'horizon des différentes déclinaisons de cette œuvre : la Commune de Paris, les accidents du travail, les immigrés, Maiakovski, l'Apartheid... En 1976, la Maison de la culture de Grenoble invite Ernest Pignon-Ernest à animer pendant quinze jours un atelier. "L’atelier comprend l'apprentissage de la sérigraphie et une réflexion collective sur la production d'une image, de sa conception à sa diffusion." précise le commentaire. Grenoble est une ville profondément industrielle, comme en témoignent les images du début et leurs cheminées d'usines crachant de la fumée. Ce n'est donc pas par hasard si le thème retenu par les participants au stage, qui travaillent dans ces mêmes usines, est les nuisances liées au travail (bruit, accidents, cadences...) L'affiche produite à l'issue de l'atelier montrera donc un homme dont le corps subit plusieurs altérations (organes atrophiés, tête éclatée par le bruit, chronomètres mitrailleurs). Le film montre la fabrication de l'écran de sérigraphie puis l'impression des affiches, tandis qu'une longue séquence finale, au son de chansons revendicatives, montre ces affiches placardées sur les murs et sur les grilles des sites industriels de la ville - façon de rendre visible à l'extérieur la souffrance qui se cache dans ces lieux. "Les affiches réalisées avaient été placardées durant la nuit sur les murs de plusieurs usines de Grenoble, Echirolles, Pont de Claix. Elles n'y sont d'ailleurs pas restées longtemps." (courrier de J-F.Rajau, décembre 2015) Ce film amateur a été réalisé collectivement par les travailleurs CGT participant au stage. Les prises de vue et le montage ont été effectués par Jean-François Rajau, qui a coordonné le film avec Marie-Madeleine Rajau (alors militante CGT chez Renault-Grenoble). Mots clés : éducation populaire, sérigraphie, souffrance au travail, accidents du travail Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]

Affiche - Condition de travail - Dessin (art) - Grenoble (38) - Métier artistique - Thésaurus - Usine (bâtiment)

Document amateur monté et réalisé en 8mm par Jacques Phélut, cinéaste amateur. Ce document revient sur la fête de l'humanité 1965; son installation, l'arrivée des participants, les différents stands régionaux et internationaux et tous le folklore caractéristique de cette fête. Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images.

Comité de diffusion de l'Humanité - L'Humanité (fête de) - L'Humanité (journal)

Document amateur réalisé en 8 mm par Jacques Phélut lors de la fête de l'humanité de 1966. Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images.

1955-1975 Guerre du Vietnam - 1972 Programme commun - L'Humanité (fête de)