Robert Laudereau aime filmer les rassemblements et fêtes populaires où il se rend souvent en famille. Pour réaliser l'un de ses premiers films en couleur, il a choisi un excellent évènement tout en couleurs, le carnaval de Bagneux. Il filme quelques moments colorés du défilé et montre ainsi la grande effervescence et l'enthousiasme populaire pour ce type d'évènement, ainsi que la grande variété de ... [Voir la suite]
Résumé
Robert Laudereau aime filmer les rassemblements et fêtes populaires où il se rend souvent en famille. Pour réaliser l'un de ses premiers films en couleur, il a choisi un excellent évènement tout en couleurs, le carnaval de Bagneux. Il filme quelques moments colorés du défilé et montre ainsi la grande effervescence et l'enthousiasme populaire pour ce type d'évènement, ainsi que la grande variété des chars et des gens qui paradent, sans oublier aussi un peu de militantisme.
Éléments principaux des plans filmés:
- Défilé de chars divers et de géants jetant des confettis sur la foule: par exemple, un bateau rempli de petits matelots (des enfants), le char de la Reine du carnaval avec ses demoiselles d'honneur escorté par des chevaliers, le char de la Révolution française avec ses Sans-Culottes et leurs revendications « Défendons nos libertés communales, il faut des subventions », de nombreux chars aux décorations de pays étrangers (pays de l'Est vraisemblablement);
- Défilé de clowns et d'animations diverses: un Arlequin qui rebondit sur une bicyclette transformée, plusieurs orchestres (fanfares, groupe de cornemuses), des danseurs (majorettes, nombreux groupes de danses folkloriques, un danseur bondissant déguisé en dieu hindou bleu), beaucoup de gens habillés en costumes traditionnels, des manèges;
- Quelques plans rapprochés sur un petit garçon gonflant un ballon vert (le fils de R. Laudereau ?), sur une dame et ce même garçonnet dégustant deux barbes à papa.
Visite de la Fête de l'Humanité 1968 par la famille Laudereau. A travers les déambulations et les activités de sa famille, Robert Laudereau donne aussi un petit aperçu des stands, des banderoles et autres animations présentes. Contrairement aux deux autres films de Robert Laudereau sur la Fête de l'Humanité, celui-ci se focalise plus sur les activités familiales que sur la Fête.
Visite de la Fête de l'Humanité 1968 par la famille Laudereau. A travers les déambulations et les activités de sa famille, Robert Laudereau donne aussi un petit aperçu des stands, des banderoles et autres animations présentes. Contrairement aux deux autres films de Robert Laudereau sur la Fête de l'Humanité, celui-ci se focalise plus sur les activités familiales que sur la Fête.
Le film montre ainsi:
- La grande effervescence populaire de cette fête et les activités familiales: plans des allées remplies de monde (Avenue Gagarine), Plan rapproché sur un groupe de musiciens maghrébins, manèges chargés de monde où l'on retrouve les enfants et leur maman (petit train, chevaux de bois, l'Orient Express), repas en famille dans une guinguette autour d'une choucroute ? que ne veut pas goûter le plus petit, Robert Laudereau apparaît lui-même à fin du film portant son garçon sur ses épaules;
- Quelques stands et banderoles: plusieurs stands et banderoles témoignent de la préoccupation de la guerre du Vietnam « Solidarité avec l'héroïque peuple vietnamien qui lutte contre l'agresseur américain pour la liberté », au stand Boulogne-Billancourt « [...] Viet-Nam. Unis pour la démocratie, le progrès, la paix, le socialisme », vue générale sur le bandeau du stand Renault, stand de dégustation « Cuisses de grenouille-Brochettes-Escargots 6 F- Merguez 3 F » stand d'éducation pour les enfants « Pif Village » ( Plan rapproché sur plusieurs maquettes de Pif en carton suspendues), banderole « Alliance des ouvriers et des intellectuels ».
Robert Laudereau suit à nouveau sa famille à travers les allées et animations de la Fête de l'Humanité 1971.
Quelques éléments de cette promenade regroupés pas thèmes:
- divers plans d' embouteillage de voitures allant à la Fête et monde sur les trottoirs et à l'entrée de la Fête (dont la famille Laudereau);
- animations dans les allées et activités pour les enfants (circuit d' ... [Voir la suite]
Résumé
Robert Laudereau suit à nouveau sa famille à travers les allées et animations de la Fête de l'Humanité 1971.
Quelques éléments de cette promenade regroupés pas thèmes:
- divers plans d' embouteillage de voitures allant à la Fête et monde sur les trottoirs et à l'entrée de la Fête (dont la famille Laudereau);
- animations dans les allées et activités pour les enfants (circuit d'auto-tamponneuses, beau train rouge avec chauffeur, tirage au sort, majorettes et fanfare, manèges dont un avec une grande publicité « Buvez du Coca Cola », plusieurs plans sur des brochettes fumantes très appétissantes, plan et zoom sur un orgue construit en 1897, petits canards pour les enfants);
- vue générale de plusieurs stands et banderoles : vue du stand de Châtillon, gros plan sur le stand « Auberge Gasconne, spécialités régionales, service à la carte (Lot et Garonne) » et sur les menus proposés, stand Confidou, vue générale sur plusieurs stands de théâtres (Les Amandiers, TNP, Gérard Philippe, de Gennevilliers, de Sartrouville, ...), vue sur les bandeaux des stands des pays étrangers ( « République démocratique allemande », « URSS », « France-Bulgarie », stand « Au pays du Berry », Gros plan sur une affiche « Sauvons Angela Davis », mouvement panoramique en plongée sur plusieurs stands permettant d'apprécier l'étendue de la Fête (stand de l'Humanité « L'imprimerie au service de la classe ouvrière », stand « Boulogne-Billancourt », « Stains »), stand sur une exposition « 1871-1971, la Commune de Paris il y a 100 ans », stand Pif le Chien, stands sur des activités artisanales (céramiques du Berry, vannerie, bijoux), Gros plan sur les titres de revues de l'Humanité « La grande rentrée ».
- personnalités communistes déambulant dans les allées dont Georges Marchais souriant accompagné d'autres responsables (Georges Seguy).
Fin du film sur une image non identifiée.
Lieux et monuments: la Courneuve
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Congrès du PCF - Davis Angela - Fanfare - L'Humanité (fête de) - L'Humanité (journal) - La Courneuve (93) - Majorette - Manège - Marchais Georges - Séguy Georges - Thésaurus
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Résumé
Un petit cortège de manifestants de l’entreprise Thomson-CSF s’invite sur le parcours et à l’arrivée de la course cycliste du « Paris-Nice »: plan rapproché sur une banderole « Prologue du 30ème Paris-Nice, le 6 mars 1980 à 14h à Issy-les-Moulineaux ».
Les éléments principaux sont :
- Vues diverses des manifestants se répartissant le long des barrières de sécurité, derrière le ... [Voir la suite]
Résumé
Un petit cortège de manifestants de l’entreprise Thomson-CSF s’invite sur le parcours et à l’arrivée de la course cycliste du « Paris-Nice »: plan rapproché sur une banderole « Prologue du 30ème Paris-Nice, le 6 mars 1980 à 14h à Issy-les-Moulineaux ».
Les éléments principaux sont :
- Vues diverses des manifestants se répartissant le long des barrières de sécurité, derrière lesquelles les premiers coureurs cyclistes arrivent, de la circulation du cortège au milieu de la foule avec des pancartes et une caisse en carton « Thomson-CSF CGT-CFDT, ouverture de réelles négociations », une banderole « La métallurgie franco-belge, nous exigeons la garantie de l’emploi et du pouvoir d’achat ».
- Vues diverses des coureurs, des voitures des équipes, de l’arrivée de la course commentée par un monsieur au micro, de la distribution des prix et des maillots sur une petite estrade.
- Vues diverses de la logistique de cet évènement : voitures de police et policiers en service, présence des médias pour couvrir la course cycliste (équipements de radio et caméra de télévision).
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Compétition sportive - Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Cyclisme - Issy-les-Moulineaux (92) - Manifestation - Syndicat - Thomson
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Résumé
Comme deux ans auparavant, le cinéaste amateur Robert Laudereau fait à nouveau partie de la délégation du Comité de jumelage de Châtillon accueillie par sa ville jumelée de Merseburg en République Démocratique Allemande. Pour la délégation française, c’est l’occasion d’assister aux cérémonies du 24ème anniversaire de la RDA, comme la célébration très martiale du 20ème anniversaire des milices popu ... [Voir la suite]
Résumé
Comme deux ans auparavant, le cinéaste amateur Robert Laudereau fait à nouveau partie de la délégation du Comité de jumelage de Châtillon accueillie par sa ville jumelée de Merseburg en République Démocratique Allemande. Pour la délégation française, c’est l’occasion d’assister aux cérémonies du 24ème anniversaire de la RDA, comme la célébration très martiale du 20ème anniversaire des milices populaires. Une école maternelle est également visitée.
En sus des charmes de Merseburg, la délégation découvre plusieurs sites proches : Weimar lors de la Fête des oignons, l'usine chimique de Leuna et le camp de Buchenwald.
Robert Laudereau livre ici un document brut, où les hommages et cérémonies prennent logiquement, dans ce contexte d'anniversaire de la RDA, une place importante. Ce qui surprend ici, c'est l’éclectisme du circuit : d'une usine chimique à une école maternelle, et de la Fête des oignons au Camp de Buchenwald.
Merseburg, ville du sud de la Saxe de 30 000 habitants, est jumelée avec Châtillon depuis 1963. Lucien Bailleux, maire PCF de Châtillon depuis 1959 fut certainement l'artisan de ce rapprochement avec une ville du bloc de l'Est.
Des milices ouvrières (et non populaires comme les nomme ici Robert Laudereau en se trompant peut-être) ont été créées en RDA en 1954 suite à l'insurrection du 17 juin 1953. Elles prennent rapidement le nom de "Groupe de combat" ou Nationale Volksarmee (Armée populaire nationale), et rassemblent des travailleurs volontaires pour protéger les entreprises de toutes tentatives de sabotage, comme sur le chantier du mur de Berlin par exemple. Elles seront dissoutes en 1990.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
1939-1945 Seconde Guerre mondiale - 1949-1990 RDA - Allemagne - Armée - Camp de concentration - Châtillon (92) - Fanfare - Fête - Hommage - Jumelage - Regards sur l'URSS et les pays de l'Est - Tourisme (activité)
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org1440108024<iframe width="1440" height="1080" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1982-MarcheDeLaPa-107-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>763574https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/107 - MARCHE DE LA PAIX, 20 JUIN 1982/Photos/107-Marche_Paix_1982-1.jpg/CineA-1982-MarcheDeLaPa-107-1_1
Résumé
Robert Laudereau livre un témoignage brut de la Marche pour la paix et le désarmement à Paris en juin 1982.
Une foule nombreuse et pacifiste dénonce les conflits en cours au Liban et en Palestine, ainsi que la course à l'armement réinitiée par le gouvernement Reagan avec la bombe à neutron. L'accent est mis sur l'internationalisme des participants (Européens, Orientaux), et les banderoles ap ... [Voir la suite]
Résumé
Robert Laudereau livre un témoignage brut de la Marche pour la paix et le désarmement à Paris en juin 1982.
Une foule nombreuse et pacifiste dénonce les conflits en cours au Liban et en Palestine, ainsi que la course à l'armement réinitiée par le gouvernement Reagan avec la bombe à neutron. L'accent est mis sur l'internationalisme des participants (Européens, Orientaux), et les banderoles appellent à un monde solidaire et désarmé.
Une ambiance festive anime cette manifestation de Montparnasse à la place de la Bastille.
La Marche pour la paix et le désarmement est née de "L'appel des Cent", un collectif de personnalités politiques et intellectuelles (Albert Jacquard, Claude Pieplu, Georges Séguy...), qui, dans le contexte très marqué de la guerre froide, appelle à la négociation Est/Ouest et à la fin de la course aux armements. Ronald Reagan vient de relancer le développement de la bombe à neutrons. Juin 1982 voit également l'escalade de la violence entre Israël et le Liban. Suite à l'attentat contre l'ambassadeur d'Israël à Londres, l'armée israélienne bombarde les camps de l'OLP au sud Liban.
La Marche réunira plusieurs centaines de milliers de participants.
Lieux : Paris
Descripteurs : Désarmement, Guerre du Liban, Palestine, Israël
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
1947-1991 Guerre Froide - Armement militaire - Internationalisme - Manifestation - Marchais Georges - Pacifisme - Piéplu Claude - Séguy Georges
Document constitué de 4 sujets :
1/ 1er mai 1983
2/ Fête de la Paix-Vincennes 19 juin 1983
3/ Avant la Fête de l’Humanité 1983
4/ Manifestation sur les retraites, 23 mai 1983
Sur ces quatre documents amateurs bruts de durées très diverses tournés au printemps 1983, le plus bref est consacré au montage d'un stand pour la fête de l'Humanité. Le premier et et le ... [Voir la suite]
Résumé
Document constitué de 4 sujets :
1/ 1er mai 1983
2/ Fête de la Paix-Vincennes 19 juin 1983
3/ Avant la Fête de l’Humanité 1983
4/ Manifestation sur les retraites, 23 mai 1983
Sur ces quatre documents amateurs bruts de durées très diverses tournés au printemps 1983, le plus bref est consacré au montage d'un stand pour la fête de l'Humanité. Le premier et et le dernier suivent deux manifestations : un 1er mai qui met clairement l'accent sur la paix et le désarmement (la Marche pour la paix se déroulera 1 mois après) et une manifestation de retraités. Peu de revendications politiques ou sociales apparaissent sur les images de ce premier mai 1983 alors que s'amorce pourtant le "tournant de la rigueur". La manifestation sur les retraites se déroule dans le contexte de la baisse de l'âge de la retraite à 60 ans (en février 1983), mais cette décision pèse sur la Sécurité sociale.
Le second document s'attache à la Marche pour la paix et le désarmement, manifestation pacifiste et internationaliste répondant à l'Appel des Cent, un collectif de personnalités diverses (Albert Jacquard, Georges Séguy, Hervé Bazin, Claude Piéplu...). La Marche débute par une manifestation classique et se termine au Bois de Vincennes autour d'une scène de concerts et interventions politiques.
Lieux : Paris, Place de la République, Place du Palais royal, Place de la Nation, Bois de Vincennes
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Journée internationale des travailleurs et travailleuses - L'Humanité (fête de) - Manifestation - Militantisme - Pacifisme - Paris (75) - Piéplu Claude - Thésaurus - Troisième âge
Balade dans la Fête de l'humanité filmée par René Caramini, cheminot à Miramas et militant du PCF. Les séquences sont ponctuées par le nom des allées (chaque édition de la fête de l'Humanité invente une topographie inédite et éphémère en nommant rues, places et avenues du site de la Fête En général, il s'agit de noms de personnalités du mouvement communiste et ouvrier)
Balade dans la Fête de l'humanité filmée par René Caramini, cheminot à Miramas et militant du PCF. Les séquences sont ponctuées par le nom des allées (chaque édition de la fête de l'Humanité invente une topographie inédite et éphémère en nommant rues, places et avenues du site de la Fête En général, il s'agit de noms de personnalités du mouvement communiste et ouvrier)
Arrivée des dirigeants sur la Fête : Georges Marchais, Jacques Duclos, Roland Leroy, Gaston Plissonnier, Jean Kanapa, Étienne Fajon, Georges Séguy, René Andrieu, précédés de porte-drapeaux, drapeaux français et drapeaux rouge, suivis par les majorettes et la fanfare.
Vue sur le stand de Champigny, une banderole :"1920-1970 : 50 ans de lutte pour le progrès social, la démocratie, la paix et le socialisme. Les élections municipales un grand succès du parti communiste français". Passage par la Cité des Pionniers, puis le stand des Hauts-de-Seine côtoyant une réclame Suchard. Arrêt sur le stand de "La Marseillaise au cœur des luttes" où œuvre un potier.
Le stand de l'Humanité avenue Friedrich Engels, le fronton du stand SNIAS de Châtillon : "Solidarité avec les peuples d'Indochine. Rejoignez le Parti communiste français", le stand de la Fédération de la Marne.
Avenue Lénine, autre entrée du stand de l'Humanité où se tient une exposition de peinture. Stand de l'Union des Femmes Françaises (UFF).
Avenue Paul Langevin, stand de L'Union des Juifs pour la Résistance et l'Entr'aide (UJRE) : "Non à l'antisémitisme et au racisme, Israël et les pays arabes, pour la fraternité entre les peuples. Fidélité aux idéaux de la Résistance. Contre le néo-fascisme et le fascisme"
Arrêt sur l'affiche de la Fête de l'Humanité.
Mot d'ordre du stand de Colombes :"Conquise dans l'union Colombes est et restera une municipalité d'union démocratique.
Avenue Gabriel Péri, le stand de Sarcelles. Stand du journal agricole La Terre : "Pour le succès des
élections municipales. Donnez". Autre mot d'ordre : "Il n'y a qu'un moyen aujourd'hui de servir le peuple, c'est de travailler à son union dans la lutte contre le règne du capital, pour une démocratie avancée, pour le socialisme ».
Travelling sur le stand de l'Humanité. Arrêt sur un portrait de Lénine.
Fanfare dans une allée, stand de l'Union des Femmes Françaises (UFF) "Pour la femme d'aujourd'hui'"; stand du journal "La Marseillaise : au cœur des luttes"
Place Karl Marx, le stand d'Aubagne "Berceau du Santon et de la terre cuite", animé par son groupe folklorique et son potier. Long plan sur la structure de la fédération de l'Oise, agrémentée de calicots "1925 : A bas la guerre du Maroc" ; "1935 : Faire payer les riches" : 1938 : Munich c'est la guerre ; "1936 : Les armes pour l'Espagne" ; 1914 : Tous aux barricades" ; "France socialiste". Stand du 19e : "L'imprimerie au service de la classe ouvrière". Hommage de l'Amicale des Anciens Volontaires Français en Espagne Républicaine aux Brigadistes : "Voluntarias Intercionales de la Libertad, 1926-1939 ». Retour au stand de la Marseillaise et à celui d'Aubagne.
Le film se termine sur le drapeau rouge et le drapeau français
Lieu : Pelouse de Reuilly, Bois de Vincennes
Personnalités : Georges Marchais, Jacques Duclos, Roland Leroy, Gaston Plissonnier, Jean Kanapa, Etienne Fajon, Georges Séguy, René Andrieu
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Duclos Jacques - Engels Friedrich - Fajon Étienne - Kanapa Jean - L'Humanité (fête de) - La Terre (journal) - Leroy Roland - Lénine Vladimir Ilitch Oulianov - Marchais Georges - Plissonnier Gaston - Séguy Georges - Union des Femmes Françaises - Union des Juifs pour la Résistance et l'Entraide
Ce film amateur relate une journée de mobilisation en faveur des salariées de la haute-couture en grève chez Carven.
Un mouvement de grève d’occupation s’était déclenché chez Carven à la fin du mois d’octobre 1975. Prévenu dès le premier jour par une « copine du 14e », chef d’équipe chez Carven, la section PCF du 8e, qui jouxtait les locaux de cette maison de haute-couture, avait pris pied t ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur relate une journée de mobilisation en faveur des salariées de la haute-couture en grève chez Carven.
Un mouvement de grève d’occupation s’était déclenché chez Carven à la fin du mois d’octobre 1975. Prévenu dès le premier jour par une « copine du 14e », chef d’équipe chez Carven, la section PCF du 8e, qui jouxtait les locaux de cette maison de haute-couture, avait pris pied très tôt dans la lutte des midinettes.
Ce film retrace une action de lutte marquante durant la grève que fut l’organisation d’une « Sainte-Catherine de lutte » le 25 novembre, environ un mois après le déclenchement de la grève.
Clin d’œil à une profession essentiellement féminine, cette Sainte-Catherine de lutte devait servir de prétexte pour faire événement et élargir le mouvement autour de la grève des salariées de Carven.
Un rassemblement était prévu au Pont de l’Alma, qui fut suivi d’une manifestation et d’une distribution de tracts dans les rues, et en particulier devant chaque maison de haute-couture dans le secteur de l’avenue Montaigne (toutes les maisons de la haute-couture s’y trouvaient, sauf Nina Ricci qui était dans le 2e). Une prise de parole à bord d’une péniche et un récital de Georges Moustaki clôturèrent le programme.
Ce film amateur suit le déroulement de cette journée, fortement soutenue, comme toute la lutte, par la section du PCF du 8ème arrondissement. Il a été réalisé de sa propre initiative par René Bailly, militant communiste qui travaillait aux PTT du 8e, et ensuite montré dans la section du 8e.
Note : La section du 8e arrondissement de Paris avait alors pour secrétaire Michel Turoman, né en 1940 et a adhérant au PCF depuis 1963. Il est devenu secrétaire de la section du 8e en 1975, après avoir été celui de la section de Montparnasse dans le 14e (il a ensuite été secrétaire de la section du 19e). A l’époque, selon lui, le 8e comptait 200 000 personnes qui s’y rendaient chaque matin pour travailler. La section du 8e comptait alors entre 800 et 850 militants, deux cellules locales et surtout des cellules d’entreprises. Car, le 8e abritait alors les sièges de très grandes entreprises, comme EDF, le centre de tri Paris Saint-Lazare, la Poste, Shell, Péchinay, le Crédit coopératif, le Crédit du Nord… et aussi le secteur de la haute couture, principalement situé dans l’avenue Montaigne.
Selon Michel Turoman, le cortège de cette Sainte-Catherine de lutte comptait environ 150 personnes. La manifestation avait été annoncée dans la presse et beaucoup de journalistes l’avaient suivie. Selon lui, ce qui a caractérisé cette lutte des salariées de la haute-couture en 1975 c’était qu’il n’y avait en tout et pour tout qu’une seule communiste dans les maisons de haute couture de Paris. En revanche, elles avaient un syndicat CGT qui fonctionnait. Selon l’ancien secrétaire du 8e, l’initiative avait été laissée entièrement aux salariées grévistes, le PCF apportant son appui et tâchant de nourrir le mouvement de l’extérieur.
Note : Parmi les cellules d’entreprise du 8e arrondissement se trouvait la cellule du cinema. Les écharpes jaunes et vertes, aux couleurs de la Sainte-Catherine, portées par les grévistes avaient été confectionnées par la cellule du cinéma, qui s’était « spécialisée » dans la confection sérigraphique.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
Couture - Manifestation - Paris (75) - Travail des femmes
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime comm ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime communiste hongrois.
Carton : "La Hongrie instantanés en chiffres".
Autres chapitres : "L'industrie pharmaceutique hongroise" ; "La loi sur la santé publique".
Budapest : visite de la ville ; vue du Danube.
Nouveau chapitre "Notre trésor le plus cher : l'enfant" ; "Allocation la mère au foyer ".
Départ en train pour Sagvariliget (banlieue de Budapest).
La progression du voyage est suivie sur carte de la Hongrie.
Kiskunfélegyhaza : visite de la ville, voyage en bus.
Szeged : visite de la ville, baignade dans une piscine en plein air, match de water polo.
Carton : Hongrie Balaton, Tihany.
Journée de farniente. Les jeunes se baignent dans le lac Balaton. Voyage en bateau sur le lac.
Vue de l'église de la presqu'île de Tihany.
Fête nationale et démonstration militaire sur le Danube : hélicoptères , bateaux. avions, parachutistes.
Dernière visite de la ville. Retour en train. Arrivée à Paris.
Dernière image sur "Muveszet es Otthon 1975" et un coucher de soleil.
Lieux : Hongrie : Budapest, Kiskunfélegyhaza, Szeged , Balaton, Tihany
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]