video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1988-1023-VoyageCoreeN-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>15201080https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1023 - VOYAGE EN COREE DU NORD/CineA-1988-1023-VoyageCoreeN-1.png/CineA-1988-1023-VoyageCoreeN-1_1
Résumé
Voyage organisé en Corée du Nord, auquel participent Dominique et Elisabeth Maugars en 1988. Des vues touristiques de Pyongyang (les monuments, arcs de triomphe, le métro....) encadrent une partie centrale consacrée à des balades en forêt. Le film s'achève sur une courte séquence tournée à la frontière entre les deux Corées, sur la ligne de démarcation : des soldats Nord-Coréens en uniforme sont e ... [Voir la suite]
Résumé
Voyage organisé en Corée du Nord, auquel participent Dominique et Elisabeth Maugars en 1988. Des vues touristiques de Pyongyang (les monuments, arcs de triomphe, le métro....) encadrent une partie centrale consacrée à des balades en forêt. Le film s'achève sur une courte séquence tournée à la frontière entre les deux Corées, sur la ligne de démarcation : des soldats Nord-Coréens en uniforme sont en faction, devant des baraquements.
Le voyage commence à Pyongyang, où le groupe est convié à assister à des cours dispensés dans une école primaire : des enfants étudient le fonctionnement d'un tracteur, dans ce qu'on imagine être un cours de mécanique. Puis c'est un match de basket, et enfin une leçon de musique suivie d'un cours de danse.
Quelques vues touristiques de Pyongyang (ses monuments, ses fresques à la gloire du régime), s'ensuivent.
Le groupe visite la maison natale de Kim Il Sung, en bois et en chaume et le "Myohyang Museum of gifts to Great Leader". Vues sur le fleuve, puis sur un groupe d'écoliers en uniforme, avec leur foulard rouge, sortant de la visite d'un temple.
Voyage en train puis promenade en forêt. Quelques vues typiques : cacades, rochers, monuments anciens, villages traditionnels/ Quelques groupes de touristes coréens, drapeau rouge en tête.
De reotur à Pyongyang, quelques vues de la ville.
Une visite au zoo, puis un chantier de construction.
Un parc d'attractions avec des montagnes russes.
Nouvelle promenade en forêt, au tombeau du roi Kongmin.
Le film se termine sur la zone militaire entre les deux Corées. Le groupe est installé dans une salle à l'intérieur d'un baraquement, surveillé par un garde. Quelques vues en extérieur sur les soldats et la relève de la garde.
Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
Corée du Nord - Thésaurus - Train - École primaire
Trois événements différents sur cette bobine : un rassemblement devant le Louvre pour la réintégration des 11 de Renault, des vues prises depuis un train à l'abord d'une grande gare parisienne, et la Fête de l'Humanité 1989.
Banderole CGT "Mitterrand, Réintégrez les 11 de Renault"
Devant le Louvre, peut-être au moment de l'inauguration de la pyramide du Louvre ? Plusieurs plans sur un homme non ... [Voir la suite]
Résumé
Trois événements différents sur cette bobine : un rassemblement devant le Louvre pour la réintégration des 11 de Renault, des vues prises depuis un train à l'abord d'une grande gare parisienne, et la Fête de l'Humanité 1989.
Banderole CGT "Mitterrand, Réintégrez les 11 de Renault"
Devant le Louvre, peut-être au moment de l'inauguration de la pyramide du Louvre ? Plusieurs plans sur un homme non identifié, visiblement syndicaliste et/ou avocat ?
Entrée d'un train en gare. Vue sur la banlieue qui défile.
Fête de l'Humanité 1989, l'intérieur des stands. Une exposition de dessins. "Hommage à Paulo". Plan sur le menu du stand de la section de Meudon.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
L'Humanité (fête de) - Manifestation - Paris (75) - Train
Ce document rassemble plusieurs événements organisés à l'initiative du Mouvement de la Paix en 1990 et 1991.
Manifestation du Mouvement de la Paix à Suippes le 25 mars 1990 pour protester contre l'annonce du budget de 117 milliards de francs consacrés au programme de missiles Hadès.
Manifestation de l'Association des Médecins Français pour la Prévention de la Guerre Nucléaire en août 90 à Taver ... [Voir la suite]
Résumé
Ce document rassemble plusieurs événements organisés à l'initiative du Mouvement de la Paix en 1990 et 1991.
Manifestation du Mouvement de la Paix à Suippes le 25 mars 1990 pour protester contre l'annonce du budget de 117 milliards de francs consacrés au programme de missiles Hadès.
Manifestation de l'Association des Médecins Français pour la Prévention de la Guerre Nucléaire en août 90 à Taverny
"Appel des 100" le 21 juin 1991 au Champ de Mars à Paris
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis
[Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-2002-1090-UnAvionPourM-1-1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>768576https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1090 - UN AVION POUR MUMIA/CineA-2002-1090-UnAvionPourM-1-7h.jpg/CineA-2002-1090-UnAvionPourM-1-1
Résumé
Du 1er au 3 novembre 2002, une délégation de 50 français se rend à Philadelphie pour remettre des pétitions pour la libération de Mumia Abu Jamal auprès de la Cour suprême de Pennsylvanie. Ce voyage a été rendu possible par l'appel "Un avion pour Mumia" lancé par le collectif unitaire national de soutien à Mumia Abu Jamal, qui a levé des fonds et mobilisé des soutiens.
Le film commence par les ret ... [Voir la suite]
Résumé
Du 1er au 3 novembre 2002, une délégation de 50 français se rend à Philadelphie pour remettre des pétitions pour la libération de Mumia Abu Jamal auprès de la Cour suprême de Pennsylvanie. Ce voyage a été rendu possible par l'appel "Un avion pour Mumia" lancé par le collectif unitaire national de soutien à Mumia Abu Jamal, qui a levé des fonds et mobilisé des soutiens.
Le film commence par les retrouvailles à l'aéroport de Philadelphie avec les proches de Mumia Abu-Jamal, dont Pam Africa, porte-parole de International Concerned Family and Friends of Mumia Abu-Jamal et activiste au sein de l'association afro-américaine MOVE. Elle explique que Mumia Abu Jamal ne peut pas communiquer facilement avec l'extérieur, mais qu'il est touché de la mobilisation en sa faveur.
La délégation se rend dans le bureau du juge à Philadelphie afin de remettre la pétition signée par 250 000 personnes en France pour la libération de Mumia Abu Jamal. Le juge, perplexe, laisse entendre que la pétition n'est pas recevable si elle ne respecte pas certaines règles. Jacky Hortaut tente de le convaincre.
Dans la rue, à Philadelphie, Pam Africa (MOVE) harangue la foule. Plusieurs membres de la délégation prennent la parole : Jacky Hortaut, Alphonse Veronese de la CGT et François Liberti, député communiste.
Mumia Abu-Jamal est un militant afro-américain né en 1954, condamné à mort en 1982 pour le meurtre d’un policier. Après 30 ans dans le couloir de la mort à clamer son innocence, il est devenu un des symboles de la lutte contre la peine capitale aux États-Unis. Sa peine a été commuée en prison à perpétuité en 2011. Le combat en faveur de Mumia Abu-Jamal a été largement relayé par le journal L'Humanité. Dominique et Elisabeth Maugars font partie du comité "Sauvons Mumia" d'Indre-et-Loire et ont fait partie de plusieurs délégations aux Etats-Unis pour la libération de Mumia Abu Jamal.
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
Manifestation - Militantisme - Racisme - États-Unis
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-2003-1089-MumiaCitoyen-1-1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>768576https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1089 - MUMIA CITOYEN VILLE DE PARIS/CineA-2003-1089-MumiaCitoyen-1-2h.jpg/CineA-2003-1089-MumiaCitoyen-1-1
Résumé
Dans le salon d’honneur de l'hôtel de ville de Paris, Angela Davis reçoit des mains de Bertrand Delanoë, maire de Paris, le diplôme et la médaille de citoyen d’honneur de la ville de Paris décerné à Mumia Abu Jamal.
Bertrand Delanoë exprime son émotion de recevoir Angela Davis et de décerner cette médaille à Mumia Abu-Jamal. Angela Davis, en français, rappelle le combat des français et françaises ... [Voir la suite]
Résumé
Dans le salon d’honneur de l'hôtel de ville de Paris, Angela Davis reçoit des mains de Bertrand Delanoë, maire de Paris, le diplôme et la médaille de citoyen d’honneur de la ville de Paris décerné à Mumia Abu Jamal.
Bertrand Delanoë exprime son émotion de recevoir Angela Davis et de décerner cette médaille à Mumia Abu-Jamal. Angela Davis, en français, rappelle le combat des français et françaises qui a permis sa libération il y a 30 ans et appelle à amplifier le combat pour Mumia Abu Jamal, dont elle fait entendre un enregistrement. Le film se clôt sur l'interview par Elisabeth Maugars de Nicole Borvo, à l’initiative avec le groupe des élus communistes de la ville de Paris de cette reconnaissance.
Mumia Abu-Jamal, est un militant afro-américain né en 1954, condamné à mort en 1982 pour le meurtre d’un policier. Après 30 ans dans le couloir de la mort à clamer son innocence, il est devenu un des symboles de la lutte contre la peine capitale aux États-Unis. Sa peine a été commuée en prison à perpétuité en 2011. Le combat en faveur de Mumia Abu-Jamal a été largement relayé par le journal L'Humanité. Dominique et Elisabeth Maugars font partie du comité "Sauvons Mumia" d'Indre-et-Loire.
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Manifestation organisée par « Ensemble contre la peine de mort » (ECPM). Les comités de défense de Mumia Abu-Jamal participent à cette journée.
Personnalités : Marie George Buffet ; Nicole Borvo, Robert Badinter ; Claude Guillaumaud-Pujol, Béatrice Koulakssiss.
Banderoles « libérez Mumia », « ECPM » ; « Américain contre la guerre ».
Images : Elisabeth et Dominique Maugars
Montage : Dominique Ma ... [Voir la suite]
Résumé
Manifestation organisée par « Ensemble contre la peine de mort » (ECPM). Les comités de défense de Mumia Abu-Jamal participent à cette journée.
Personnalités : Marie George Buffet ; Nicole Borvo, Robert Badinter ; Claude Guillaumaud-Pujol, Béatrice Koulakssiss.
Banderoles « libérez Mumia », « ECPM » ; « Américain contre la guerre ».
Images : Elisabeth et Dominique Maugars
Montage : Dominique Maugars
[Réduire]
Le 21 janvier 2007, jour anniversaire de la décapitation de Louis XVI (21 janvier 1793), plusieurs dizaines de personnes sont rassemblées place de la Concorde à Paris, où se trouvait la guillotine pendant la Révolution française. Les poètes et dramaturges Jean Ristat, Marie-Noël Rio et Francis Combe lisent des textes rendant "hommage au régicide", acte fondateur de la République. Ils rappellent qu ... [Voir la suite]
Résumé
Le 21 janvier 2007, jour anniversaire de la décapitation de Louis XVI (21 janvier 1793), plusieurs dizaines de personnes sont rassemblées place de la Concorde à Paris, où se trouvait la guillotine pendant la Révolution française. Les poètes et dramaturges Jean Ristat, Marie-Noël Rio et Francis Combe lisent des textes rendant "hommage au régicide", acte fondateur de la République. Ils rappellent que les droits de l'homme et les valeurs fondamentales de la Révolution française sont sans cesse mis à mal, dans un monde occidental qui n'en a pas fini avec la monarchie - à l'image de l'Espagne, passée des mains de Franco à celles de Juan Carlos, héritier direct de la lignée Bourbon. Les manifestants, derrière la revue Commune, font la demande qu'une rue porte le nom de Maximilien Robespierre à Paris. Le rassemblement se clôt dans la bonne humeur autour d'un verre... de Bourbon.
Robespierre, icône honnie généralement assimilée aux dérives sanglantes de la Terreur, est au contraire une figure clé de la construction d'une pensée socialiste depuis le XIXème siècle. Dans la lignée de Jean Jaurès, les communistes français se sont toujours réclamés d'une vision robespierriste de la Révolution française, arguant que ses discours défendaient une conception universaliste et égalitaire de la société, et que la légende noire de Robespierre fut construite après sa mort par ses ennemis contre-révolutionnaires Thermidoriens. De nombreuses municipalités communistes ont ainsi donné le nom de Robespierre à des rues, ce que la ville de Paris a toujours refusé.
Carton
" En ce temps là on ne voyait pas la tour Eiffel
Ou
Un p’tit Bourbon !!
Et tête de veau vinaigrette."
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-2009-1092-MumiaConcord-1-1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>768576https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1092 - RASSEMBLEMENT POUR MUMIA PLACE DE LA CONCORDE/CineA-2009-1092-MumiaConcord-1-4h.jpg/CineA-2009-1092-MumiaConcord-1-1
Résumé
Le 22 avril 2009, rassemblement place de la Concorde à Paris en face de l’Ambassade des Etats-Unis, pour le 55ème anniversaire de Mumia Abu Jamal, alors depuis 27 ans dans le couloir de la mort.
Jacky Hortaut (responsable du collectif national de soutien à Mumia Abu Jamal) rappelle les conditions de la condamnation de Mumia et son combat.
Plusieurs personnalités font part de leur soutien à Mumia ... [Voir la suite]
Résumé
Le 22 avril 2009, rassemblement place de la Concorde à Paris en face de l’Ambassade des Etats-Unis, pour le 55ème anniversaire de Mumia Abu Jamal, alors depuis 27 ans dans le couloir de la mort.
Jacky Hortaut (responsable du collectif national de soutien à Mumia Abu Jamal) rappelle les conditions de la condamnation de Mumia et son combat.
Plusieurs personnalités font part de leur soutien à Mumia Abu Jamal : Monseigneur Jacques Gaillot, Henri Alleg, auteur de La Question, et Isabelle Lorand (PCF).
Mumia Abu-Jamal est un militant afro-américain né en 1954, condamné à mort en 1982 pour le meurtre d’un policier. Après 30 ans dans le couloir de la mort à clamer son innocence, il est devenu un des symboles de la lutte contre la peine capitale aux États-Unis. Sa peine a été commuée en prison à perpétuité en 2011. Le combat en faveur de Mumia Abu-Jamal a été largement relayé par le journal L'Humanité. Dominique et Elisabeth Maugars font partie du comité "Sauvons Mumia" d'Indre-et-Loire.
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste et pacifiste, se couchait avec plusieurs dizaines de camarades sur les rails en gare de Saint-Pi ... [Voir la suite]
Résumé
Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste et pacifiste, se couchait avec plusieurs dizaines de camarades sur les rails en gare de Saint-Pierre-des-Corps pour empêcher le départ d'un train militaire au chargement destiné à l'Indochine. Seule personne arrêtée, elle resta incarcérée pendant 10 mois, ce qui en fit, avec Henri Martin, l'incarnation de la lutte contre la guerre d'Indochine en France. Une intense campagne fut orchestrée par le PCF pour sa libération.
Soixante ans plus tard, Raymonde Dien explique les raisons de son engagement pacifiste, qui trouvent leurs racines dans la Résistance pendant la Seconde guerre mondiale, et relate les différents épisodes de son action puis de sa captivité. Elle se souvient avec émotion de l'ampleur de la mobilisation pour sa libération, et des cris de soutien qui lui parvenaient dans sa prison.
La ville de Saint-Pierre-des-Corps est la seule en France à avoir une rue du 23 février 1950 en hommage à cet épisode.
Lieux de consultation : Ciné-Archives
[Réduire]
Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Soixante années plus tôt, quasiment jour pour jour, le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste, se couchait avec plusieurs dizaines de cama ... [Voir la suite]
Résumé
Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Soixante années plus tôt, quasiment jour pour jour, le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste, se couchait avec plusieurs dizaines de camarades sur les rails en gare de Saint-Pierre-des-Corps pour empêcher le départ d'un train militaire au chargement destiné à l'Indochine. Seule personne arrêtée, elle resta incarcérée pendant 10 mois, ce qui en fit, avec Henri Martin, l'incarnation de la lutte contre la guerre d'Indochine en France. Une intense campagne fut orchestrée par le PCF pour sa libération.
Raymonde Dien est accueillie au son de la chanson « Henri Martin, Raymonde Dien / N’ veulent pas qu’on tue les Vietnamiens / Ils aiment tant la paix / Qu’aux juges ils sont suspects".
Marie-France Beaufils, maire PCF de Saint-Pierre-des-Corps, exprime son souhait de ne pas s'en tenir à des commémorations, mais de tenter de faire un lien avec le présent, d'où le travail mené avec les enfants des écoles de Saint-Pierre.
Raymonde Dien reçoit en cadeau la médaille d'honneur de la ville de Saint-Pierre. Elle rappelle la création du Parti communiste en 1920 à Tours en présence de celui qui ne s'appelait pas encore Ho Chi Minh. Elle rappelle les conséquences désastreuses de l'agent orange au Vietnam et appelle à signer une pétition.
Un hommage est rendu à Jacques Chauveau, secrétaire général du syndicat CGT de la métallurgie de Tours, une des personnes à l'initiative de l'action du 23 février 1950.
Hélène Luc, sénatrice communiste du Val-de-Marne et présidente de l’Association d’amitié franco-vietnamienne et Trinh Ngoc Thai, ancien Ambassadeur du Vietnam et vice-président de l'association d'amitié France-Vietnam, assistent à la journée. Ce dernier explique la popularité de Raymonde Dien au Vietnam.
Le film se termine par une chanson sur Raymonde Dien, écrite à l'époque par une institutrice de Saint-Pierre.
Lieux de consultation : Ciné-Archives
[Réduire]
Descripteurs
1946-1954 Guerre d'Indochine - 1955-1975 Guerre du Vietnam - Anticolonialisme - Dien Raymonde - Ho Chi Minh - Indre-et-Loire (37) - Luc Hélène - Saint-Pierre-des-Corps (37)