Manifestation des ouvriers du textile à Roubaix le 19 juin 1970 pour protester contre la fermeture des usines textiles et le démantèlement du bassin minier.
Les manifestants sont regroupés sur la place de la mairie de Roubaix. On reconnaît les deux dirigeants de l'Union départementale CGT Emile Duhamel et François Dumez. Quelques slogans relevés sur les banderoles : "Pour le droi ... [Voir la suite]
Résumé
Manifestation des ouvriers du textile à Roubaix le 19 juin 1970 pour protester contre la fermeture des usines textiles et le démantèlement du bassin minier.
Les manifestants sont regroupés sur la place de la mairie de Roubaix. On reconnaît les deux dirigeants de l'Union départementale CGT Emile Duhamel et François Dumez. Quelques slogans relevés sur les banderoles : "Pour le droit au travail", "Non aux fermetures d'usines", "CGT Textile Roubaix : Non au chômage". La séquence suivante montre l'épouse du cinéaste, Lucienne Charret, avec un enfant.
Pierre Charret filme ensuite la une de Liberté : "Arrêtez donc la liquidation de notre bassin minier", ainsi que l'article relatant la manifestation à Roubaix.
Mots clés : Roubaix
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Confédération Générale du Travail - Grève - Industrie textile - Liberté (journal) - Manifestation - Nord (59) - Nord-Pas-de-Calais
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1979-ManifAuSiege-282-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>760572https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/282 - MANIFESTATION AU SIEGE DE LA THOMSON, MANIFESTATION DU PARIS NICE/Photos/282-Manifestation_Thomson-1.jpg/CineA-1979-ManifAuSiege-282-1_1
Résumé
Robert Laudereau présente l'une des manifestations importantes de l'entreprise Thomson CSF le 22 novembre 1979 dans laquelle il était alors employé. Ce rassemblement a mobilisé de très nombreux salariés venus de tous les sites de la région parisienne y compris des sites de province (Bagneux, Fleury-Les-Aubrais, Brest, ...). Les revendications sociales sont précises et concernent l'ensemble de l'e ... [Voir la suite]
Résumé
Robert Laudereau présente l'une des manifestations importantes de l'entreprise Thomson CSF le 22 novembre 1979 dans laquelle il était alors employé. Ce rassemblement a mobilisé de très nombreux salariés venus de tous les sites de la région parisienne y compris des sites de province (Bagneux, Fleury-Les-Aubrais, Brest, ...). Les revendications sociales sont précises et concernent l'ensemble de l'entreprise, d'où cette grande mobilisation et une union des syndicats CGT et CFDT sur les banderoles. Robert Laudereau filme une manifestation sereine et motivée.
Les éléments principaux du film sont:
- Des vues générales sur la mobilisation et des plans rapprochés sur les manifestants. Certains manifestants reconnaissent leur collègue Robert Laudereau, saluent ou sourient facilement à sa caméra; plans de bus remplis de manifestants; plan rapproché sur un salarié faisant un petit discours, juché sur le toit d’une station de bus;
- Des plans permettant de situer l’itinéraire de la manifestation : peinture au sol « Tous à 11h30 à Saint-Augustin CGT Paris le 22 / 11/ 79 », défilé devant les façades des grands magasins boulevard Haussmann et les abords de La Madeleine, un salarié debout sur le toit de l’arrêt de bus « Friedland-Haussmann » devant le siège de Thomson (PR sur la plaque « Thomson-Brandt et Thomson-CSF »);
- Des vues plus précises sur la variété et multitude des banderoles, des pancartes et des revendications « 5ème semaine de C. P. (= congés payés), 35 h maxi, 450 F et 2, 5%, [....] », sur une estafette Renault « Thomson peut payer », sur une pancarte « Du temps pour vivre ». Les premières images du film indique la banderole du site de travail de Robert Laudereau « Thomson CSF-Issy-les Moulineaux, les travailleurs du centre Gyunemer en lutte [....] CFDT-CGT » suivi d'un très gros plan sur l'appel à mobilisation « Tous à Haussman le jeudi 22 ».
- Plans sur le public qui observe la manifestation (gens aux fenêtres et balcons, photographe équipé d’un appareil au long objectif).
Lieux: Paris
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Conquêtes sociales (congés payés, retraites, pouvoir d'achat...) - Manifestation - Paris (75) - Syndicat - Thomson
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1971-ManifContreL-319-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>759573https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/319 - MANIFESTATION CONTRE LA GUERRE D'ALGERIE, 1971/Photos/319-Manifestation_Contre_Guerre_Vietnam-1.jpg/CineA-1971-ManifContreL-319-1_1
Résumé
Manifestation contre la guerre au Vietnam filmée par Dominique Maugars, cheminot à Saint-Pierre des Corps, syndicaliste et militant communiste.
Sur une page de cahier : "10 mai 1971. Paris. manifestation pour la paix au Vietnam"
Départ en car pour la manifestation. Celle-ci débute par la banderole de l' "Union des Étudiants Communistes (UECF) de Tours", suivie de ... [Voir la suite]
Résumé
Manifestation contre la guerre au Vietnam filmée par Dominique Maugars, cheminot à Saint-Pierre des Corps, syndicaliste et militant communiste.
Sur une page de cahier : "10 mai 1971. Paris. manifestation pour la paix au Vietnam"
Départ en car pour la manifestation. Celle-ci débute par la banderole de l' "Union des Étudiants Communistes (UECF) de Tours", suivie de "L'Indre-et-Loire avec le Vietnam". Portrait d'Ho Chi Minh. Gros plan sur le badge de la manifestation. Banderole de Malakoff, panonceau "US assassins hors du Vietnam", banderole :"Vietnam, Laos, Cambodge, un seul agresseur l'impérialisme US". Panoramique sur les manifestants. Gros plan sur le drapeau vietnamien flottant au vent. "La jeunesse d'Antony avec le Vietnam". Foule des manifestants écoutant les discours. "Retrait des troupes américaines" ; "Halte à l'agression US en Indochine". Le film se termine sur des arbres en fleurs.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
1955-1975 Guerre du Vietnam - Ho Chi Minh - Saint-Pierre-des-Corps (37) - Thésaurus - Union des Etudiants Communistes
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1968-886-ManifDu16Mar-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>14561080https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/886 - MANIFESTATION DU 16 MARS 1968 À ROUBAIX/CineA-1968-886-ManifDu16Mar-1_5/CineA-1968-886-ManifDu16Mar-1_1
Résumé
Ce document monté, en noir et blanc, dépeint une importante manifestation pour la paix au Viet Nam. Celle-ci se déroule à Lille et l'on assiste à la formation du cortège sur la Grande Place et au défilé dans divers lieux lillois.
Les images montrent une manifestation transgénérationnelle, la caméra proche des personnes, donne à l'écran, une présence et une complicité. Des personnalités synd ... [Voir la suite]
Résumé
Ce document monté, en noir et blanc, dépeint une importante manifestation pour la paix au Viet Nam. Celle-ci se déroule à Lille et l'on assiste à la formation du cortège sur la Grande Place et au défilé dans divers lieux lillois.
Les images montrent une manifestation transgénérationnelle, la caméra proche des personnes, donne à l'écran, une présence et une complicité. Des personnalités syndicales et figures communistes locales telles que Martha Desrumaux ou Gustave Ansart participent à l'évènement.
Carton de début : "ROUBAIX 16 MARS"
Séquence de début :
Plan de la Grande Place de Roubaix et vue, en plan rapproché, de l’Hôtel de Ville.
Séquence Formation de la manifestation :
Plan panoramique de la place où se retrouvent et se rassemblent les manifestants. Plan moyen des manifestants sur les marches de la mairie avec des dizaines de banderoles. Plans rapprochés sur des syndicalistes qui s'adressent, avec un micro, à la foules. Panoramique gauche/droite vue des marches sur l'assistance qui applaudit avec enthousiasme. On distingue de nombreuses banderoles des J.O.C.(Jeunesse Ouvrière Chrétienne). Parmi les manifestants est visible Gustave Ansart, Paul Gilliers (FEN, enseignement technique), Manoël Dias (textile CGT), Lucienne Charret, Jena Cos (CIMA), Jacques Cogez (CIMA).
Suivent divers plans de différentes valeurs de cadre des manifestants qui discutent, sur un, on voit Lucienne Charret avec en arrière plan l'église Saint-Martin. Plans moyen d'un petit groupe de personnes avec Martha Desrumaux, Lili Lefevre-Musmeaux (maire PCF de Raismes), Hélène Matton (PCF).
Plan Moyen d'un mur où sont collées des affiches, sur une, invitation à manifester pour le Viet-Nam le 09/03 (1968) à Lille. Plans de nouveaux arrivants descendant d'un autobus, certains ont des banderoles roulées, qui rejoignent la manifestation. Plan d'ensemble d'un espace transformé en grand parking où sont garés des dizaines d'autobus.
Séquence La manifestation en marche :
Plan large du cortège qui défile sur une large avenue, en tête on voit des drapeaux français et vietnamien et une banderole : "Comité départemental d'action pour le soutien et la victoire du peuple vietnamien". Suivent dans l'important cortège plusieurs autres banderoles allant dans le même sens. Plan moyen de la manifestation.
Plan serré dans la manifestation : la caméra est 'plantée' au milieu de la rue, les manifestants l'évitent et passent à sa droite et à sa gauche. Divers plans en légère plongée dans une rue commerçante, puis plans sur une place.
Séquence de fin de manifestation :
Plan d'une façade où est inscrit : "Vile de Lille, Salle Roger Salengro", certains manifestants pénètrent dans le bâtiment.
Séquence de fin :
Gros Plan sur la une du journal "Liberté" :
"Importante manifestation hier à Lille", zoom sur une photo de l'évènement et incrustation de mot FIN.
Carton "Filmé par Pierre Charret"
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
1955-1975 Guerre du Vietnam - Ansart Gustave - Desrumeaux Martha - Liberté (journal) - Lille (59) - Manifestation
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1967-17Mai1967-313-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>949712https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/313 - 1ER MAI 1967/Photos/1er mai 1967_2.jpg/CineA-1967-17Mai1967-313-1_1
Résumé
Manifestation du 17 mai 1967 contre les pleins pouvoirs (suite à la demande du gouvernement Pompidou de légiférer par ordonnances en matière économique et sociale).
Un an après la journée d'action du 17 mai 1966, cette nouvelle journée d'action entend protester contre la réforme de la sécurité sociale par voie d'ordonnances, contre le blocage des salaires et contre l'attribution des pleins p ... [Voir la suite]
Résumé
Manifestation du 17 mai 1967 contre les pleins pouvoirs (suite à la demande du gouvernement Pompidou de légiférer par ordonnances en matière économique et sociale).
Un an après la journée d'action du 17 mai 1966, cette nouvelle journée d'action entend protester contre la réforme de la sécurité sociale par voie d'ordonnances, contre le blocage des salaires et contre l'attribution des pleins pouvoirs au gouvernement.
L'année 1967 est celle qui comptabilise le plus de journées de grève depuis l'instauration de la Ve République. L'industrialisation rapide, un fort chômage, le refus de négocier gouvernemental et patronal et le récent succès de la gauche aux législatives de 1967 dynamisent le mouvement social (La dimension politique de ce mouvement de grève fut d'ailleurs vivement débattue par les syndicats).
Jacques Phélut, cheminot à la gare de l'Est filme le déclenchement puis le défilé de cette journée d'action du 17 mai dont le mot d'ordre est « Non aux pleins pouvoirs ».
Zoom sur un calendrier à la date du 17 mai représentant une jeune femme vêtue de rouge tenant un brin de muguet.
Banc titres-collage réalisé à partir de tracts : « Le gouvernement veut s'arroger les pleins pouvoirs » - « A l'appel de la CGT, de la CFDT, de FO et de la FEN, grève nationale de 24 heures le 17 mai » (Une de l'Humanité)
Suit un effeuillage de tracts : « Non aux pleins pouvoirs », « Contre le régime des ordonnances », « 17 mais : la majorité c'est vous ».
Plan sur un panneau d'information à la gare de l'Est : « Programme de circulation des trains du 16 au 18 mai 1967 » grandes lignes et banlieues. Gros plan sur l'horloge de la gare indiquant 9H10... Jacques Phélut enchaine avec une série de plans de la gare déserte. Les correspondances vers les autobus et le métro sont elles aussi filmées quasiment vides.
Arrivée gare de l'Est des manifestants grévistes : Avec leur banderoles, ils descendent l'escalier de la rue d'Alsace qui mène à la la gare.
Les manifestants se rassemblent sur le quai puis se mettent en marche vers la place de la Bastille. Certaines banderoles affichent l'unité syndicale : « CGT et FO » sur la banderole de l'Hôpital Lariboisière ; ou bien encore, plus avant dans la manifestation, les banderoles de la CFDT, de la FEN et de la CGT voisinent...).
Banderoles des grévistes du 10e : « Union locale des syndicats du 10e » – « Syndicats cheminots de Paris – CGT – Sécurité sociale gaulliste = 10 ans de plus à travailler, suppression de nos droits - Non aux pleins pouvoirs » - « Hôpital Lariboisière, non au pouvoirs spéciaux »
Entreprises privées et publiques manifestent.
Georges Séguy en tête de cortège avec Henri Krasucki
Aperçus dans le cortège : Les centres hospitaliers – une banderole « Les Travailleurs immigrés portugais unis aux travailleurs français » - les P.T.T., les syndicats des Métaux, Péchinay-Saint Gobain, les industries chimiques, les personnels communaux... Le SNES, l'UNEF (« Plan Fouchet + rapport Aigrain = ségrégation sociale ». Un pantin à l'effigie de De Gaulle fait mine de pleurer. Ronde de manifestants (un plan)...
Défilent : Sud aviation, le comité intersyndical du livre parisien
Cinéaste amateur, Jacques Phélut ne rate pas la banderole des employés de « Kodak-Pathé (CGT, CFDT, FO) ».
On aperçoit la banderole de la Fédération nationale du spectacle (« Pour une véritable politique culturelle au service du peuple »), celle des agents du Ministère des affaires culturelles, Les salariés de la radio télévision scolaire, La « FEN CGT Syndicat des personnels des maisons des jeunes et de la culture ».
Autres aperçus : L'Union des vieux de France, « Les ouvriers de l'Aurore », ceux de l'Imprimerie Nationale, le syndicat du personnel du réseau souterrain des égouts, l'Assistance publique, les Hôtels cafés restaurants (« travailleurs à part entière »), la RATP, les employés de commerces et artisans, l'union des cadres cheminots...
Au cours de la manifestation tribune réunissant les responsables syndicaux dont Georges Séguy, Benoît Frachon applaudissent les manifestants.
Fin de la manifestation à la République. Gros plan sur le badge : "Non aux pleins pouvoirs 17 mai 1967"
Slogans et banderoles : « défendre la sécurité sociale », », « Tous unis », « Non aux ordonnances », « La vie ouvrière – contre le démantèlement de la sécurité sociale », « Programme commun » (sur une banderole) , un homme à vélo avec une pancarte « Les 40 heures », une pancarte satyrique « La Ve République est malade, Charlot veut son ordonnance »
Lieux : Paris (Gare de l'Est, Boulevard Magenta, Boulevard Beaumarchais, place de la République)
Personnalités : Georges Séguy, Benoît Frachon, Henri Krasucki + autres dirigeants syndicaux à identifier.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Force Ouvrière - Frachon Benoit - Fédération de l'Éducation Nationale - Krasucki Henri - Manifestation - Pompidou Georges - Séguy Georges
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1977-Manif1erDece-685-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>763571https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/685 - MANIFESTATION DU 1ER DECEMBRE 1977/CineA-1977-Manif1erDece-685-1.png/CineA-1977-Manif1erDece-685-1_1
Résumé
Gare de Tours, manifestants dans la gare de Tours, banderole Cadoux cheminots, manif en gare, manif devant la gare, place du Ct Tulasme, arrivée des Cadoux, banderole de l’UD CGT, le bus de l’UD, « vivre et travailler en Touraine », banderole VOYER , les Cadoux ,
Plan sur manifestants Cadoux, vue générale du défilé, banderole Cadoux, arrivée au pont de Pierre.
Gare de Tours, manifestants dans la gare de Tours, banderole Cadoux cheminots, manif en gare, manif devant la gare, place du Ct Tulasme, arrivée des Cadoux, banderole de l’UD CGT, le bus de l’UD, « vivre et travailler en Touraine », banderole VOYER , les Cadoux ,
Plan sur manifestants Cadoux, vue générale du défilé, banderole Cadoux, arrivée au pont de Pierre.
Note : Ce film n’a pas de titre propre.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Ciclic [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1971-ManifPourLib-321-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>760572https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/321 - MANIFESTATION POUR LA LIBERATION D'ANGELA DAVIS (MARGAUX HOULLEMARE)/Photos/321-Manif_Angela_Davis-1.jpg/CineA-1971-ManifPourLib-321-1_1
Résumé
Ce film amateur muet témoigne de la mobilisation pour la libération d'Angela Davis au travers d’images tournées dans la manifestation parisienne du 3 octobre 1971, qui réunit entre 60 000 et 100 000 personnes. Angela Davis est alors emprisonné en attente de son procès, accusée d'avoir procuré les armes d'une prise d'otage visant à libérer Georges Jackson, membre des Black Panthers. Sous la pressio ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur muet témoigne de la mobilisation pour la libération d'Angela Davis au travers d’images tournées dans la manifestation parisienne du 3 octobre 1971, qui réunit entre 60 000 et 100 000 personnes. Angela Davis est alors emprisonné en attente de son procès, accusée d'avoir procuré les armes d'une prise d'otage visant à libérer Georges Jackson, membre des Black Panthers. Sous la pression internationale et par manque de preuve elle est acquittée le 4 juin 1972.
Le document s'ouvre avec l'arrivée de l'avant du cortège, composé d'une ligne de drapeaux rouges, français et de l'union soviétique, mélangés avec des portraits colorés d'Angela Davis qui sont tenus principalement par des jeunes. Ils sont suivis de deux grandes banderoles, « Libérez » « Angela Davis » derrière laquelle approche la foule dense des manifestants.
Ensuite vient la ligne composée de personnalités mobilisées, dans un premier temps de manière assez confuse, autant à cause d'un cadrage qui doit s’y reprendre plusieurs fois que parce qu'on se presse autour d'eux, notamment les photographes. Parmi eux on reconnaît Fania Davis, la sœur d’Angela, l'écrivain Louis Aragon, Roland Favaro, alors secrétaire des Jeunesses communistes ainsi que Paul Laurent, membre du comité central du parti communiste français. Si certaines évocations de cette manifestation mentionnent la présence de Jean-Paul Sartre aux côtés d’Aragon, sauf erreur celui-ci ne semble a priori pas apparaître sur les différentes images. La caméra enregistre principalement la tête de la manifestation, revient vers l’avant pour montrer une nouvelle fois la tête de cortège et les personnalités, en essayant de se rapprocher.
Alors que la manifestation est principalement filmée depuis le côté droit, elle quitte le trottoir pour rejoindre la foule vers la fin, au niveau de la place de la Bastille. Un plan à contre jour de la tribune laisse deviner Fania Davis, Louis Aragon et Paul Laurent, avant que des groupes de ballons auxquels sont attachés un message ne soient lâchés et s'envolent.
Parmi les manifestants qui continuent d'arriver on peut voir le mouvement de la jeunesse communiste du Val de Marne, un manifestant qui tient une pancarte « Je suis aussi un nègre » - deux des rares inscriptions qui semblent avoir attiré le regard de la caméra - ou la remorque tirée par un tracteur de la compagnie José Valverde du théâtre Gérard Philippe de Saint-Denis qui anime la manifestation au micro.
Le film balaye alors la foule par des panoramiques d'ensemble comme des plans rapproché, laissant apercevoir des visages ou encore un drapeau de la république socialiste du Viêt Nam. Il s’arrête sur le groupe qui surplombe la banderole Mouvement de la jeunesse communiste de France accrochée à la colonne, et sur d'autres images d'Angela Davis, dont un grand portrait peint qui surplombe les manifestants.
Lieu : Paris
Personnalités : Angela Davis, Fania Davis, Pierre Laurent, Louis Aragon, Roland Favaro, Jean-Michel Catala, secrétaire général de l'UJCF, membre du CC du PCF, Madeleine Vincent, Gaston Plissonnier
Mots clés: Black Panthers, mouvement de la jeunesse communiste, manifestation, antiracisme, Viêt Nam, jeunes.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Aragon Louis - Congrès du PCF - Davis Angela - Internationalisme - Laurent Paul - Mobilisation de solidarité internationale - Mouvement de jeunesse - Plissonnier Gaston - Thésaurus
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1971-ManifPourLib-322-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>762573https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/322 - MANIFESTATION POUR LA LIBERATION D'ANGELA DAVIS (MAUGARS)/Photos/322-Manif_Angela_Davis-2.jpg/CineA-1971-ManifPourLib-322-1_1
Résumé
En 1971, à Paris comme dans d'autres villes se tiennent des manifestations de soutien à Angela Davis, membre du parti communiste américain, militante pour les droits civiques et proche du Black Panther Party. Emprisonnée comme complice de meurtre, kidnapping et conspiration elle sera acquittée le 4 juin 1972.
Ce document amateur revient sur cette journée de mobilisation, dont une aff ... [Voir la suite]
Résumé
En 1971, à Paris comme dans d'autres villes se tiennent des manifestations de soutien à Angela Davis, membre du parti communiste américain, militante pour les droits civiques et proche du Black Panther Party. Emprisonnée comme complice de meurtre, kidnapping et conspiration elle sera acquittée le 4 juin 1972.
Ce document amateur revient sur cette journée de mobilisation, dont une affiche rappelle la date et le parcours : le 3 octobre de la place du Colonel Fabien à 14h jusqu’à la place de la Bastille, et non le 3 décembre comme un carton sur papier à carreaux au début du film l’annonce. Quelques plans au début signalent également la présence policière aux abords de la manifestation où l'on voit un ou plusieurs d'agents.
Au milieu des revendications pour demander la libération d’Angela Davis, plusieurs pancartes construisent des rapprochements entre son cas et des figures historiques, exécutées aux États-Unis, qui témoignent d'une répression politique ou raciste. Il s'agit notamment de Nicolas Sacco et Bartolomeo Vanzetti – anarchistes italiens exécutés par chaise électrique en 1927 – ou encore d'Ethel et Julius Rosenberg – couple de communistes juifs condamnés à mort pour espionnage en 1953. De très nombreux portraits d'Angela sont visibles sur des supports aussi différents que des banderoles, des badges, t-shirts ou même sur un drapeau rouge, des badges à son effigie venant dans un coin remplacer la faucille et le marteau.
Cette manifestation est l'occasion de dénoncer plus largement la politique raciste des Etats-Unis, représentés par Nixon qui est directement interpellé, et d’être au côtés des peuples en luttes. Il est ainsi précisé dans une pancarte qu'il s'agit de soutenir « Angela mais aussi tous les prisonniers politiques noirs » tandis que de nombreuses banderoles évoquent aussi la politique impérialiste américaine à travers la guerre du Viêt Nam : « Indochine Angela Davis même combat. Libérer Angela Davis c'est porter un coup aux action criminelles de l'impérialisme américain dans le monde. » Les noms des banderoles montrent que beaucoup d'unions des jeunes communistes régionales ont fait le déplacement à Paris à cette occasion, notamment celles d'Indre-et-Loire, du Pas-de-Calais ou de Saint-Nazaire.
Les images, plutôt tournées au milieu des cortèges, insistent sur leur animation par les jeunes militants et militantes. Bien que muet, il trouve des moyens visuels de donner un aspect très rythmé à certains cortèges, notamment par une série de plans très rapprochés et rapides sur les claquements de mains, sur les bouches qui crient ou par la succession de zooms avants et arrières dans un temps resserré. La rapidité des mouvements fait qu'un certain nombre de plans sont flous et bougés, mais le fait de tourner ainsi au cœur des manifestants lui confère un sentiment de proximité avec ces derniers, et un aspect plutôt joyeux.
Le film se finit place de la Bastille où l'on peut voir les manifestants montés sur la colonne avec une grande banderole du Mouvement de la jeunesse communiste de France ainsi qu'un plan, assez tremblant, de l'estrade de la prise de parole avec Fania Davis, la sœur d'Angela.
Lieu : Paris
Mots clés : Angela Davis, Fania Davis, Black Panthers, mouvement de la jeunesse communiste, manifestation, antiracisme, Viêt Nam, jeunes.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Congrès du PCF - Davis Angela - Internationalisme - Mobilisation de solidarité internationale - Mouvement de jeunesse - Thésaurus
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1967-1011-ManifVietnam-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>640470https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1011 - MANIFESTATION CONTRE LA GUERRE DU VIETNAM/CineA-1967-1011-ManifVietnam-11.png/CineA-1967-1011-ManifVietnam-1_1
Résumé
Les jeunes de Tours se préparent pour la journée nationale de soutien au Vietnam organisée à Paris le 26 novembre 1967 (voir le film réalisé par Marcel Trillat et Paul Seban Ce jour là). Des jeunes des quatre coins de la France convergent vers Paris pour défiler contre la guerre du Vietnam.
Chez eux, à Tours et Saint-Pierre-des-Corps, ils récoltent de l'argent (quelques plans très som ... [Voir la suite]
Résumé
Les jeunes de Tours se préparent pour la journée nationale de soutien au Vietnam organisée à Paris le 26 novembre 1967 (voir le film réalisé par Marcel Trillat et Paul Seban Ce jour là). Des jeunes des quatre coins de la France convergent vers Paris pour défiler contre la guerre du Vietnam.
Chez eux, à Tours et Saint-Pierre-des-Corps, ils récoltent de l'argent (quelques plans très sombres, mais aussi de belles images des mains tenant les troncs pour les dons).
Le deuxième bobineau est consacré à la manifestation, avec de nombreux plans sur les banderoles.
En mai 1974, Valéry Giscard d'Estaing est élu de justesse à la présidence de la République, après un second tour très serré contre le candidat de l'union de la gauche François Mitterrand. Les premiers mois de son septennat sont marqués par les plus grandes grèves connues par le pays depuis mai 68.
Le mouvement débute en octobre chez les postiers parisiens, qui se mobilisent contre le ... [Voir la suite]
Résumé
En mai 1974, Valéry Giscard d'Estaing est élu de justesse à la présidence de la République, après un second tour très serré contre le candidat de l'union de la gauche François Mitterrand. Les premiers mois de son septennat sont marqués par les plus grandes grèves connues par le pays depuis mai 68.
Le mouvement débute en octobre chez les postiers parisiens, qui se mobilisent contre les mauvaises conditions de travail et les faibles salaires, sur fond de rumeurs d'un grand plan de privatisations. Très vite, la mobilisation progresse ; certains centres de tri comptabilisent plus de 90% de grévistes. Les travailleurs des hôpitaux et les éboueurs rejoignent le mouvement, paralysant ainsi le pays, à tel point que le ministre de l'intérieur Michel Poniatowski fait appel à l'armée pour briser la grève.
La plus grande grève de l'histoire des PTT se solde néanmoins par un échec. La reprise du travail est effective début décembre 1974, sans avoir obtenu gain de cause. Sans pour autant être une victoire éclatante pour le pouvoir, cet épisode donne l'occasion à Giscard d'Estaing et à ses ministres Jacques Chirac, Michel Poniatowski et Pierre Lelong de se forger une réputation d'intransigeance, et annonce le long reflux du mouvement social à venir.
Ce film amateur de belle facture, réalisé par un syndiqué CFDT alors proche de la Ligue communiste, retrace les différentes étapes du mouvement à Paris, et son point culminant, la manifestation du 19 novembre 1974 à Paris. Georges Séguy et Henri Krasucki pour la CGT et Edmond Maire pour la CFDT défilent côte à côte en tête de cortège. Force Ouvrière (FO) ne participe pas à cette manifestation. André Bergeron, son secrétaire général, est hué dans le cortège. L'auteur du film s'interroge sur les causes de l'échec et pointe, outre le manque de réactivité de la CGT et de la CFDT, la trahison de Force Ouvrière, qui quitte le mouvement en lui reprochant d'être trop "politique".
Pierre Korber, réalisateur du film, est alors membre de la commission exécutive du syndicat BETOR CFDT (Bureau d'Etudes, Organisation et Publicité) et délégué syndical de GSI (entreprise de services informatique). Le film est réalisé comme un supplément au journal syndical Betor Action. Le syndicat BETOR, à cette époque, est considéré par la CFDT comme étant dirigé par les "gauchistes" maoïstes, anarchistes et trotskystes soixante-huitards. les mêmes courants traversaient les syndicats des banques et Hacuitex. (note de Pierre Korber)
Réalisation et commentaire : Pierre Korber
Prise de son : Francis Ronsin
Commentaire dit par Viviane et Pierre Korber
Lieux : Paris, rue Mouffetard, boulevard Brune
Musique : L'Internationale, La Carmagnole, L'Appel du Komintern, La jeune garde, Le front des travailleurs, What shall we do for the striking seamen
Parmi les slogans et banderoles :
"19 novembre, tous dans l'action"
"Cette journée met le gouvernement devant ses responsabilités"
" Service du public, maintien des emplois, même combat!"
"A bas l'armée briseuse de grève"
"les travailleurs immigrés unis dans la lutte"
Armée - Chirac Jacques - Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Facteur - Force Ouvrière - Giscard d’Estaing Valéry - Grève - Hôpital - Krasucki Henri - Maire Edmond - Paris (75) - Soldat - Syndicalisme - Syndicat - Séguy Georges - Thésaurus