video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1976-MarchaisDans-253-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>764575https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/253 - GEORGES MARCHAIS DANS LE 8E/Photos/253-Marchais_dansle8e-2.jpg/CineA-1976-MarchaisDans-253-1_1
Résumé
Dans le prolongement de la mobilisation réussie lors de la grève dans la haute-couture en novembre 1975, Michel Turoman, secrétaire de la section du PCF du 8ème arrondissement organise une nouvelle initiative : il s’agit cette fois d’un débat public avec Georges Marchais proposé aux travailleurs du 8ème. Cette visite-débat au grand jour du secrétaire national du PCF s’est donc déroulée un jour de ... [Voir la suite]
Résumé
Dans le prolongement de la mobilisation réussie lors de la grève dans la haute-couture en novembre 1975, Michel Turoman, secrétaire de la section du PCF du 8ème arrondissement organise une nouvelle initiative : il s’agit cette fois d’un débat public avec Georges Marchais proposé aux travailleurs du 8ème. Cette visite-débat au grand jour du secrétaire national du PCF s’est donc déroulée un jour de semaine à l’heure de la pause-déjeuner, le 11 août 1976.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, BNF, Forum des images [Réduire]
Voyage en URSS effectué par les familles Biéret et Maugars en 1976.
Le groupe visite d'abord le mémorial des victimes du nazisme de Katyn, en Biélorussie actuelle, près de Minsk : la statue de l'homme tenant un cadavre dans ses bras, l'impressionnant cimetière en forme de labyrinthe, divers monuments commémoratifs.
Visite de Minsk (?) et de son centre ancien. Promenade en barque au bord d'un lac. ... [Voir la suite]
Résumé
Voyage en URSS effectué par les familles Biéret et Maugars en 1976.
Le groupe visite d'abord le mémorial des victimes du nazisme de Katyn, en Biélorussie actuelle, près de Minsk : la statue de l'homme tenant un cadavre dans ses bras, l'impressionnant cimetière en forme de labyrinthe, divers monuments commémoratifs.
Visite de Minsk (?) et de son centre ancien. Promenade en barque au bord d'un lac.
Visite du cuirassé L'Aurore (amarré à Saint Petersbourg). Quelques vues de Saint-Pétersbourg : la flèche dorée et (peut-être) l'intérieur de l'Eglise Saint Pierre.
Visite d'un site touristique présentant une maison en bois, protégée par une vitre
(maison de Lénine?)
Puis vues touristiques de Moscou : le Kremlin, la cloche cassée, le canon.
La dernière séquence est consacrée à la visite de l'Exposition des réalisations de l'économie nationale de l'URSS (VDNKh), Выставка Достижений Народного Хозяйства (ВДНХ), vaste parc des expositions mettant en avant les réalisations technologiques et scientifiques soviétiques.
Le groupe de touristes s'attarde plus particulièrement sur le pavillon Cosmos, qui expose différentes fusées (Vostok) et réacteurs.
Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Film amateur sur le conflit social chez le fabricant de téléviseurs Grandin à Montreuil-sous-Bois en 1975, lutte menée en très grande majorité par des femmes.
Assemblage de plusieurs bobineaux amateurs tournés par des grévistes.
Parmi les grévistes, on reconnaît les déléguées syndicales Evelyne Vanderheym et Mathilde Angeloni, figures de la lutte des Grandin. On aperçoit également le maire de Mon ... [Voir la suite]
Résumé
Film amateur sur le conflit social chez le fabricant de téléviseurs Grandin à Montreuil-sous-Bois en 1975, lutte menée en très grande majorité par des femmes.
Assemblage de plusieurs bobineaux amateurs tournés par des grévistes.
Parmi les grévistes, on reconnaît les déléguées syndicales Evelyne Vanderheym et Mathilde Angeloni, figures de la lutte des Grandin. On aperçoit également le maire de Montreuil Marcel Dufriche, qui soutient les grévistes.
Ballade au Puces de Montreuil, action de lutte et manifestation syndicale, l'exposition ORT (18 au 27 juin) et discussion avec Lionel Stoleru, Secrétaire d'état chargé de la condition des travailleurs manuels.
Vues diverses dans les rues de Montreuil, vues de personnes depuis des fenêtres, dans un appartement, piquet de grève et occupation de l'usine Grandin, Marc à Montreuil, fête du 14 juillet 1975, et bal du PCF
Vues diverses dans les rues de Montreuil, vues de personnes depuis des fenêtres, dans un appartement,piquet de grève et occupation de l'usine Grandin, Marc à Montreuil, fête du 14 juillet 1975, et bal du PCF
Manifestation syndicale à Paris, dont des salariés d'entreprises de Seine-Saint-Denis (tournage du 07/10/1975)
Délégation de la section syndicale CGT d'Artelec (ex-Grandin), plusieurs manifestations dont celle devant la Préfecture à Bobigny, à Montreuil-sous-Bois (07/10/1975)
Manifestation des salariés en grève de l'usine Grandin dans la rue pour populariser leur action, manifestation syndicale Place de la République à Paris (le 23)
Manifestation syndicale à Paris. Un manifestant porte un masque représentant Valéry Giscard d'Estaing, vue d'une banderole Chaix
Manifestation de salariés, "enterrement" du Plan Barre
Scènes de vie quotidienne dans l'usine Grandin occupée par les salariés grévistes.
Grandin était la Société française de radio et de Télévision (SFRT, production et construction) située rue Marceau, à Montreuil-sous- Bois. Dès 1963, la société décide de réduire ses effectifs de 15 % en supprimant 150 emplois. Après rachat de 50% de l'entreprise par Thomson en 1974, Grandin dépose son bilan et se trouve en liquidation judiciaire ; elle doit fermer le 12 décembre 1974. Le 13 décembre 1974, les salariés se mettent en grève et occupent l'usine.
Durant l'occupation de l'usine, les salariés multiplient les actions : occupation du stand de la Thomson au salon des arts ménagers, du siège de la Thomson, journées porte ouverte, occupation des locaux de IT1 rue Cognacq-Jay, auto-invitation chez Françaoise Giroud, secrétaire d'Etat à la condition féminine. L'entreprise Grandin reçaoit en août 1975 une aide de l'Etat afin de redémarrer l'activité avec un nouveau repreneur, Artelec. Le 8 octobre 1975, un protocole d'accord est signé et l'activité redémarre le 13 octobre 1975. Un an plus tard les emplois sont à nouveau menacés chez Artelec et l'entreprise fermera définitivement fin 1976.
Au delà des problèmes de sauvegarde de l'emploi, l'occupation de l'usine aura mis en lumière les difficultés de travail de cette main d'oeuvre féminine non qualifiée et sous payée (O.S. travaillant à la chaîne).
Dans son témoignage, Mathilde Angeloni raconte les difficultés et la pénibilité du travail chez Grandin :
- travail à la chaîne, cadences impossibles à tenir
- faibles salaires, obligeant les femmes à une activité importante à leur domicile (couture)
- un besoin ressenti par les femmes d'un travail qualifié qui n'existait pas dans l'entreprise
- une attitude extrêmement dure des contremaîtres et donc une tension nerveuse et une pénibilité physique importante
L'entreprise Grandin est rachetée par Thomson en 1974 et la fermeture de l'usine de Montreuil-sous-Bois est annoncée pour décembre 1974. Une première occupation des locaux est votée le 13 février 1974. Des cahiers de revendications sont élaborés durant l'occupation : ils reprennent essentiellement les problèmes liés aux conditions de travail. Elle décrit aussi les actions menées pendant ce conflit et les initiatives faites à l'intérieur même de l'entreprise (bals, journées portes ouvertes). Après 9 mois d'occupation réouverture de l'entreprise en octobre 1975, mais les débouchés restent fermés. La fermeture définitive intervient en 1976 et difficultés pour les femmes de retrouver du travail
Mathilde Angeloni fut militante du PCF et responsable de la cellule d'entreprise, puis comme conseillère municipale de Montreuil en 1977. (source : entretien de Mathilde Angeloni par les Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis, 2000)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Banlieue - Grève - Manifestation - Montreuil (93) - Travail des femmes - Usine (bâtiment)
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Résumé
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
Le commentaire rappelle en off ... [Voir la suite]
Résumé
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
Le commentaire rappelle en off certaines œuvres crées précédemment par Ernest Pignon-Ernest. Il s'agissait à chaque fois d'affiches sérigraphiées représentant des corps humains grandeur nature, placardées dans les rues des villes de France. Tour d'horizon des différentes déclinaisons de cette œuvre : la Commune de Paris, les accidents du travail, les immigrés, Maiakovski, l'Apartheid...
En 1976, la Maison de la culture de Grenoble invite Ernest Pignon-Ernest à animer pendant quinze jours un atelier. "L’atelier comprend l'apprentissage de la sérigraphie et une réflexion collective sur la production d'une image, de sa conception à sa diffusion." précise le commentaire.
Grenoble est une ville profondément industrielle, comme en témoignent les images du début et leurs cheminées d'usines crachant de la fumée. Ce n'est donc pas par hasard si le thème retenu par les participants au stage, qui travaillent dans ces mêmes usines, est les nuisances liées au travail (bruit, accidents, cadences...) L'affiche produite à l'issue de l'atelier montrera donc un homme dont le corps subit plusieurs altérations (organes atrophiés, tête éclatée par le bruit, chronomètres mitrailleurs).
Le film montre la fabrication de l'écran de sérigraphie puis l'impression des affiches, tandis qu'une longue séquence finale, au son de chansons revendicatives, montre ces affiches placardées sur les murs et sur les grilles des sites industriels de la ville - façon de rendre visible à l'extérieur la souffrance qui se cache dans ces lieux. "Les affiches réalisées avaient été placardées durant la nuit sur les murs de plusieurs usines de Grenoble, Echirolles, Pont de Claix. Elles n'y sont d'ailleurs pas restées longtemps." (courrier de J-F.Rajau, décembre 2015)
Ce film amateur a été réalisé collectivement par les travailleurs CGT participant au stage. Les prises de vue et le montage ont été effectués par Jean-François Rajau, qui a coordonné le film avec Marie-Madeleine Rajau (alors militante CGT chez Renault-Grenoble).
Mots clés : éducation populaire, sérigraphie, souffrance au travail, accidents du travail
Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
Affiche - Condition de travail - Dessin (art) - Grenoble (38) - Métier artistique - Thésaurus - Usine (bâtiment)
Ce film amateur relate une journée de mobilisation en faveur des salariées de la haute-couture en grève chez Carven.
Un mouvement de grève d’occupation s’était déclenché chez Carven à la fin du mois d’octobre 1975. Prévenu dès le premier jour par une « copine du 14e », chef d’équipe chez Carven, la section PCF du 8e, qui jouxtait les locaux de cette maison de haute-couture, avait pris pied très tô ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur relate une journée de mobilisation en faveur des salariées de la haute-couture en grève chez Carven.
Un mouvement de grève d’occupation s’était déclenché chez Carven à la fin du mois d’octobre 1975. Prévenu dès le premier jour par une « copine du 14e », chef d’équipe chez Carven, la section PCF du 8e, qui jouxtait les locaux de cette maison de haute-couture, avait pris pied très tôt dans la lutte des midinettes.
Ce film retrace une action de lutte marquante durant la grève que fut l’organisation d’une « Sainte-Catherine de lutte » le 25 novembre, environ un mois après le déclenchement de la grève.
Clin d’œil à une profession essentiellement féminine, cette Sainte-Catherine de lutte devait servir de prétexte pour faire événement et élargir le mouvement autour de la grève des salariées de Carven.
Un rassemblement était prévu au Pont de l’Alma, qui fut suivi d’une manifestation et d’une distribution de tracts dans les rues, et en particulier devant chaque maison de haute-couture dans le secteur de l’avenue Montaigne (toutes les maisons de la haute-couture s’y trouvaient, sauf Nina Ricci qui était dans le 2e). Une prise de parole à bord d’une péniche et un récital de Georges Moustaki clôturèrent le programme.
Ce film amateur suit le déroulement de cette journée, fortement soutenue, comme toute la lutte, par la section du PCF du 8ème arrondissement. Il a été réalisé de sa propre initiative par René Bailly, militant communiste qui travaillait aux PTT du 8e, et ensuite montré dans la section du 8e.
Note : La section du 8e arrondissement de Paris avait alors pour secrétaire Michel Turoman, né en 1940 et a adhérant au PCF depuis 1963. Il est devenu secrétaire de la section du 8e en 1975, après avoir été celui de la section de Montparnasse dans le 14e (il a ensuite été secrétaire de la section du 19e). A l’époque, selon lui, le 8e comptait 200 000 personnes qui s’y rendaient chaque matin pour travailler. La section du 8e comptait alors entre 800 et 850 militants, deux cellules locales et surtout des cellules d’entreprises. Car, le 8e abritait alors les sièges de très grandes entreprises, comme EDF, le centre de tri Paris Saint-Lazare, la Poste, Shell, Péchinay, le Crédit coopératif, le Crédit du Nord… et aussi le secteur de la haute couture, principalement situé dans l’avenue Montaigne.
Selon Michel Turoman, le cortège de cette Sainte-Catherine de lutte comptait environ 150 personnes. La manifestation avait été annoncée dans la presse et beaucoup de journalistes l’avaient suivie. Selon lui, ce qui a caractérisé cette lutte des salariées de la haute-couture en 1975 c’était qu’il n’y avait en tout et pour tout qu’une seule communiste dans les maisons de haute couture de Paris. En revanche, elles avaient un syndicat CGT qui fonctionnait. Selon l’ancien secrétaire du 8e, l’initiative avait été laissée entièrement aux salariées grévistes, le PCF apportant son appui et tâchant de nourrir le mouvement de l’extérieur.
Note : Parmi les cellules d’entreprise du 8e arrondissement se trouvait la cellule du cinema. Les écharpes jaunes et vertes, aux couleurs de la Sainte-Catherine, portées par les grévistes avaient été confectionnées par la cellule du cinéma, qui s’était « spécialisée » dans la confection sérigraphique.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images
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Descripteurs
Couture - Manifestation - Paris (75) - Travail des femmes
Ce film amateur se déroule autour de la grande scène. Yves-Emmanuel Dulauroy, militant communiste, saisit l'animation de la Fête dans les pas de son fils, Jérôme (futur secrétaire général du Mouvement des Jeunes Communistes de France de 2002 à 2005).
Vue de la foule sur la pelouse de la grande scène. Dans un stand, Georges Séguy et Georges Valbon (maire de Bobigny de 1965 à 1996, Président des Cha ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur se déroule autour de la grande scène. Yves-Emmanuel Dulauroy, militant communiste, saisit l'animation de la Fête dans les pas de son fils, Jérôme (futur secrétaire général du Mouvement des Jeunes Communistes de France de 2002 à 2005).
Vue de la foule sur la pelouse de la grande scène. Dans un stand, Georges Séguy et Georges Valbon (maire de Bobigny de 1965 à 1996, Président des Charbonnages de France en 1981 puis de 1985 à 1993)
Quelques chapeaux chinois aperçus dans la foule.
Plan d'une jeune femme hippie à côté d'une pancarte d'adhésion au PCF.
Animation musicale dans le stand avec un groupe de joueurs de vielle à roue, puis un groupe de jazz "Les Rois du Swing de Paris".
Retour sur la pelouse de la grande scène. Stand de maquillage. Calicot : "La Victoire du Programme commun". Le petit Jérôme porte un keffieh noué autour du cou (symbole de soutien à la cause palestinienne).
Le film se termine sur une image de la Fête de nuit.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
L'Humanité (fête de) - Séguy Georges - Thésaurus - Valbon Georges
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime comm ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime communiste hongrois.
Carton : "La Hongrie instantanés en chiffres".
Autres chapitres : "L'industrie pharmaceutique hongroise" ; "La loi sur la santé publique".
Budapest : visite de la ville ; vue du Danube.
Nouveau chapitre "Notre trésor le plus cher : l'enfant" ; "Allocation la mère au foyer ".
Départ en train pour Sagvariliget (banlieue de Budapest).
La progression du voyage est suivie sur carte de la Hongrie.
Kiskunfélegyhaza : visite de la ville, voyage en bus.
Szeged : visite de la ville, baignade dans une piscine en plein air, match de water polo.
Carton : Hongrie Balaton, Tihany.
Journée de farniente. Les jeunes se baignent dans le lac Balaton. Voyage en bateau sur le lac.
Vue de l'église de la presqu'île de Tihany.
Fête nationale et démonstration militaire sur le Danube : hélicoptères , bateaux. avions, parachutistes.
Dernière visite de la ville. Retour en train. Arrivée à Paris.
Dernière image sur "Muveszet es Otthon 1975" et un coucher de soleil.
Lieux : Hongrie : Budapest, Kiskunfélegyhaza, Szeged , Balaton, Tihany
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1974-1021-FeteAvantGar-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>500346https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1021 - FETE DE L AVANT GARDE A MONTREUIL/CineA-1974-1021-FeteAvantGar-9.png/CineA-1974-1021-FeteAvantGar-1_1
Résumé
Ce document amateur retrace une fête organisée par le journal de la jeunesse communiste, Avant-Garde, au parc Montreau, à Montreuil (93) en 1974.
On voit différents stands en construction, des dégustations de vin à la buvette. En 1974, le souvenir des événements récents au Chili est très présent, comme en témoignent les drapeaux chiliens et portraits de Salvador Allende.
Cette fête, comme celle d ... [Voir la suite]
Résumé
Ce document amateur retrace une fête organisée par le journal de la jeunesse communiste, Avant-Garde, au parc Montreau, à Montreuil (93) en 1974.
On voit différents stands en construction, des dégustations de vin à la buvette. En 1974, le souvenir des événements récents au Chili est très présent, comme en témoignent les drapeaux chiliens et portraits de Salvador Allende.
Cette fête, comme celle de l'Humanité, est aussi l'occasion de voir des spectacles : spectacles de danse mais aussi concerts (fanfares,percussions, le groupe de pop Au bonheur des dames en tenue à paillettes rose). Le public, exclusivement composé de jeunes, est assis dans l'herbe devant la scène.
Sur scène, une banderole demande le droit de vote à 18 ans - qui sera accordé cette même année. Plusieurs stands indiquent les nombres d'adhésions réalisées pendant la fête au MJCF. Une jeune femme, peut-être Janine Jambu ? prend la parole. Plusieurs dirigeants du PCF sont présents dont Paul Laurent et Pierre Zarka.
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
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Chili - Concert - Discours - L'Avant-garde (journal) - Montreuil (93) - Mouvement Jeunes Communistes de France - Mouvement de jeunesse
Ce film retrace un voyage en voiture effectué par Dominique et Elisabeth Maugars en Roumanie, en 1974, de Bucarest à Oradea.
Le film commence par un générique avec des santons, et un banc-titre sur une carte routière, détaillant les étapes du voyage : Bucarest, Constanta, Histria, Braila, Voronet, Cluj, Oradea.
Les premières images montrent le voyage en voiture, la campagne et la traversée d'une ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film retrace un voyage en voiture effectué par Dominique et Elisabeth Maugars en Roumanie, en 1974, de Bucarest à Oradea.
Le film commence par un générique avec des santons, et un banc-titre sur une carte routière, détaillant les étapes du voyage : Bucarest, Constanta, Histria, Braila, Voronet, Cluj, Oradea.
Les premières images montrent le voyage en voiture, la campagne et la traversée d'une ville. Dans un village, un homme pousse une charrette. On voit un cimetière avec des croix de bois, une église orthodoxe avec son clocheton et un photographe de rue avec son vieil appareil photo à chambre.
Visite d'un grand bâtiment en bois dans la forêt. En ville, une statue de Lénine devant un bâtiment d'architecture soviétique.
Une plage, des champs ; une ville portuaire industrielle, des grues. Quelques scènes de rue avant de partir pour une balade en forêt.
Une séquence est consacrée aux ruines d'une cité antique, vraisemblablement Histria. Une faune nombreuse vole au-dessus d'un lac. Les voitures franchissent le fleuve sur un bac pour aller à Braïla.
Une promenade en forêt, puis un train à vapeur.
De beaux bâtiments religieux, ornés de fresques.
S'ensuivent quelques vues pittoresques de la campagne roumaine, notamment des charrettes qui côtoient les voitures modernes sur la route, ou encore ces paysans coupant le foin à la main.
La séquence suivante a lieu dans une ville, très décorée à l'occasion du trentième anniversaire de la libération de la Roumanie. Partout sont accrochés des drapeaux et calicots rouges, et des dessins. On aperçoit des soldats.
Des femmes brodent des motifs traditionnels fleuris sur des tissus.
Un bal populaire, avec des musiciens. Les enfants font des tours de manège.
Au bord de l'eau, une haute colonne en béton, surmontée d'une statue levant les bras et hissant un arc.
Lieu de consultation : Ciné-Archives
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Descripteurs
Regards sur l'URSS et les pays de l'Est - Roumanie