Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste et pacifiste, se couchait avec plusieurs dizaines de camarades sur les rails en gare ... [Voir la suite]
Résumé
Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste et pacifiste, se couchait avec plusieurs dizaines de camarades sur les rails en gare de Saint-Pierre-des-Corps pour empêcher le départ d'un train militaire au chargement destiné à l'Indochine. Seule personne arrêtée, elle resta incarcérée pendant 10 mois, ce qui en fit, avec Henri Martin, l'incarnation de la lutte contre la guerre d'Indochine en France. Une intense campagne fut orchestrée par le PCF pour sa libération.
Soixante ans plus tard, Raymonde Dien explique les raisons de son engagement pacifiste, qui trouvent leurs racines dans la Résistance pendant la Seconde guerre mondiale, et relate les différents épisodes de son action puis de sa captivité. Elle se souvient avec émotion de l'ampleur de la mobilisation pour sa libération, et des cris de soutien qui lui parvenaient dans sa prison.
La ville de Saint-Pierre-des-Corps est la seule en France à avoir une rue du 23 février 1950 en hommage à cet épisode.
Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Soixante années plus tôt, quasiment jour pour jour, le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste, se couchait avec plusieurs diza ... [Voir la suite]
Résumé
Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Soixante années plus tôt, quasiment jour pour jour, le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste, se couchait avec plusieurs dizaines de camarades sur les rails en gare de Saint-Pierre-des-Corps pour empêcher le départ d'un train militaire au chargement destiné à l'Indochine. Seule personne arrêtée, elle resta incarcérée pendant 10 mois, ce qui en fit, avec Henri Martin, l'incarnation de la lutte contre la guerre d'Indochine en France. Une intense campagne fut orchestrée par le PCF pour sa libération.
Raymonde Dien est accueillie au son de la chanson « Henri Martin, Raymonde Dien / N’ veulent pas qu’on tue les Vietnamiens / Ils aiment tant la paix / Qu’aux juges ils sont suspects".
Marie-France Beaufils, maire PCF de Saint-Pierre-des-Corps, exprime son souhait de ne pas s'en tenir à des commémorations, mais de tenter de faire un lien avec le présent, d'où le travail mené avec les enfants des écoles de Saint-Pierre.
Raymonde Dien reçoit en cadeau la médaille d'honneur de la ville de Saint-Pierre. Elle rappelle la création du Parti communiste en 1920 à Tours en présence de celui qui ne s'appelait pas encore Ho Chi Minh. Elle rappelle les conséquences désastreuses de l'agent orange au Vietnam et appelle à signer une pétition.
Un hommage est rendu à Jacques Chauveau, secrétaire général du syndicat CGT de la métallurgie de Tours, une des personnes à l'initiative de l'action du 23 février 1950.
Hélène Luc, sénatrice communiste du Val-de-Marne et présidente de l’Association d’amitié franco-vietnamienne et Trinh Ngoc Thai, ancien Ambassadeur du Vietnam et vice-président de l'association d'amitié France-Vietnam, assistent à la journée. Ce dernier explique la popularité de Raymonde Dien au Vietnam.
Le film se termine par une chanson sur Raymonde Dien, écrite à l'époque par une institutrice de Saint-Pierre.
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Ce document est un bout-à-bout de plusieurs films tournés par Dominique Maugars à Tours, Saint-Pierre des Corps et Paris pendant le mouvement contre la réforme des retraites voulue par Nicolas Sarkozy, de juin à novembre 2010. Ce mouvement de très grande ampleur a rassemblé à travers la France plusieurs millions de salariés du public et du privé lors de 14 grandes journées d'action, afin de protes ... [Voir la suite]
Résumé
Ce document est un bout-à-bout de plusieurs films tournés par Dominique Maugars à Tours, Saint-Pierre des Corps et Paris pendant le mouvement contre la réforme des retraites voulue par Nicolas Sarkozy, de juin à novembre 2010. Ce mouvement de très grande ampleur a rassemblé à travers la France plusieurs millions de salariés du public et du privé lors de 14 grandes journées d'action, afin de protester contre le relèvement de 2 ans de l'âge légal de départ à la retraite. L'ensemble des syndicats de salariés français (CGT, CFDT, FO, CFTC, CGC, l'Unsa, Solidaires et la FS) s'oppose à cette réforme, ainsi que les syndicats lycéens et étudiants. Les manifestants entendent non seulement défendre le maintien de l'âge de la retraie à 60 ans, mais aussi l'augmentation des salaires et la sécurisation de l'emploi.
La première manifestation filmée par Dominique Maugars a lieu le 24 juin 2010, mais le cœur du mouvement se situe à l'automne 2010, à partir du 7 septembre.
Jean-Michel Bodin, conseiller régional communiste de la région Centre, commente la manifestation du 24 juin. Marie-France Beaufils, sénatrice communiste et maire de Saint-Pierre des Corps, explique que le système de retraites pourrait être financé, non par l'allongement de la durée de cotisation, mais par la taxation des revenus du capital et la suppression des niches fiscales.
Stéphane Deplobin, secrétaire de l'Union Départementale CGT 37, prononce un discours sur la place de l'Hôtel de ville à Tours. Marie-France Beaufils se charge de déposer au Sénat la pétition signée par les manifestants.
Les sujets tournés dans les cortèges sont entrecoupés par des bancs-titres sur des unes de l'Humanité, et des zooms sur des affiches ou slogans : "1% de salaires en +, c'est 2 milliards de cotisations en +", "exonération des cotisations patronales = 25 milliards en moins pour les retraites", "30 milliards de plus dans les caisses de retraite... si les revenus financiers cotisent au même taux que les salaires"
Le pic de la mobilisation est atteint le 12 octobre. Les jeunes, étudiants et lycéens, sont nombreux à avoir rejoint les rangs. Les syndicats revendiquent 3,5 millions de manifestants pour cette journée, dont 330 000 pour la manifestation parisienne.
Plusieurs séquences sont tournées au Technicentre de Saint-Pierre-des-Corps (ex-Cadoux), lors des AG pour la reconduction de la grève des cheminots.
Rassemblement devant le dépôt pétrolier de Saint-Pierre des Corps ; rassemblement en gare de Saint-Pierre des Corps.
"Sarko, Parisot, y en a marre de vos lois pour les riches" sur l'air du Chant des partisans.
Dominique et Elisabeth Maugars sont à Paris le 6 novembre pour une journée de double manifestation, contre la réforme des retraites et le démantèlement du service public, mais aussi pour le droit à l’avortement, en présence de Laurence Cohen, Marie-George Buffet et Pierre Laurent. On aperçoit Emmanuelle Becker, conseillère de Paris.
Manifestations et rassemblements filmés : 24 juin 2010, 7 septembre 2010, 29 septembre 2010, 2 octobre 2010, 12 octobre 2010, 13 octobre 2010, 14 octobre 2010, 15 octobre 2010, 16 octobre 2010, 18 octobre 2010, 20 octobre 2010, 21 octobre 2010, 22 octobre 2010, 25 octobre 2010, 27 octobre 2010, 28 octobre 2010, 6 novembre 2010, 23 novembre, 25 novembre 2010
Personnalités à l'image : Jean-Michel Bodin, Marie-France Beaufils, Marie-George Buffet, Laurence Cohen, Pierre Laurent, Stéphane Deplobin (CGT), Christophe Dubois (CGT), Didier Bochet (CGT),
Personnalités évoquées : Nicolas Sarkozy (président de la République), Laurence Parisot (présidente du MEDEF),
Buffet Marie-George - Cheminot - Confédération Générale du Travail - Conquêtes sociales (congés payés, retraites, pouvoir d'achat...) - Front de Gauche - Gare ferroviaire - Laurent Pierre - Manifestation - Paris (75) - Parti Communiste Français - SNCF - Saint-Pierre-des-Corps (37) - Thésaurus - Tours (37)
Le 21 janvier 2007, jour anniversaire de la décapitation de Louis XVI (21 janvier 1793), plusieurs dizaines de personnes sont rassemblées place de la Concorde à Paris, où se trouvait la guillotine pendant la Révolution française. Les poètes et dramaturges Jean Ristat, Marie-Noël Rio et Francis Combe lisent des textes rendant "hommage au régicide", acte fondateur de la République. Ils rap ... [Voir la suite]
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Le 21 janvier 2007, jour anniversaire de la décapitation de Louis XVI (21 janvier 1793), plusieurs dizaines de personnes sont rassemblées place de la Concorde à Paris, où se trouvait la guillotine pendant la Révolution française. Les poètes et dramaturges Jean Ristat, Marie-Noël Rio et Francis Combe lisent des textes rendant "hommage au régicide", acte fondateur de la République. Ils rappellent que les droits de l'homme et les valeurs fondamentales de la Révolution française sont sans cesse mis à mal, dans un monde occidental qui n'en a pas fini avec la monarchie - à l'image de l'Espagne, passée des mains de Franco à celles de Juan Carlos, héritier direct de la lignée Bourbon. Les manifestants, derrière la revue Commune, font la demande qu'une rue porte le nom de Maximilien Robespierre à Paris. Le rassemblement se clôt dans la bonne humeur autour d'un verre... de Bourbon.
Robespierre, icône honnie généralement assimilée aux dérives sanglantes de la Terreur, est au contraire une figure clé de la construction d'une pensée socialiste depuis le XIXème siècle. Dans la lignée de Jean Jaurès, les communistes français se sont toujours réclamés d'une vision robespierriste de la Révolution française, arguant que ses discours défendaient une conception universaliste et égalitaire de la société, et que la légende noire de Robespierre fut construite après sa mort par ses ennemis contre-révolutionnaires Thermidoriens. De nombreuses municipalités communistes ont ainsi donné le nom de Robespierre à des rues, ce que la ville de Paris a toujours refusé.
Carton
" En ce temps là on ne voyait pas la tour Eiffel
Ou
Un p’tit Bourbon !!
Et tête de veau vinaigrette."
Ce document est un bout-à-bout de trois sujets tournés entre le 21 et le 25 avril 2012 à Washington et à Paris, en soutien au militant afro-américain Mumia Abu Jamal, condamné à mort en 1982 pour un crime qu'il a toujours nié.
Du 21 au 24 avril 2012, une délégation française composée de Elisabeth Maugars, Jonathan Lere, Claude Guillaumaud-Pujol, Jacky Hortaut, Pierre Mansat, Bernadet ... [Voir la suite]
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Ce document est un bout-à-bout de trois sujets tournés entre le 21 et le 25 avril 2012 à Washington et à Paris, en soutien au militant afro-américain Mumia Abu Jamal, condamné à mort en 1982 pour un crime qu'il a toujours nié.
Du 21 au 24 avril 2012, une délégation française composée de Elisabeth Maugars, Jonathan Lere, Claude Guillaumaud-Pujol, Jacky Hortaut, Pierre Mansat, Bernadette Hetier, Monseigneur Jacques Gaillot et Marie Chapet se rend aux Etats-Unis à l'occasion du 58ème anniversaire de Mumia Abu-Jamal, afin d'exiger sa libération. Le 24 avril, la délégation prend part à une manifestation organisée à Washington devant le Département de la Justice, au cours de laquelle ils souhaitent par téléphone un bon anniversaire à Mumia par l'intermédiaire de sa porte-parole Johanna Fernandez. De nombreux manifestants arborent la tenue orange des détenus du couloir de la mort.
Le 25 avril, de retour en France, une partie de la délégation se rend au rassemblement hebdomadaire du « Collectif National de soutien à Mumia Abu Jamal » place de la Concorde à Paris, devant l'ambassade des Etats-Unis, afin de livrer un compte-rendu de ce voyage. Jacky Hortaut, qui a rendu visite à Mumia dans sa prison de Frackville le 23 avril, fait le récit de cette rencontre. Elisabeth Maugars a pu filmer quelques images du trajet jusqu'à la prison, et montre le chemin d'accès à la prison sur une image satellite.
Chaque film se clôt par une invitation à envoyer une carte à Mumia pour son anniversaire, sauf le dernier qui finit par le Happy Birthday envoyé par téléphone à Mumia au cours de la manifestation de Washington.
Les images aux Etats-Unis ont été tournées par Elisabeth Maugars ; le rassemblement place de la Concorde par Dominique Maugars.
Mumia Abu-Jamal est un militant afro-américain né en 1954, condamné à mort en 1982 pour le meurtre d’un policier. Après 30 ans dans le couloir de la mort à clamer son innocence, il est devenu un des symboles de la lutte contre la peine capitale aux États-Unis. Sa peine a été commuée en prison à perpétuité en 2011. Le combat en faveur de Mumia Abu-Jamal a été largement relayé par le journal L'Humanité. Dominique et Elisabeth Maugars font partie du comité "Sauvons Mumia" d'Indre-et-Loire et ont fait partie de plusieurs délégations aux Etats-Unis pour la libération de Mumia Abu Jamal.
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Après Prague, Budapest, Berlin-est, Bucarest et Varsovie les années précédentes, Moscou accueille du 28 juillet au 11 aout 1957 la 6ème édition du Festival Mondial de la Jeunesse et des Étudiants pour la paix et l'amitié.
34 000 jeunes venus de 131 pays sont attendus, ce qui fait de cette 6ème édition l'une des plus grandes manifestations de l'après-guerre dans le bloc de l'Est .
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Après Prague, Budapest, Berlin-est, Bucarest et Varsovie les années précédentes, Moscou accueille du 28 juillet au 11 aout 1957 la 6ème édition du Festival Mondial de la Jeunesse et des Étudiants pour la paix et l'amitié.
34 000 jeunes venus de 131 pays sont attendus, ce qui fait de cette 6ème édition l'une des plus grandes manifestations de l'après-guerre dans le bloc de l'Est .
Le choix d'organiser le festival à Moscou en 1957 n'est pas anodin, quatre ans après la mort de Staline, un an après le rapport Khrouchtchev et le début de la déstalinisation, un an également après la répression de l'insurrection de Budapest. Le festival est donc l'occasion pour l'URSS de diffuser une image d'ouverture.
Ce film amateur a été tourné par Francis Jégat, jeune employé en télécommunications. On y voit le défilé en costume traditionnel des participants dans le stade, ainsi que des vues touristiques de Moscou pendant le festival. Les images du défilé, tournées depuis la pelouse, à quelques mètres seulement des délégations à l'écran, sont particulièrement remarquables.
Ci-dessous un extrait du témoignage de Francis Jégat, en janvier 2014 :
"J'ai eu la chance, après une préparation, de pouvoir un jour de 1957 rejoindre en gare de Saint-Quentin une dizaine de camarades pour un voyage en train qui devait durer quatre jours jusqu'à Moscou, mais avec un accueil inoubliable sur tout le parcours. Après une nuit passée à Berlin-Est dans une école aménagée, nous avons traversé la Pologne avec des nombreux arrêts où les habitants prévenus de notre passage nous apportaient de la nourriture, des friandises, au son d'orchestres, souvent. Puis ce fut Varsovie encore couvert de ruines (...) enfin ce fut l'arrivée à Brest - frontière russe - accueil fraternel et moment d'émotion. Dans le train c'était une explosion de joie et de chants jusqu'à l'arrivée triomphale en gare de Moscou où une foule nous attendait.
La plupart des participants logèrent comme moi au Soloi Koloss, un grand hôtel près de l'exposition industrielle. Ma grande surprise fut de retrouver devant cette exposition l'immense groupe du kolkhozien et de la kolkhozienne que j'avais découvert enfant sur le pavillon soviétique de la Foire de Paris en 1937. Une organisation exceptionnelle accompagnait ce festival tant dans la restauration que dans les spectacles et rencontres internationales.
(...) Le plus grand moment fut celui de l'inauguration au stade Lénine : une tribune avec des chefs d'Etats et représentants du monde entier et un lâcher de centaines de pigeons avant le discours d'ouverture prononcé par le Mal Vorochilov "je vous salue, jeunes citoyens du monde, etc" (et) le défilé fraternel en costume des représentants de toutes les républiques. "
1922-1991 URSS - Festival - Fédération Mondiale de la Jeunesse Démocratique - Moscou (ville) - Pacifisme - Regards sur l'URSS et les pays de l'Est - Tourisme (activité)
Ce film amateur relate un voyage en Ouzbékistan effectué par un groupe de communistes d'Indre-et-Loire. Son réalisateur, Gilbert Séché (1920-1995) a vécu toute sa vie à Saint-Pierre des corps dont il fut conseiller municipal adjoint PCF.
Le film s'attarde sur la visite de la ville de Boukhara, célèbre pour ses 140 monuments datant du Xème siècle : mosquées, palais, mausolées. Scènes d ... [Voir la suite]
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Ce film amateur relate un voyage en Ouzbékistan effectué par un groupe de communistes d'Indre-et-Loire. Son réalisateur, Gilbert Séché (1920-1995) a vécu toute sa vie à Saint-Pierre des corps dont il fut conseiller municipal adjoint PCF.
Le film s'attarde sur la visite de la ville de Boukhara, célèbre pour ses 140 monuments datant du Xème siècle : mosquées, palais, mausolées. Scènes de marché. Images d'une grande ville (la capitale Tachkent?) où les employés des espaces verts plantent sans relâche des parterres de fleurs rouges sous des statues colossales....