Rushes tournés dans les locaux du journal "Liberté" en novembre 1967 afin de suivre les différentes étapes du processus de fabrication.
Images des rotatives en action. Un ouvrier contrôle le journal, on peut lire un titre :"Viet-Nam héroïque, jamais les envahisseurs américains n'en viendront à bout". Gros plan sur la sortie des journaux.
Plan serré sur le cylindre encré de la page traitant du Vi ... [Voir la suite]
Résumé
Rushes tournés dans les locaux du journal "Liberté" en novembre 1967 afin de suivre les différentes étapes du processus de fabrication.
Images des rotatives en action. Un ouvrier contrôle le journal, on peut lire un titre :"Viet-Nam héroïque, jamais les envahisseurs américains n'en viendront à bout". Gros plan sur la sortie des journaux.
Plan serré sur le cylindre encré de la page traitant du Viet Nam.
Série de plans sur l'installation des bobines de papier sur les dérouleurs.
Plans de la sortie des journaux en bout de chaine (sombres). Plan large sur le service d'expédition. Plan sur les opérations de mise en liasse. Les liasses sont prêtes pour l'expédition.
Le film se termine par un plan sur un groupe de vendeurs du journal Liberté.
Mots clés : linotype, marbre, rotative, cylindre
Lieu de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
En mai 1974, Valéry Giscard d'Estaing est élu de justesse à la présidence de la République, après un second tour très serré contre le candidat de l'union de la gauche François Mitterrand. Les premiers mois de son septennat sont marqués par les plus grandes grèves connues par le pays depuis mai 68.
Le mouvement débute en octobre chez les postiers parisiens, qui se mobilisent contre les mauvaises ... [Voir la suite]
Résumé
En mai 1974, Valéry Giscard d'Estaing est élu de justesse à la présidence de la République, après un second tour très serré contre le candidat de l'union de la gauche François Mitterrand. Les premiers mois de son septennat sont marqués par les plus grandes grèves connues par le pays depuis mai 68.
Le mouvement débute en octobre chez les postiers parisiens, qui se mobilisent contre les mauvaises conditions de travail et les faibles salaires, sur fond de rumeurs d'un grand plan de privatisations. Très vite, la mobilisation progresse ; certains centres de tri comptabilisent plus de 90% de grévistes. Les travailleurs des hôpitaux et les éboueurs rejoignent le mouvement, paralysant ainsi le pays, à tel point que le ministre de l'intérieur Michel Poniatowski fait appel à l'armée pour briser la grève.
La plus grande grève de l'histoire des PTT se solde néanmoins par un échec. La reprise du travail est effective début décembre 1974, sans avoir obtenu gain de cause. Sans pour autant être une victoire éclatante pour le pouvoir, cet épisode donne l'occasion à Giscard d'Estaing et à ses ministres Jacques Chirac, Michel Poniatowski et Pierre Lelong de se forger une réputation d'intransigeance, et annonce le long reflux du mouvement social à venir.
Ce film amateur de belle facture, réalisé par un syndiqué CFDT alors proche de la Ligue communiste, retrace les différentes étapes du mouvement à Paris, et son point culminant, la manifestation du 19 novembre 1974 à Paris. Georges Séguy et Henri Krasucki pour la CGT et Edmond Maire pour la CFDT défilent côte à côte en tête de cortège. Force Ouvrière (FO) ne participe pas à cette manifestation. André Bergeron, son secrétaire général, est hué dans le cortège. L'auteur du film s'interroge sur les causes de l'échec et pointe, outre le manque de réactivité de la CGT et de la CFDT, la trahison de Force Ouvrière, qui quitte le mouvement en lui reprochant d'être trop "politique".
Pierre Korber, réalisateur du film, est alors membre de la commission exécutive du syndicat BETOR CFDT (Bureau d'Etudes, Organisation et Publicité) et délégué syndical de GSI (entreprise de services informatique). Le film est réalisé comme un supplément au journal syndical Betor Action. Le syndicat BETOR, à cette époque, est considéré par la CFDT comme étant dirigé par les "gauchistes" maoïstes, anarchistes et trotskystes soixante-huitards. les mêmes courants traversaient les syndicats des banques et Hacuitex. (note de Pierre Korber)
Réalisation et commentaire : Pierre Korber
Prise de son : Francis Ronsin
Commentaire dit par Viviane et Pierre Korber
Lieux : Paris, rue Mouffetard, boulevard Brune
Musique : L'Internationale, La Carmagnole, L'Appel du Komintern, La jeune garde, Le front des travailleurs, What shall we do for the striking seamen
Parmi les slogans et banderoles :
"19 novembre, tous dans l'action"
"Cette journée met le gouvernement devant ses responsabilités"
" Service du public, maintien des emplois, même combat!"
"A bas l'armée briseuse de grève"
"les travailleurs immigrés unis dans la lutte"
Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
Armée - Chirac Jacques - Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Facteur - Force Ouvrière - Giscard d’Estaing Valéry - Grève - Hôpital - Krasucki Henri - Maire Edmond - Paris (75) - Soldat - Syndicalisme - Syndicat - Séguy Georges - Thésaurus
Film sur la cellule du deuxième arrondissement de Paris des Quartiers Vivienne-Gaillon réalisé par l'un de ses membres : Raymond Bossot. Ce documentaire amateur, bien filmé, donne à voir quelques activités et temps forts du militantisme de la cellule entre 1954 et 1956. Il vise aussi à mettre en valeur le travail des militants sur le terrain à travers ses résultats concrets, et en particulier à tr ... [Voir la suite]
Résumé
Film sur la cellule du deuxième arrondissement de Paris des Quartiers Vivienne-Gaillon réalisé par l'un de ses membres : Raymond Bossot. Ce documentaire amateur, bien filmé, donne à voir quelques activités et temps forts du militantisme de la cellule entre 1954 et 1956. Il vise aussi à mettre en valeur le travail des militants sur le terrain à travers ses résultats concrets, et en particulier à travers la campagne électorale des Législatives de 1956 et les bons résultats obtenus par le PCF (25,9% des suffrages, 150 députés) et ceux de la cellule dans son secteur où sont élus Marcel Cachin et Jeannette Vermeersch.
Remise de cartes
Celle-ci se déroule dans la salle au 1er étage du café Capoulade, rue Dussoubs.
Les militants nombreux sont assis dans la salle et appelés à tout de rôle pour venir chercher leur carte. Cette remise est suivie par une projection du film : "La Terre Fleurira" d'Henri Aisner (1954), puis c'est "champagne, fête et bal". Une loterie a également lieu dans la soirée. Parmi les lots, des bijoux Burma (on est près de la place Vendôme) ; selon Bielka Mijoin, Burma en donnait quelques-uns spécialement pour la loterie. Gilles Ségal fait un numéro de mime (il était membre de la cellule), les Frères ennemis font aussi un sketch. Des lots de tissu sont mis aux enchères ("des copains tailleurs à qui il en restait sur les bras", selon Bielka, "C'est ce qui faisait rentrer de l'argent dans les caisses").
Réunion de la cellule
Cette réunion a lieu dans l'appartement des Mijoin, 18 rue Daunou.
Nombreux participants et discussion animée (mais muette)
CDH (Comité de diffusion de l'Humanité)
La vente de l'Humanité sur le territoire de la cellule. Les postes Huma - croisement rue Saint-Anne et rue des petits Champs. Gilles Ségal vend l'Humanité Dimanche (titre en Une : « 29 jours pour chasser la réaction du pouvoir »), Malvina en tournée rue Vivienne, rue de Richelieu, avenue de l'Opéra ; un autre CDH au porte à porte dans la rue Sainte-Anne (Une de l'Humanité dimanche : « Journée d'alerte à Constantine ». Monette et Bossot à leur poste.
Distribution de tracts & impression du journal de la cellule
A la bouche du métro Quatre Septembre, les militants distribuent un tract.
Plusieurs tracts et brochures distribuées par la cellule : « Avec les vieux de France » (discours de Jacques Duclos), "La situation économique de la France" (Maurice Thorez), "Femmes de France, nos difficultés et nos intérêts" (Marcel Servin)...
Impression du journal de la cellule « Le 4 septembre »- Rotative en marche. Présentation de plusieurs exemplaires du journal, dont un réclamant le cessez-le-feu en Algérie.
Une série de plans courts cadre les enseignes des gros employeurs du secteur de la cellule : RATP, la Bourse, le personnel des écoles, la Bibliothèque nationale, le crédit foncier...
Le film montre encore quelques tracts distribués (journée de vente-exposition du livre marxiste au Vel d'Hiv le 17/3/1956...) puis passe en revue les autres actions de propagande de la cellule : le porte à porte (une main glisse un tract sous un paillasson), le boîtage (dans les boîtes à lettres) et l'affichage.
Campagne électorale et meeting de quartier
Plans sur les affiches électorales pour les législatives de 1956 (Marcel Cachin conduit la liste du 2ème secteur)
Meeting électoral de quartier le 17 décembre 1955, à l'école de garçons du 6 rue de Louvois, en présence de Albert Ouzoulias et Justine Mayeu.
Une de l'Humanité au lendemain du scrutin du 2 janvier : « Éclatant succès communiste ». Jeannette Vermeesch et Marcel Cachin sont élus dans le 2ème secteur.
Fête de l'Humanité 1956
En couleur. gros plans sur les slogans des stands : « Vers une France socialiste », « Pour une politique de grandeur nationale », « Comme en 1936 l'unité entre communistes et socialistes », « Paix en Algérie », « Négociation en Algérie »,
Cartons : « Adhérez », « Faites comme lui ! » Un jeune homme remplit son bulletin d'adhésion. Gros plan sur une carte du PCF de 1957.
Carton : Fin.
Lieux et monuments : Paris 2ème arrondissement, quartiers Vivienne-Gaillon, rue Dussoubs, rue Vivienne, rue Richelieu, avenue de l'Opéra, rue Saint-Anne, place du quatre septembre, café Capoulade, école de la rue de Louvois, Vincennes.
Membres de la cellule, par ordre d'apparition : Les Brosset, Paulette Nouet, Marcelle Petiot (dite « Malvina »), Jacques Petiot (dit « Toto », son mari), Gaston Auguet (qui fait le discours), Jacques et Sarah Hauboin, Monette Petit, Roubéka, André et Adèle Mijoin (André était le secrétaire de la cellule), Henri Kornovski, Suzanne et Pierre Loï, Jean Rozin, Eddie Eczstein, Denise Martin, Ita Mijoin, la chanteuse...?, le mime Gilles Ségal, Les Frères Ennemis (n'étaient pas membres de la cellule), Fernand Constant, André Arnault...
Notes : Raymond Bossot n'était pas exactement un amateur puisqu'il était photographe de profession.
Ce film a été déposé à Ciné-Archives par Bielka Mijoin, dont le père, la mère et la sœur étaient membres de la cellule. Son père, André Mijoin, en était alors le secrétaire.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
1954-1962 Guerre d'Algérie - Comité de diffusion de l'Humanité - Duclos Jacques - Guyot Raymond - L'Humanité (journal) - L'Humanité Dimanche (magazine) - Militantisme - Thorez Maurice - Thésaurus - Vermeersch Jeannette
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime comm ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime communiste hongrois.
Carton : "La Hongrie instantanés en chiffres".
Autres chapitres : "L'industrie pharmaceutique hongroise" ; "La loi sur la santé publique".
Budapest : visite de la ville ; vue du Danube.
Nouveau chapitre "Notre trésor le plus cher : l'enfant" ; "Allocation la mère au foyer ".
Départ en train pour Sagvariliget (banlieue de Budapest).
La progression du voyage est suivie sur carte de la Hongrie.
Kiskunfélegyhaza : visite de la ville, voyage en bus.
Szeged : visite de la ville, baignade dans une piscine en plein air, match de water polo.
Carton : Hongrie Balaton, Tihany.
Journée de farniente. Les jeunes se baignent dans le lac Balaton. Voyage en bateau sur le lac.
Vue de l'église de la presqu'île de Tihany.
Fête nationale et démonstration militaire sur le Danube : hélicoptères , bateaux. avions, parachutistes.
Dernière visite de la ville. Retour en train. Arrivée à Paris.
Dernière image sur "Muveszet es Otthon 1975" et un coucher de soleil.
Lieux : Hongrie : Budapest, Kiskunfélegyhaza, Szeged , Balaton, Tihany
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Ce film amateur relate une journée de mobilisation en faveur des salariées de la haute-couture en grève chez Carven.
Un mouvement de grève d’occupation s’était déclenché chez Carven à la fin du mois d’octobre 1975. Prévenu dès le premier jour par une « copine du 14e », chef d’équipe chez Carven, la section PCF du 8e, qui jouxtait les locaux de cette maison de haute-couture, avait pris pied très tô ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur relate une journée de mobilisation en faveur des salariées de la haute-couture en grève chez Carven.
Un mouvement de grève d’occupation s’était déclenché chez Carven à la fin du mois d’octobre 1975. Prévenu dès le premier jour par une « copine du 14e », chef d’équipe chez Carven, la section PCF du 8e, qui jouxtait les locaux de cette maison de haute-couture, avait pris pied très tôt dans la lutte des midinettes.
Ce film retrace une action de lutte marquante durant la grève que fut l’organisation d’une « Sainte-Catherine de lutte » le 25 novembre, environ un mois après le déclenchement de la grève.
Clin d’œil à une profession essentiellement féminine, cette Sainte-Catherine de lutte devait servir de prétexte pour faire événement et élargir le mouvement autour de la grève des salariées de Carven.
Un rassemblement était prévu au Pont de l’Alma, qui fut suivi d’une manifestation et d’une distribution de tracts dans les rues, et en particulier devant chaque maison de haute-couture dans le secteur de l’avenue Montaigne (toutes les maisons de la haute-couture s’y trouvaient, sauf Nina Ricci qui était dans le 2e). Une prise de parole à bord d’une péniche et un récital de Georges Moustaki clôturèrent le programme.
Ce film amateur suit le déroulement de cette journée, fortement soutenue, comme toute la lutte, par la section du PCF du 8ème arrondissement. Il a été réalisé de sa propre initiative par René Bailly, militant communiste qui travaillait aux PTT du 8e, et ensuite montré dans la section du 8e.
Note : La section du 8e arrondissement de Paris avait alors pour secrétaire Michel Turoman, né en 1940 et a adhérant au PCF depuis 1963. Il est devenu secrétaire de la section du 8e en 1975, après avoir été celui de la section de Montparnasse dans le 14e (il a ensuite été secrétaire de la section du 19e). A l’époque, selon lui, le 8e comptait 200 000 personnes qui s’y rendaient chaque matin pour travailler. La section du 8e comptait alors entre 800 et 850 militants, deux cellules locales et surtout des cellules d’entreprises. Car, le 8e abritait alors les sièges de très grandes entreprises, comme EDF, le centre de tri Paris Saint-Lazare, la Poste, Shell, Péchinay, le Crédit coopératif, le Crédit du Nord… et aussi le secteur de la haute couture, principalement situé dans l’avenue Montaigne.
Selon Michel Turoman, le cortège de cette Sainte-Catherine de lutte comptait environ 150 personnes. La manifestation avait été annoncée dans la presse et beaucoup de journalistes l’avaient suivie. Selon lui, ce qui a caractérisé cette lutte des salariées de la haute-couture en 1975 c’était qu’il n’y avait en tout et pour tout qu’une seule communiste dans les maisons de haute couture de Paris. En revanche, elles avaient un syndicat CGT qui fonctionnait. Selon l’ancien secrétaire du 8e, l’initiative avait été laissée entièrement aux salariées grévistes, le PCF apportant son appui et tâchant de nourrir le mouvement de l’extérieur.
Note : Parmi les cellules d’entreprise du 8e arrondissement se trouvait la cellule du cinema. Les écharpes jaunes et vertes, aux couleurs de la Sainte-Catherine, portées par les grévistes avaient été confectionnées par la cellule du cinéma, qui s’était « spécialisée » dans la confection sérigraphique.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images
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Descripteurs
Couture - Manifestation - Paris (75) - Travail des femmes
Balade dans la Fête de l'humanité filmée par René Caramini, cheminot à Miramas et militant du PCF. Les séquences sont ponctuées par le nom des allées (chaque édition de la fête de l'Humanité invente une topographie inédite et éphémère en nommant rues, places et avenues du site de la Fête En général, il s'agit de noms de personnalités du mouvement communiste et ouvrier)
Arrivée des dirigeants sur ... [Voir la suite]
Résumé
Balade dans la Fête de l'humanité filmée par René Caramini, cheminot à Miramas et militant du PCF. Les séquences sont ponctuées par le nom des allées (chaque édition de la fête de l'Humanité invente une topographie inédite et éphémère en nommant rues, places et avenues du site de la Fête En général, il s'agit de noms de personnalités du mouvement communiste et ouvrier)
Arrivée des dirigeants sur la Fête : Georges Marchais, Jacques Duclos, Roland Leroy, Gaston Plissonnier, Jean Kanapa, Étienne Fajon, Georges Séguy, René Andrieu, précédés de porte-drapeaux, drapeaux français et drapeaux rouge, suivis par les majorettes et la fanfare.
Vue sur le stand de Champigny, une banderole :"1920-1970 : 50 ans de lutte pour le progrès social, la démocratie, la paix et le socialisme. Les élections municipales un grand succès du parti communiste français". Passage par la Cité des Pionniers, puis le stand des Hauts-de-Seine côtoyant une réclame Suchard. Arrêt sur le stand de "La Marseillaise au cœur des luttes" où œuvre un potier.
Le stand de l'Humanité avenue Friedrich Engels, le fronton du stand SNIAS de Châtillon : "Solidarité avec les peuples d'Indochine. Rejoignez le Parti communiste français", le stand de la Fédération de la Marne.
Avenue Lénine, autre entrée du stand de l'Humanité où se tient une exposition de peinture. Stand de l'Union des Femmes Françaises (UFF).
Avenue Paul Langevin, stand de L'Union des Juifs pour la Résistance et l'Entr'aide (UJRE) : "Non à l'antisémitisme et au racisme, Israël et les pays arabes, pour la fraternité entre les peuples. Fidélité aux idéaux de la Résistance. Contre le néo-fascisme et le fascisme"
Arrêt sur l'affiche de la Fête de l'Humanité.
Mot d'ordre du stand de Colombes :"Conquise dans l'union Colombes est et restera une municipalité d'union démocratique.
Avenue Gabriel Péri, le stand de Sarcelles. Stand du journal agricole La Terre : "Pour le succès des
élections municipales. Donnez". Autre mot d'ordre : "Il n'y a qu'un moyen aujourd'hui de servir le peuple, c'est de travailler à son union dans la lutte contre le règne du capital, pour une démocratie avancée, pour le socialisme ».
Travelling sur le stand de l'Humanité. Arrêt sur un portrait de Lénine.
Fanfare dans une allée, stand de l'Union des Femmes Françaises (UFF) "Pour la femme d'aujourd'hui'"; stand du journal "La Marseillaise : au cœur des luttes"
Place Karl Marx, le stand d'Aubagne "Berceau du Santon et de la terre cuite", animé par son groupe folklorique et son potier. Long plan sur la structure de la fédération de l'Oise, agrémentée de calicots "1925 : A bas la guerre du Maroc" ; "1935 : Faire payer les riches" : 1938 : Munich c'est la guerre ; "1936 : Les armes pour l'Espagne" ; 1914 : Tous aux barricades" ; "France socialiste". Stand du 19e : "L'imprimerie au service de la classe ouvrière". Hommage de l'Amicale des Anciens Volontaires Français en Espagne Républicaine aux Brigadistes : "Voluntarias Intercionales de la Libertad, 1926-1939 ». Retour au stand de la Marseillaise et à celui d'Aubagne.
Le film se termine sur le drapeau rouge et le drapeau français
Lieu : Pelouse de Reuilly, Bois de Vincennes
Personnalités : Georges Marchais, Jacques Duclos, Roland Leroy, Gaston Plissonnier, Jean Kanapa, Etienne Fajon, Georges Séguy, René Andrieu
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Duclos Jacques - Engels Friedrich - Fajon Étienne - Kanapa Jean - L'Humanité (fête de) - La Terre (journal) - Leroy Roland - Lénine Vladimir Ilitch Oulianov - Marchais Georges - Plissonnier Gaston - Séguy Georges - Union des Femmes Françaises - Union des Juifs pour la Résistance et l'Entraide
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1949-FestivalMond-300-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>760571https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/300 - FESTIVAL MONDIAL DE LA JEUNESSE A BUDAPEST, AOUT 1949/Photos/300-Festival_Mondial_Jeunesse-1.jpg/CineA-1949-FestivalMond-300-1_1
Résumé
Ce film amateur réalisé par Robert Laudereau, présente différentes vues du second festival mondial de la jeunesse à Budapest, en août 1949.
Avec ce film, le réalisateur entend témoigner du soin porté à l'organisation de ces rencontres entre jeunes du monde entier et de l'ambiance chaleureuse qui régna lors de cet événement.
Robert Laudereau n'était pas membre de la Jeunesse Communiste (J.C.). ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur réalisé par Robert Laudereau, présente différentes vues du second festival mondial de la jeunesse à Budapest, en août 1949.
Avec ce film, le réalisateur entend témoigner du soin porté à l'organisation de ces rencontres entre jeunes du monde entier et de l'ambiance chaleureuse qui régna lors de cet événement.
Robert Laudereau n'était pas membre de la Jeunesse Communiste (J.C.). Mais il travaillait alors à la Société Nationale d'Étude et de Construction de Moteurs d'Aviation (SNECMA) et est sans doute parti avec une délégation de jeunes de la SNECMA (on voit un jeune porter une banderole de la SNECMA dans un défilé).
Robert Laudereau dit avoir été marqué par l'ambiance chaleureuse, nourrie par les espoirs que les jeunes avaient. Le soin qui avait été porté à l'organisation de cet événement et les rencontres entre jeunes du monde entier lui ont laissé une impression durable. Il se souvient particulièrement avoir rencontré par hasard une espérantiste hongroise, qu'il avait reconnu à son étoile verte. Il garda contact avec elle jusqu'au décès de celle-ci.
Les festivals mondiaux de la jeunesse sont organisés par la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique (FMJD), une organisation de masse créée en 1945 avec pour but d'unir la jeunesse du monde entier contre le fascisme et pour la construction d'un monde pacifique. Comme les autres organisations de masse créées dans l'immédiat après-guerre, la FMJD se présentait comme un pôle de rassemblement pour une cause universelle (la paix) transcendant les appartenances politiques et idéologiques. Ces organisations de masse n'en furent pas moins des vecteurs stratégiques pour la propagande des régimes socialistes.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
1947-1991 Guerre Froide - Fédération Mondiale de la Jeunesse Démocratique - Hongrie - Mouvement de jeunesse - Pacifisme - Société Nationale d'Étude et de Construction de Moteurs d'Aviation - Thésaurus
Né en 1924, Robert Laudereau a toujours vécu à Châtillon (92). Il a commencé à filmer à l'âge de vingt-trois ans et a réalisé, entre 1949 et 2005, plus de 80 films sur ses activités syndicales, politiques et culturelles.
Ce film comporte cinq sujets filmés par Robert Laudereau entre 1958 et 1964.
1. Les obsèques de Marcel Cachin
Cortège sur les grands boulevards jusqu'au cimetière du Père-Lachai ... [Voir la suite]
Résumé
Né en 1924, Robert Laudereau a toujours vécu à Châtillon (92). Il a commencé à filmer à l'âge de vingt-trois ans et a réalisé, entre 1949 et 2005, plus de 80 films sur ses activités syndicales, politiques et culturelles.
Ce film comporte cinq sujets filmés par Robert Laudereau entre 1958 et 1964.
1. Les obsèques de Marcel Cachin
Cortège sur les grands boulevards jusqu'au cimetière du Père-Lachaise (le convoi funéraire était parti du siège du journal L'Humanité situé 6 bd Poissonnière). Gerbes, drapeaux, portrait géant de Marcel Cachin, Fanfare.
Dans le cortège : mineurs, bigouden, Amis de la Commune. Derrière le corbillard, la famille puis les membres du Comité central : Jeannette Vermeersch, Jacques Duclos... Entrée du Père-Lachaise.
2. Danses de Pologne à Chaillot - Octobre 1954
Danses vue de l'orchestre.
3. Le Tyrol au Châtelet
Danses vues d'une loge ou du balcon.
4. Les obsèques de Maurice Thorez
Le fronton du comité central est drapé de noir avec un portrait de Maurice Thorez (1900 - 1964). Gerbe en forme de faucille et marteau. Gerbe de Travail et culture. Représentants du Comité Central. Délégations étrangères (arabes et africaines). Entrée au Père Lachaise, foule. Cortège
5. Fête de l'Humanité, (dans les années 1960)
Manège (vue aérienne de la Fête) - Allées - Stands. Place Marcel Cachin - Robert Laudereau et ses enfants ?
Danse folklorique au stand de la Bulgarie. Stand de l'Alsace, de la section de Châtillon, de France Nouvelle et d'Heures Claires... Panoramique de la scène centrale. Stand Vietnam : banderole « le peuple vietnamien vaincra ». Stand de la section de Châtillon
6. Voyage au bord de la mer Noire
Vue du monastère de Rila en Bulgarie, balade en montagne et bord de mer (Bulgarie aussi)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Cachin Marcel - Duclos Jacques - Fanfare - France Nouvelle (revue) - Funérailles - Heures Claires (journal) - L'Humanité (fête de) - Pologne - Père-Lachaise (cimetière du) - Paris (75) - Thorez Maurice - Vermeersch Jeannette
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Résumé
Document amateur réalisé par Robert Laudereau lors du mouvement de soutien à la grève des mineurs de 1963.
Sur le plan du Parti et de la CGT, des communes ont pris contact avec des puits de mine pour organiser la solidarité envers les grévistes. La Ville de Châtillon s'est « jumelé » avec le Blanzy (Saône-et-Loire). Pendant « une bonne semaine », la ville a accueilli une quinzaine de mineurs du p ... [Voir la suite]
Résumé
Document amateur réalisé par Robert Laudereau lors du mouvement de soutien à la grève des mineurs de 1963.
Sur le plan du Parti et de la CGT, des communes ont pris contact avec des puits de mine pour organiser la solidarité envers les grévistes. La Ville de Châtillon s'est « jumelé » avec le Blanzy (Saône-et-Loire). Pendant « une bonne semaine », la ville a accueilli une quinzaine de mineurs du puits de Blanzy. Ils sont venus récolter les dons (surtout financiers) encouragés par la Ville. Mobilisation intense pour la collecte auprès des gens dans les quartiers. Dans le film, on voit à plusieurs reprises le maire, Lucien Bailleux, et certains de ses adjoints.
Grande banderole sur le fronton de la mairie : "Bienvenue aux mineurs qui collecteront dans notre ville. Réservez-leur un bon accueil."
Dans la deuxième partie de ce document, on voit aussi l'accueil d'enfants de mineurs du Blanzy, avec leurs valises, venus partager une colonie de vacances de la Ville de Châtillon.
Une projection de ce film fut organisée à la mairie de Châtillon pour commémorer le passage des mineurs et remercier les militants pour leurs efforts déployés.
Le film montre successivement:
- L'accueil d'une délégation des mineurs de Blanzy à Châtillon-sous-Bagneux (banderole de soutien sur le fronton de la mairie, affiches annonçant le parrainage et la collecte de dons pour soutenir l'action des mineurs, arrivée du groupe de mineurs dans la rue, souriant et en tenue de mineurs);
- L'accueil officiel à la mairie et la préparation de la collecte : discours du maire Lucien Bailleux, et des mineurs devant une assemblée attentive, délimitation des lieux de collecte à partir d'une carte et distribution des tracts d'information à diffuser ;
- Différents discours du maire, d'autres élus et des mineurs sur des estrades dans la rue en divers lieux, devant une usine où le public (ouvriers, employés et passants) écoute, s'informe et acquiesce (panneaux d'information sur les voitures et sur les murs);
- La collecte par les mineurs dans les rues commerçantes de Châtillon-sous-Bagneux (divers plans de dames et d'enfants donnant de l'argent aux mineurs, banderoles sur les murs et les camions) ;
- La pose pour une photographie de groupe et le départ des mineurs (embrassades) ;
- Vue générale sur une ville (Blanzy ou Montceau-les-Mines ?, plan éloigné sur un élément d'un puits des mines) et festivités officielles (le maire ? qui avance dans un couloir, pose de la fanfare et de personnalités pour une photographie, danses folkloriques russes sur une scène);
- La colonie de vacances pour les enfants de mineurs : enfants souriants descendant d'un bus de Montceau-les-Mines avec leurs valises pour entrer dans un bâtiment de Châtillon-sous-Bagneux ?, défilé des mineurs et d'une fanfare de jeunes en uniforme à Monceau-les-Mines ?.
Lieux et monuments: Châtillon-sous-Bagneux (mairie, rues) (Hauts-de-Seine, 92, Ile-de-France), Blanzy ou Montceau-les-Mines ? (Saône-et-Loire, 71, Bourgogne)
Personnalités: Lucien Bailleux (maire de Châtillon)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Bailleux Lucien - Banlieues rouges, « communisme municipal » - Châtillon (92) - Colonie de vacances - Confédération Générale du Travail - Discours - Grève - Mine de charbon - Parti Communiste Français - Saône-et-Loire (71)
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Résumé
Robert Laudereau participe au VIIème Congrès des villes jumelées à Leningrad du 7 au 10 juillet 1970.
En plus des images propres au Congrès, minoritaires dans ce document, le cinéaste amateur s'attache à la vie de la ville, par ses petits commerces de rue, la circulation, les promenades en bord de Neva. Les multiples monuments sont également filmés : les cathédrales, palais, ponts et statues (Pie ... [Voir la suite]
Résumé
Robert Laudereau participe au VIIème Congrès des villes jumelées à Leningrad du 7 au 10 juillet 1970.
En plus des images propres au Congrès, minoritaires dans ce document, le cinéaste amateur s'attache à la vie de la ville, par ses petits commerces de rue, la circulation, les promenades en bord de Neva. Les multiples monuments sont également filmés : les cathédrales, palais, ponts et statues (Pierre le Grand, Lénine, Engels, le tsar Nicolas 1er), le Musée de l'Ermitage et le croiseur Aurore. Une large place est faite au fleuve Neva et à ses ponts. Les congressistes visitent le cimetière et rendent hommage aux morts de la seconde guerre mondiale, puis le Château de Petrodvoretz, ses fontaines et jardins. Ils assistent enfin aux ballets de l'opéra de Kirov. Ce document présente une image presque bucolique de Leningrad et porte un regard tendre sur ses habitants.
Les jumelages de villes émanent d'une organisation créée en 1957 : la Fédération mondiale des cités unies (FMCU), qui cherchait à nouer des relations intercontinentales amicales dans un contexte mondial tendu par la guerre froide et les déséquilibres nord/sud.
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Descripteurs
1922-1991 URSS - Arts et Cultures - Château (demeure) - Commerce et restauration - Danse (art) - Fleuve - Fontaine - Jumelage - Regards sur l'URSS et les pays de l'Est - Saint-Pétersbourg - Thésaurus - Tourisme (activité) - Échange culturel - Édifice religieux