Ce film amateur se déroule autour de la grande scène. Yves-Emmanuel Dulauroy, militant communiste, saisit l'animation de la Fête dans les pas de son fils, Jérôme (futur secrétaire général du Mouvement des Jeunes Communistes de France de 2002 à 2005).
Vue de la foule sur la pelouse de la grande scène. Dans un stand, Georges Séguy et Georges Valbon (maire de Bobigny de 1965 à 1996, Président d ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur se déroule autour de la grande scène. Yves-Emmanuel Dulauroy, militant communiste, saisit l'animation de la Fête dans les pas de son fils, Jérôme (futur secrétaire général du Mouvement des Jeunes Communistes de France de 2002 à 2005).
Vue de la foule sur la pelouse de la grande scène. Dans un stand, Georges Séguy et Georges Valbon (maire de Bobigny de 1965 à 1996, Président des Charbonnages de France en 1981 puis de 1985 à 1993)
Quelques chapeaux chinois aperçus dans la foule.
Plan d'une jeune femme hippie à côté d'une pancarte d'adhésion au PCF.
Animation musicale dans le stand avec un groupe de joueurs de vielle à roue, puis un groupe de jazz "Les Rois du Swing de Paris".
Retour sur la pelouse de la grande scène. Stand de maquillage. Calicot : "La Victoire du Programme commun". Le petit Jérôme porte un keffieh noué autour du cou (symbole de soutien à la cause palestinienne).
Le film se termine sur une image de la Fête de nuit.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
L'Humanité (fête de) - Séguy Georges - Thésaurus - Valbon Georges
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime comm ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime communiste hongrois.
Carton : "La Hongrie instantanés en chiffres".
Autres chapitres : "L'industrie pharmaceutique hongroise" ; "La loi sur la santé publique".
Budapest : visite de la ville ; vue du Danube.
Nouveau chapitre "Notre trésor le plus cher : l'enfant" ; "Allocation la mère au foyer ".
Départ en train pour Sagvariliget (banlieue de Budapest).
La progression du voyage est suivie sur carte de la Hongrie.
Kiskunfélegyhaza : visite de la ville, voyage en bus.
Szeged : visite de la ville, baignade dans une piscine en plein air, match de water polo.
Carton : Hongrie Balaton, Tihany.
Journée de farniente. Les jeunes se baignent dans le lac Balaton. Voyage en bateau sur le lac.
Vue de l'église de la presqu'île de Tihany.
Fête nationale et démonstration militaire sur le Danube : hélicoptères , bateaux. avions, parachutistes.
Dernière visite de la ville. Retour en train. Arrivée à Paris.
Dernière image sur "Muveszet es Otthon 1975" et un coucher de soleil.
Lieux : Hongrie : Budapest, Kiskunfélegyhaza, Szeged , Balaton, Tihany
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1976-MarchaisDans-253-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>764575https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/253 - GEORGES MARCHAIS DANS LE 8E/Photos/253-Marchais_dansle8e-2.jpg/CineA-1976-MarchaisDans-253-1_1
Résumé
Dans le prolongement de la mobilisation réussie lors de la grève dans la haute-couture en novembre 1975, Michel Turoman, secrétaire de la section du PCF du 8ème arrondissement organise une nouvelle initiative : il s’agit cette fois d’un débat public avec Georges Marchais proposé aux travailleurs du 8ème. Cette visite-débat au grand jour du secrétaire national du PCF s’est donc déroulée un jour de ... [Voir la suite]
Résumé
Dans le prolongement de la mobilisation réussie lors de la grève dans la haute-couture en novembre 1975, Michel Turoman, secrétaire de la section du PCF du 8ème arrondissement organise une nouvelle initiative : il s’agit cette fois d’un débat public avec Georges Marchais proposé aux travailleurs du 8ème. Cette visite-débat au grand jour du secrétaire national du PCF s’est donc déroulée un jour de semaine à l’heure de la pause-déjeuner, le 11 août 1976.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, BNF, Forum des images [Réduire]
Voyage en URSS effectué par les familles Biéret et Maugars en 1976.
Le groupe visite d'abord le mémorial des victimes du nazisme de Katyn, en Biélorussie actuelle, près de Minsk : la statue de l'homme tenant un cadavre dans ses bras, l'impressionnant cimetière en forme de labyrinthe, divers monuments commémoratifs.
Visite de Minsk (?) et de son centre ancien. Promenade en barque ... [Voir la suite]
Résumé
Voyage en URSS effectué par les familles Biéret et Maugars en 1976.
Le groupe visite d'abord le mémorial des victimes du nazisme de Katyn, en Biélorussie actuelle, près de Minsk : la statue de l'homme tenant un cadavre dans ses bras, l'impressionnant cimetière en forme de labyrinthe, divers monuments commémoratifs.
Visite de Minsk (?) et de son centre ancien. Promenade en barque au bord d'un lac.
Visite du cuirassé L'Aurore (amarré à Saint Petersbourg). Quelques vues de Saint-Pétersbourg : la flèche dorée et (peut-être) l'intérieur de l'Eglise Saint Pierre.
Visite d'un site touristique présentant une maison en bois, protégée par une vitre
(maison de Lénine?)
Puis vues touristiques de Moscou : le Kremlin, la cloche cassée, le canon.
La dernière séquence est consacrée à la visite de l'Exposition des réalisations de l'économie nationale de l'URSS (VDNKh), Выставка Достижений Народного Хозяйства (ВДНХ), vaste parc des expositions mettant en avant les réalisations technologiques et scientifiques soviétiques.
Le groupe de touristes s'attarde plus particulièrement sur le pavillon Cosmos, qui expose différentes fusées (Vostok) et réacteurs.
Film amateur sur le conflit social chez le fabricant de téléviseurs Grandin à Montreuil-sous-Bois en 1975, lutte menée en très grande majorité par des femmes.
Assemblage de plusieurs bobineaux amateurs tournés par des grévistes.
Parmi les grévistes, on reconnaît les déléguées syndicales Evelyne Vanderheym et Mathilde Angeloni, figures de la lutte des Grandin. On aperçoit égaleme ... [Voir la suite]
Résumé
Film amateur sur le conflit social chez le fabricant de téléviseurs Grandin à Montreuil-sous-Bois en 1975, lutte menée en très grande majorité par des femmes.
Assemblage de plusieurs bobineaux amateurs tournés par des grévistes.
Parmi les grévistes, on reconnaît les déléguées syndicales Evelyne Vanderheym et Mathilde Angeloni, figures de la lutte des Grandin. On aperçoit également le maire de Montreuil Marcel Dufriche, qui soutient les grévistes.
Ballade au Puces de Montreuil, action de lutte et manifestation syndicale, l'exposition ORT (18 au 27 juin) et discussion avec Lionel Stoleru, Secrétaire d'état chargé de la condition des travailleurs manuels.
Vues diverses dans les rues de Montreuil, vues de personnes depuis des fenêtres, dans un appartement, piquet de grève et occupation de l'usine Grandin, Marc à Montreuil, fête du 14 juillet 1975, et bal du PCF
Vues diverses dans les rues de Montreuil, vues de personnes depuis des fenêtres, dans un appartement,piquet de grève et occupation de l'usine Grandin, Marc à Montreuil, fête du 14 juillet 1975, et bal du PCF
Manifestation syndicale à Paris, dont des salariés d'entreprises de Seine-Saint-Denis (tournage du 07/10/1975)
Délégation de la section syndicale CGT d'Artelec (ex-Grandin), plusieurs manifestations dont celle devant la Préfecture à Bobigny, à Montreuil-sous-Bois (07/10/1975)
Manifestation des salariés en grève de l'usine Grandin dans la rue pour populariser leur action, manifestation syndicale Place de la République à Paris (le 23)
Manifestation syndicale à Paris. Un manifestant porte un masque représentant Valéry Giscard d'Estaing, vue d'une banderole Chaix
Manifestation de salariés, "enterrement" du Plan Barre
Scènes de vie quotidienne dans l'usine Grandin occupée par les salariés grévistes.
Grandin était la Société française de radio et de Télévision (SFRT, production et construction) située rue Marceau, à Montreuil-sous- Bois. Dès 1963, la société décide de réduire ses effectifs de 15 % en supprimant 150 emplois. Après rachat de 50% de l'entreprise par Thomson en 1974, Grandin dépose son bilan et se trouve en liquidation judiciaire ; elle doit fermer le 12 décembre 1974. Le 13 décembre 1974, les salariés se mettent en grève et occupent l'usine.
Durant l'occupation de l'usine, les salariés multiplient les actions : occupation du stand de la Thomson au salon des arts ménagers, du siège de la Thomson, journées porte ouverte, occupation des locaux de IT1 rue Cognacq-Jay, auto-invitation chez Françaoise Giroud, secrétaire d'Etat à la condition féminine. L'entreprise Grandin reçaoit en août 1975 une aide de l'Etat afin de redémarrer l'activité avec un nouveau repreneur, Artelec. Le 8 octobre 1975, un protocole d'accord est signé et l'activité redémarre le 13 octobre 1975. Un an plus tard les emplois sont à nouveau menacés chez Artelec et l'entreprise fermera définitivement fin 1976.
Au delà des problèmes de sauvegarde de l'emploi, l'occupation de l'usine aura mis en lumière les difficultés de travail de cette main d'oeuvre féminine non qualifiée et sous payée (O.S. travaillant à la chaîne).
Dans son témoignage, Mathilde Angeloni raconte les difficultés et la pénibilité du travail chez Grandin :
- travail à la chaîne, cadences impossibles à tenir
- faibles salaires, obligeant les femmes à une activité importante à leur domicile (couture)
- un besoin ressenti par les femmes d'un travail qualifié qui n'existait pas dans l'entreprise
- une attitude extrêmement dure des contremaîtres et donc une tension nerveuse et une pénibilité physique importante
L'entreprise Grandin est rachetée par Thomson en 1974 et la fermeture de l'usine de Montreuil-sous-Bois est annoncée pour décembre 1974. Une première occupation des locaux est votée le 13 février 1974. Des cahiers de revendications sont élaborés durant l'occupation : ils reprennent essentiellement les problèmes liés aux conditions de travail. Elle décrit aussi les actions menées pendant ce conflit et les initiatives faites à l'intérieur même de l'entreprise (bals, journées portes ouvertes). Après 9 mois d'occupation réouverture de l'entreprise en octobre 1975, mais les débouchés restent fermés. La fermeture définitive intervient en 1976 et difficultés pour les femmes de retrouver du travail
Mathilde Angeloni fut militante du PCF et responsable de la cellule d'entreprise, puis comme conseillère municipale de Montreuil en 1977. (source : entretien de Mathilde Angeloni par les Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis, 2000)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Banlieue - Grève - Manifestation - Montreuil (93) - Travail des femmes - Usine (bâtiment)
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1976-1028-AProposImage-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>500353https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1028 - A PROPOS D UNE IMAGE COLLECTIVE/CineA-1976-1028-AProposImage-2.png/CineA-1976-1028-AProposImage-1_1
Résumé
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
Le commentaire rappelle en off certaines œuvres crées précédemment par Ernest Pignon-Ernest. Il s'agissait à chaque fois d'affiches sérigraphiées représentant des corps humains grandeur nature, placardées dans les rues des villes de France. Tour d'horizon des différentes déclinaisons de cette œuvre : la Commune de Paris, les accidents du travail, les immigrés, Maiakovski, l'Apartheid...
En 1976, la Maison de la culture de Grenoble invite Ernest Pignon-Ernest à animer pendant quinze jours un atelier. "L’atelier comprend l'apprentissage de la sérigraphie et une réflexion collective sur la production d'une image, de sa conception à sa diffusion." précise le commentaire.
Grenoble est une ville profondément industrielle, comme en témoignent les images du début et leurs cheminées d'usines crachant de la fumée. Ce n'est donc pas par hasard si le thème retenu par les participants au stage, qui travaillent dans ces mêmes usines, est les nuisances liées au travail (bruit, accidents, cadences...) L'affiche produite à l'issue de l'atelier montrera donc un homme dont le corps subit plusieurs altérations (organes atrophiés, tête éclatée par le bruit, chronomètres mitrailleurs).
Le film montre la fabrication de l'écran de sérigraphie puis l'impression des affiches, tandis qu'une longue séquence finale, au son de chansons revendicatives, montre ces affiches placardées sur les murs et sur les grilles des sites industriels de la ville - façon de rendre visible à l'extérieur la souffrance qui se cache dans ces lieux. "Les affiches réalisées avaient été placardées durant la nuit sur les murs de plusieurs usines de Grenoble, Echirolles, Pont de Claix. Elles n'y sont d'ailleurs pas restées longtemps." (courrier de J-F.Rajau, décembre 2015)
Ce film amateur a été réalisé collectivement par les travailleurs CGT participant au stage. Les prises de vue et le montage ont été effectués par Jean-François Rajau, qui a coordonné le film avec Marie-Madeleine Rajau (alors militante CGT chez Renault-Grenoble).
Mots clés : éducation populaire, sérigraphie, souffrance au travail, accidents du travail
Ce film rend compte de la fête de l'Humanité organisée à Bassens en Gironde en 1977.
Les images montrent les allées de la fête, où les passants sont nombreux. Une femme s'amuse avec un bébé sur les genoux près des stands. Sur la scène, se succèdent un discours et un concert. Les spectateurs applaudissent.
Grand moment de sociabilité communiste, la fête de l'Humanité, d’envergur ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film rend compte de la fête de l'Humanité organisée à Bassens en Gironde en 1977.
Les images montrent les allées de la fête, où les passants sont nombreux. Une femme s'amuse avec un bébé sur les genoux près des stands. Sur la scène, se succèdent un discours et un concert. Les spectateurs applaudissent.
Grand moment de sociabilité communiste, la fête de l'Humanité, d’envergure nationale, se déroule depuis sa création, en 1930, en région parisienne. En plus de celle-ci, un certain nombre de fêtes de l'Humanité locales sont organisées, comme ici, à Bassens. Commune de la banlieue bordelaise, Bassens est le principal site du port maritime et fluvial de Bordeaux.

Paul Lecocq (né en 1936), a été, dès 1962, ouvrier à l'Atelier de l'aéronautique de Bordeaux ; syndicaliste très actif à la CGT, il est entré au PCF en 1970. Il a filmé en amateur différents moments de sa vie professionnelle et militante.
Mots clés : Bassens, Gironde, Aquitaine - Fête de l'Humanité, discours, chanteur, concert, bébé. [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1977-Manif1erDece-685-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>763571https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/685 - MANIFESTATION DU 1ER DECEMBRE 1977/CineA-1977-Manif1erDece-685-1.png/CineA-1977-Manif1erDece-685-1_1
Résumé
Gare de Tours, manifestants dans la gare de Tours, banderole Cadoux cheminots, manif en gare, manif devant la gare, place du Ct Tulasme, arrivée des Cadoux, banderole de l’UD CGT, le bus de l’UD, « vivre et travailler en Touraine », banderole VOYER , les Cadoux ,
Plan sur manifestants Cadoux, vue générale du défilé, banderole Cadoux, arrivée au pont de Pierre.
Gare de Tours, manifestants dans la gare de Tours, banderole Cadoux cheminots, manif en gare, manif devant la gare, place du Ct Tulasme, arrivée des Cadoux, banderole de l’UD CGT, le bus de l’UD, « vivre et travailler en Touraine », banderole VOYER , les Cadoux ,
Plan sur manifestants Cadoux, vue générale du défilé, banderole Cadoux, arrivée au pont de Pierre.
Note : Ce film n’a pas de titre propre.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Ciclic [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1977-1erMaiManifE-687-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>760575https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/687 - 1ER MAI, MANIFESTATION CADOUX POUR L'EMPLOI/CineA-1977-1erMaiManifE-687-1.png/CineA-1977-1erMaiManifE-687-1_1
Résumé
Ce film n’a pas de titre propre.
Peut être daté du 1er mai, (1977 ou 1978 ?) Super 8, couleur, muet, 5mn.
Images : Elisabeth Maugars et Dominique Maugars. Film appartenant à Dominique Maugars.
Manifestants, panneau avec mots d’ordre Cadoux : oui a l’affiliation des Cadoux à la SNCF.
Des pancartes, des manifestants, bouquet de muguet a la boutonnière qui permet de da ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film n’a pas de titre propre.
Peut être daté du 1er mai, (1977 ou 1978 ?) Super 8, couleur, muet, 5mn.
Images : Elisabeth Maugars et Dominique Maugars. Film appartenant à Dominique Maugars.
Manifestants, panneau avec mots d’ordre Cadoux : oui a l’affiliation des Cadoux à la SNCF.
Des pancartes, des manifestants, bouquet de muguet a la boutonnière qui permet de dater un 1er mai.
Prise de parole de Jean Gardère, secrétaire général de l’UD 37.
Départ d’une manifestation devant chez Cadoux.
Devant la mairie de St Pierre des Corps. (Est-ce la manifestation du 30 mars 1977 ? pas sur puisque avant il y a une manifestation du 1er mai.
Il semble que c’est un autre jour pour les plans suivants : modèle réduit de la voiture devant la porte de l’usine, préparation pour le départ d’une manifestation. (On me voit en train de filmer)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Ciclic [Réduire]
Descripteurs
Journée internationale des travailleurs et travailleuses - Manifestation - Saint-Pierre-des-Corps (37)