video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1964-ObsequesThor-174-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>768572https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/174 - OBSEQUES DE MAURICE THOREZ/Photos/CineA-1964-ObsequesThor-174-1.png/CineA-1964-ObsequesThor-174-1_1
Résumé
Ce film amateur de Maurice Sebbah suit les obsèques de Maurice Thorez à Paris, le 16 juillet 1964.
Le film débute par la garde d'honneur du cercueil avec Jeannette Vermeersch, Waldeck Rochet, Benoît Frachon, Georges Marchais. Défilé de la foule et des porteurs de gerbes et de portraits de Maurice Thorez., puis viennent les membres du Comité central. On aperçoit Jacques Duclos et Ben ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur de Maurice Sebbah suit les obsèques de Maurice Thorez à Paris, le 16 juillet 1964.
Le film débute par la garde d'honneur du cercueil avec Jeannette Vermeersch, Waldeck Rochet, Benoît Frachon, Georges Marchais. Défilé de la foule et des porteurs de gerbes et de portraits de Maurice Thorez., puis viennent les membres du Comité central. On aperçoit Jacques Duclos et Benoît Frachon et à l'arrivée au Père-Lachaise, Georges Marchais et Paul Laurent.
Lieux : Paris 11e (cimetière du Père-Lachaise), Paris 9e (Rue Châteaudun, siège du PCF)
Personnalités : Thorez Maurice (évoqué), Vermeersch Jeannette, Duclos Jacques, Rochet Waldeck, Franchon Benoît, Souslov Michel, Laurent Paul, Marchais Georges
Mots-clé : PCF, VO, Voix Ouvrière, organe de la CGT
Obsèques, funérailles, délégation, hommage, cortège
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
Duclos Jacques - Frachon Benoit - Funérailles - Hommage - Laurent Paul - Marchais Georges - Père-Lachaise (cimetière du) - Paris (75) - Rochet Waldeck - Souslov Michel - Thorez Maurice - Vermeersch Jeannette
Ce film retrace deux événements liés à l'engagement en faveur de la paix : une commémoration de la Seconde guerre mondiale dans la région Lilloise en mai 1966, et la manifestation nationale pour la paix au Viet Nam du 19 juin 1966 à Paris, de la porte d'Orléans au stade de Châtillon.
La section PCF de Wasquehal est venue fleurir le monument au morts du Fort de Bondues en hommage aux s ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film retrace deux événements liés à l'engagement en faveur de la paix : une commémoration de la Seconde guerre mondiale dans la région Lilloise en mai 1966, et la manifestation nationale pour la paix au Viet Nam du 19 juin 1966 à Paris, de la porte d'Orléans au stade de Châtillon.
La section PCF de Wasquehal est venue fleurir le monument au morts du Fort de Bondues en hommage aux soixante-huit résistants fusillés à cet endroit même par les nazis. , zoom sur monument et plan serré sur le nom des personnes. Plan sur la remise de gerbe et bouquet de fleurs.
Séquence Paris
plans à l'intérieur d'une auto sur les boulevards et avenues parisiens.
Le temps est ensoleillé.
Plan large en plongé du cortège des manifestants, la foule est très dense et les banderoles nombreuses, sur la première on peut lire "Conseil National du mouvement pour la paix", sur une suivante il est écrit "La femme est mère de tous les enfants du monde".
Plan moyen en plongé sur les manifestants et les banderoles de différentes régions avec les revendications variées :"Non à la force de frappe", "Non à la base de sous-marins de Brest", " Comité de la paix du Nord", "Pour le désarmement général et la Paix", …
Images en plan large (toujours en plongé) sur la longueur du défilé (focus à vérifier).
Plans rapproché (au niveau de la rue) : les manifestants arrivent dans les environs du stade, plan sur banderole "Adhésion au traité de Moscou . Plan face manifestants qui évitent la caméra de part et d'autre.
Images d'arrivée dans le stade, plan sur les tribunes, plans sur un groupe de personnes avec une banderole " Conseil de la paix du Nord".
Panoramique général sur les manifestants dans le stade.
Lieux : Lille, Paris, le stade de Châtillon
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Archipop [Réduire]
Descripteurs
1955-1975 Guerre du Vietnam - Châtillon (92) - Commémoration - Lille (59) - Pacifisme - Paris (75) - Thésaurus
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Résumé
Un petit cortège de manifestants de l’entreprise Thomson-CSF s’invite sur le parcours et à l’arrivée de la course cycliste du « Paris-Nice »: plan rapproché sur une banderole « Prologue du 30ème Paris-Nice, le 6 mars 1980 à 14h à Issy-les-Moulineaux ».
Les éléments principaux sont :
- Vues diverses des manifestants se répartissant le long des barrières de sécurité, derrière le ... [Voir la suite]
Résumé
Un petit cortège de manifestants de l’entreprise Thomson-CSF s’invite sur le parcours et à l’arrivée de la course cycliste du « Paris-Nice »: plan rapproché sur une banderole « Prologue du 30ème Paris-Nice, le 6 mars 1980 à 14h à Issy-les-Moulineaux ».
Les éléments principaux sont :
- Vues diverses des manifestants se répartissant le long des barrières de sécurité, derrière lesquelles les premiers coureurs cyclistes arrivent, de la circulation du cortège au milieu de la foule avec des pancartes et une caisse en carton « Thomson-CSF CGT-CFDT, ouverture de réelles négociations », une banderole « La métallurgie franco-belge, nous exigeons la garantie de l’emploi et du pouvoir d’achat ».
- Vues diverses des coureurs, des voitures des équipes, de l’arrivée de la course commentée par un monsieur au micro, de la distribution des prix et des maillots sur une petite estrade.
- Vues diverses de la logistique de cet évènement : voitures de police et policiers en service, présence des médias pour couvrir la course cycliste (équipements de radio et caméra de télévision).
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Compétition sportive - Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Cyclisme - Issy-les-Moulineaux (92) - Manifestation - Syndicat - Thomson
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Résumé
Ce film montre le quartier de Belleville à Paris alors que de grandes opérations de réaménagement urbain ont tout juste commencé. Léon Buch, militant communiste, filme la mobilisation menée sur sa section du 19e arrondissement et le comité de défense de l'Îlot 7.
Après quelques images en couleurs des monuments de la capitale, les plans en noir en blanc s'attachent à décrire la mobilis ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film montre le quartier de Belleville à Paris alors que de grandes opérations de réaménagement urbain ont tout juste commencé. Léon Buch, militant communiste, filme la mobilisation menée sur sa section du 19e arrondissement et le comité de défense de l'Îlot 7.
Après quelques images en couleurs des monuments de la capitale, les plans en noir en blanc s'attachent à décrire la mobilisation locale pour réclamer la construction de logements sociaux à Belleville et le relogement des habitants dans le quartier. Des affiches, des banderoles, des inscriptions peintes sur les murs exposent ces revendications. Rue de Belleville, a lieu un rassemblement organisé par le comité de défense de l'îlot n°7 ; les participants signent une pétition à l'emplacement de l'ancien cinéma Pathé (25 rue de Belleville).
De nombreux plans présentent les rues insalubres du quartier de Belleville : façades en piteux état, habitations vétustes, cours délabrées. On note aussi des terrains vagues, consécutifs à la destruction de certains immeubles.
Un tract édité par la section du 19e arrondissement de la Fédération national des locataires indique « 5000 logements peuvent être construits tout de suite » et dresse la liste de tous les terrains vides.
Une manifestation réclame des « HLM sur les terrains libres ». Les manifestants, partis de la rue de Belleville, défilent sur le boulevard de la Villette puis sur la rue d'Aubervilliers jusqu'à l'ancienne usine à Gaz de la Villette (où seront construits 1789 logements par la suite).
André Sibaud et Jean Portejoie, conseiller municipal PCF du 19eme arrondissement, participent au rassemblement.
Une dernière séquence, en couleurs, donne à voir une distribution de tracts sur un marché (peut-être celui de Joinville) et dans les rues du 19e arrondissement. Sur les voitures des militants sont collées des affiches « votez François Mitterrand ».
Dès le début des années 1950, une grande opération de réaménagement urbain est lancée par la ville de Paris dans le quartier de Belleville et plus largement dans tout le 19e arrondissement : il s'agit d'éradiquer les îlots d'habitation insalubres. Certaines zones d'habitation sont alors complètement détruites pour y ériger de nouvelles constructions, qui sont le plus souvent des immeubles d'habitation collective.
Jusque dans les années 1990, Belleville, et le 19e arrondissement, subissent d'énormes transformations, qui font l'objet de nombreuses critiques : le choix de démolir pour construire des tours et des barres d'immeubles ne fait pas l'unanimité. A partir de la fin des années 1970, la politique urbaine évolue sensiblement : aux destructions, on privilégie désormais la réhabilitation du parc immobilier ancien.
La fin du film fait allusion à la campagne présidentielle de novembre-décembre 1965. François Mitterrand se présente face au général de Gaulle comme le candidat unique de la gauche. Cette alliance électorale, qui rassemble le PCF et le Parti socialiste, est le premier pas d'un rapprochement politique qui culmine en 1972 avec l'élaboration d'un Programme commun. Battu au deuxième tour par le général de Gaulle, François Mitterrand remporte néanmoins 45% des suffrages exprimés.
Léon Buch est un militant communiste du 19e arrondissement de Paris. Il dispose d'une caméra 8mm et enregistre quelques luttes temps forts de sa vie militante. Son film garde la trace du quartier de Belleville avant les grandes transformations urbaines : c’est le « Vieux Belleville » ouvrier, érigé au XIXe siècle, qui apparaît à l’image. Le film témoigne en outre de la mobilisation du PCF pour donner une orientation plus sociale aux rénovations du quartier.
Lieux : Paris, 19e arrondissement, Belleville, boulevard de la Villette, rue d'Aubervilliers, rue de Belleville.
Mots clés : Paris, 19e arrondissement, Belleville, boulevard de la Villette, rue d'Aubervilliers, rue de Belleville - Urbanisme, réaménagement, aménagement, politique de la ville - Manifestant, pétition, manifestation, CNL 19e, militant, PCF, François Mitterrand, élection présidentiel, André Sibaud, Jean Portejoie.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
Campagne électorale - Militantisme - Paris (75) - Précarité - Urbanisme et paysage
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Résumé
Rencontre avec Paul Durot (1892-1966), conseiller général et maire de Seclin de 1929 à 1935 et de 1945 à sa mort en 1966. Ouvrier textile, puis coiffeur ; militant socialiste, puis communiste. Pierre et Lucienne Charret font une visite dans Seclin : l'hôtel de ville, des immeubles en construction, la résidence pour personnes âgées Ambroise Croizat située sur un ancien béguinage. La dernière séquen ... [Voir la suite]
Résumé
Rencontre avec Paul Durot (1892-1966), conseiller général et maire de Seclin de 1929 à 1935 et de 1945 à sa mort en 1966. Ouvrier textile, puis coiffeur ; militant socialiste, puis communiste. Pierre et Lucienne Charret font une visite dans Seclin : l'hôtel de ville, des immeubles en construction, la résidence pour personnes âgées Ambroise Croizat située sur un ancien béguinage. La dernière séquence est tournée en intérieur chez un couple âgé.
Lieux : Seclin (59)
Personnes : DUROT Paul
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Archipop [Réduire]
Descripteurs
Enfant - Nord (59) - Urbanisme et paysage - École primaire
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Résumé
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
Le commentaire rappelle en off certaines œuvres crées précédemment par Ernest Pignon-Ernest. Il s'agissait à chaque fois d'affiches sérigraphiées représentant des corps humains grandeur nature, placardées dans les rues des villes de France. Tour d'horizon des différentes déclinaisons de cette œuvre : la Commune de Paris, les accidents du travail, les immigrés, Maiakovski, l'Apartheid...
En 1976, la Maison de la culture de Grenoble invite Ernest Pignon-Ernest à animer pendant quinze jours un atelier. "L’atelier comprend l'apprentissage de la sérigraphie et une réflexion collective sur la production d'une image, de sa conception à sa diffusion." précise le commentaire.
Grenoble est une ville profondément industrielle, comme en témoignent les images du début et leurs cheminées d'usines crachant de la fumée. Ce n'est donc pas par hasard si le thème retenu par les participants au stage, qui travaillent dans ces mêmes usines, est les nuisances liées au travail (bruit, accidents, cadences...) L'affiche produite à l'issue de l'atelier montrera donc un homme dont le corps subit plusieurs altérations (organes atrophiés, tête éclatée par le bruit, chronomètres mitrailleurs).
Le film montre la fabrication de l'écran de sérigraphie puis l'impression des affiches, tandis qu'une longue séquence finale, au son de chansons revendicatives, montre ces affiches placardées sur les murs et sur les grilles des sites industriels de la ville - façon de rendre visible à l'extérieur la souffrance qui se cache dans ces lieux. "Les affiches réalisées avaient été placardées durant la nuit sur les murs de plusieurs usines de Grenoble, Echirolles, Pont de Claix. Elles n'y sont d'ailleurs pas restées longtemps." (courrier de J-F.Rajau, décembre 2015)
Ce film amateur a été réalisé collectivement par les travailleurs CGT participant au stage. Les prises de vue et le montage ont été effectués par Jean-François Rajau, qui a coordonné le film avec Marie-Madeleine Rajau (alors militante CGT chez Renault-Grenoble).
Mots clés : éducation populaire, sérigraphie, souffrance au travail, accidents du travail
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Résumé
Ce film amateur est consacré au rassemblement de la jeunesse du Languedoc-Roussillon organisé à Perpignan le 7 avril 1946 par l'Union de la Jeunesse Républicaine de France (UJRF), avec l'appui des fédérations communistes.
Le rassemblement eut lieu promenade des Platanes. Il rassemble plusieurs dizaines de milliers de participants, jeunes et moins jeunes.
On voit les organisateurs ex ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur est consacré au rassemblement de la jeunesse du Languedoc-Roussillon organisé à Perpignan le 7 avril 1946 par l'Union de la Jeunesse Républicaine de France (UJRF), avec l'appui des fédérations communistes.
Le rassemblement eut lieu promenade des Platanes. Il rassemble plusieurs dizaines de milliers de participants, jeunes et moins jeunes.
On voit les organisateurs examiner les affiches appelant à la manifestation (en présence de Marcel Monteil, André Tourné et Leopold Roques, dirigeants de la fédération de Pyrénées-Orientales)
Au cours du rassemblement, les groupes de « Vaillants et Vaillantes » et ceux de l'UJRF de la région défilent devant le monument aux morts et y déposent des gerbes. Marcel Cachin arrive, rejoint par André Marty qui seront, avec Léo Figuères (secrétaire général de l'UJRF) les orateurs de cette démonstration, située à quelques semaines du référendum sur le premier projet de constitution, sous le signe de l'appui à une politique gouvernementale progressiste et de solidarité avec le peuple espagnol contre la dictature franquiste (une banderole malheureusement filmée par la fin proclame « Pour la rupture effective avec Franco). De nombreux plans décrivent les manifestants souvent le poing tendu. De cadeaux régionaux (comme un jambon) sont remis aux orateurs (Marcel Cachin et André Marty) près de la tribune. Plusieurs séquences montrent des danseurs folkloriques en action.
Lieux : promenade des Platanes à Perpignan
Personnalités : André Marty, Marcel Cachin, Léo Figuères, Marcel Monteil, André Tourné, Léopold Roques [Réduire]
Descripteurs
Cachin Marcel - Figuères Léo - Marty André - Perpignan (66) - Union de la Jeunesse Républicaine de France
Ce film a été réalisé dans le cadre d'un voyage en RDA. Pierre Charret suit un groupe de jeunes enfants et adolescents envoyés en colonie de vacances par la CGT Nord en RDA.
Cartons de début :
image filmée d'un livre (?) avec gravure et texte "Deutsche Demokratische Republik", puis photo d'enfants attablés avec titre manuscrit du film "Vacances en RDA 64" [Voir la suite]
Résumé
Ce film a été réalisé dans le cadre d'un voyage en RDA. Pierre Charret suit un groupe de jeunes enfants et adolescents envoyés en colonie de vacances par la CGT Nord en RDA.
Cartons de début :
image filmée d'un livre (?) avec gravure et texte "Deutsche Demokratische Republik", puis photo d'enfants attablés avec titre manuscrit du film "Vacances en RDA 64"
Séquence d'arrivée :
Devant la gare de Halle, ville située dans le land de Saxe-Anhalt, un comité d'accueil constitué de jeunes adolescents tenant une banderole et d'interprètes attend les enfants. Un défilé des arrivants est organisé dans la ville qui accueille les jeunes colons.
Séquence des lieux :
Différents plans sur les lieux d'accueil et sur les centres d'intérêt ( château, paysages de montagne, grottes, …). Séquence invitation dans une usine
Rencontre avec des dirigeants des syndicat de l'usine Det... (nom à préciser) à la maison des travailleurs.
Séquence départ en autocar :
A Merzdorf, un groupe de "jeunes colons français" embarque dans un autocar pour effectuer une excursion (à Leipzig ?), plans de l'autocar, des enfants qui montent, et plan à l'intérieur du véhicule, puis sur des adultes qui disent au revoir et enfin plans sur le bus qui part.
Séquence colonie :
autres plans sur une colonie située dans un paysage de forêt (nom de l'endroit à préciser), plans divers des enfants, de 'Flipo' moniteur et du directeur du lieu.
Séquence au bord d'un lac :
un camp de vacances est situé au bord d'un lac, les enfants (jeunes colons) jouent et nagent – montrant les progrès effectués, précise le commentaire – des personnes sont assises dans l'herbe aux abords du lac.
Séquence de fin :
Le retour à Lille. Les enfants, avec les parents, sont souriants certains ont les bras chargés de baluchons.
Lieux :
Halle (Allemagne), Bad Schmiedeberg (Allemagne), Eisenberg (Allemagne), Merzdorf (Allemagne), Lille
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Archipop [Réduire]
Descripteurs
1949-1990 RDA - Allemagne - Camping - Colonie de vacances - Confédération Générale du Travail - Thésaurus - Tourisme (activité)
Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Soixante années plus tôt, quasiment jour pour jour, le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste, se couchait avec plusieurs diza ... [Voir la suite]
Résumé
Le 27 février 2010, est organisée à Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire) une journée sur les luttes anticoloniales, en présence d'Ahmed Koulakssis et Alain Ruscio, historiens, et de la militante anticoloniale Raymonde Dien, née en 1929.
Soixante années plus tôt, quasiment jour pour jour, le 23 février 1950, Raymonde Dien, jeune militante communiste, se couchait avec plusieurs dizaines de camarades sur les rails en gare de Saint-Pierre-des-Corps pour empêcher le départ d'un train militaire au chargement destiné à l'Indochine. Seule personne arrêtée, elle resta incarcérée pendant 10 mois, ce qui en fit, avec Henri Martin, l'incarnation de la lutte contre la guerre d'Indochine en France. Une intense campagne fut orchestrée par le PCF pour sa libération.
Raymonde Dien est accueillie au son de la chanson « Henri Martin, Raymonde Dien / N’ veulent pas qu’on tue les Vietnamiens / Ils aiment tant la paix / Qu’aux juges ils sont suspects".
Marie-France Beaufils, maire PCF de Saint-Pierre-des-Corps, exprime son souhait de ne pas s'en tenir à des commémorations, mais de tenter de faire un lien avec le présent, d'où le travail mené avec les enfants des écoles de Saint-Pierre.
Raymonde Dien reçoit en cadeau la médaille d'honneur de la ville de Saint-Pierre. Elle rappelle la création du Parti communiste en 1920 à Tours en présence de celui qui ne s'appelait pas encore Ho Chi Minh. Elle rappelle les conséquences désastreuses de l'agent orange au Vietnam et appelle à signer une pétition.
Un hommage est rendu à Jacques Chauveau, secrétaire général du syndicat CGT de la métallurgie de Tours, une des personnes à l'initiative de l'action du 23 février 1950.
Hélène Luc, sénatrice communiste du Val-de-Marne et présidente de l’Association d’amitié franco-vietnamienne et Trinh Ngoc Thai, ancien Ambassadeur du Vietnam et vice-président de l'association d'amitié France-Vietnam, assistent à la journée. Ce dernier explique la popularité de Raymonde Dien au Vietnam.
Le film se termine par une chanson sur Raymonde Dien, écrite à l'époque par une institutrice de Saint-Pierre.
Le 21 janvier 2007, jour anniversaire de la décapitation de Louis XVI (21 janvier 1793), plusieurs dizaines de personnes sont rassemblées place de la Concorde à Paris, où se trouvait la guillotine pendant la Révolution française. Les poètes et dramaturges Jean Ristat, Marie-Noël Rio et Francis Combe lisent des textes rendant "hommage au régicide", acte fondateur de la République. Ils rap ... [Voir la suite]
Résumé
Le 21 janvier 2007, jour anniversaire de la décapitation de Louis XVI (21 janvier 1793), plusieurs dizaines de personnes sont rassemblées place de la Concorde à Paris, où se trouvait la guillotine pendant la Révolution française. Les poètes et dramaturges Jean Ristat, Marie-Noël Rio et Francis Combe lisent des textes rendant "hommage au régicide", acte fondateur de la République. Ils rappellent que les droits de l'homme et les valeurs fondamentales de la Révolution française sont sans cesse mis à mal, dans un monde occidental qui n'en a pas fini avec la monarchie - à l'image de l'Espagne, passée des mains de Franco à celles de Juan Carlos, héritier direct de la lignée Bourbon. Les manifestants, derrière la revue Commune, font la demande qu'une rue porte le nom de Maximilien Robespierre à Paris. Le rassemblement se clôt dans la bonne humeur autour d'un verre... de Bourbon.
Robespierre, icône honnie généralement assimilée aux dérives sanglantes de la Terreur, est au contraire une figure clé de la construction d'une pensée socialiste depuis le XIXème siècle. Dans la lignée de Jean Jaurès, les communistes français se sont toujours réclamés d'une vision robespierriste de la Révolution française, arguant que ses discours défendaient une conception universaliste et égalitaire de la société, et que la légende noire de Robespierre fut construite après sa mort par ses ennemis contre-révolutionnaires Thermidoriens. De nombreuses municipalités communistes ont ainsi donné le nom de Robespierre à des rues, ce que la ville de Paris a toujours refusé.
Carton
" En ce temps là on ne voyait pas la tour Eiffel
Ou
Un p’tit Bourbon !!
Et tête de veau vinaigrette."