video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org1440108024<iframe width="1440" height="1080" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1982-MarcheDeLaPa-107-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>763574https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/107 - MARCHE DE LA PAIX, 20 JUIN 1982/Photos/107-Marche_Paix_1982-1.jpg/CineA-1982-MarcheDeLaPa-107-1_1
Résumé
Robert Laudereau livre un témoignage brut de la Marche pour la paix et le désarmement à Paris en juin 1982.
Une foule nombreuse et pacifiste dénonce les conflits en cours au Liban et en Palestine, ainsi que la course à l'armement réinitiée par le gouvernement Reagan avec la bombe à neutron. L'accent est mis sur l'internationalisme des participants (Européens, Orientaux), et les banderoles ap ... [Voir la suite]
Résumé
Robert Laudereau livre un témoignage brut de la Marche pour la paix et le désarmement à Paris en juin 1982.
Une foule nombreuse et pacifiste dénonce les conflits en cours au Liban et en Palestine, ainsi que la course à l'armement réinitiée par le gouvernement Reagan avec la bombe à neutron. L'accent est mis sur l'internationalisme des participants (Européens, Orientaux), et les banderoles appellent à un monde solidaire et désarmé.
Une ambiance festive anime cette manifestation de Montparnasse à la place de la Bastille.
La Marche pour la paix et le désarmement est née de "L'appel des Cent", un collectif de personnalités politiques et intellectuelles (Albert Jacquard, Claude Pieplu, Georges Séguy...), qui, dans le contexte très marqué de la guerre froide, appelle à la négociation Est/Ouest et à la fin de la course aux armements. Ronald Reagan vient de relancer le développement de la bombe à neutrons. Juin 1982 voit également l'escalade de la violence entre Israël et le Liban. Suite à l'attentat contre l'ambassadeur d'Israël à Londres, l'armée israélienne bombarde les camps de l'OLP au sud Liban.
La Marche réunira plusieurs centaines de milliers de participants.
Lieux : Paris
Descripteurs : Désarmement, Guerre du Liban, Palestine, Israël
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
1947-1991 Guerre Froide - Armement militaire - Internationalisme - Manifestation - Marchais Georges - Pacifisme - Piéplu Claude - Séguy Georges
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1984-MarchePourLa-489-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>761572https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/489 - MARCHE POUR LA PAIX, 28 OCTOBRE 1984/Photos/489-Marche_Paix-1.jpg/CineA-1984-MarchePourLa-489-1_1
Résumé
Ce document amateur "tourné monté" de Robert Laudereau est composé de deux séquences distinctes : la première est consacrée à la Marche pour la paix qui se déroule à Paris le 28 octobre 1984 et la seconde rassemble des militants à Châtillon qui fleurissent les panneaux de rues rendant hommage aux grandes figures communistes résistantes.
Ce document amateur "tourné monté" de Robert Laudereau est composé de deux séquences distinctes : la première est consacrée à la Marche pour la paix qui se déroule à Paris le 28 octobre 1984 et la seconde rassemble des militants à Châtillon qui fleurissent les panneaux de rues rendant hommage aux grandes figures communistes résistantes.
Pour cette troisième Marche pour la paix et le désarmement à l'appel de 100 personnalités, Robert Laudereau met l'accent sur la présence de personnalités : comme celles de Jean Ferrat, Georges Marchais et André Lajoinie. Les banderoles ne donnent que peu d'indications sur les actions pacifistes en cours.
La séquence consacrée à Châtillon, non titrée et non datée, fait très certainement référence au Boulevard Malleret-Joinville, récemment débaptisé par Jean-Pierre Schosteck, le nouveau maire RPR de la ville en 1983. Après guerre, Châtillon renomme le boulevard de Vanves "Malleret-Joinville", en hommage à Albert Malleret-Joinville, responsable des FFI, militant syndicaliste et communiste. En débaptisant la rue, Jean-Pierre Schosteck s'attire les foudres des militants communistes, qui répliquent certainement par cette action de soutien et dépôt de fleur devant les panneaux emblématiques de la ville.
Lieux : Paris
Personnalité évoquée : SCHOSTECK Jean-Pierre, MALLERET-JOINVILLE Albert
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Châtillon (92) - Ferrat Jean - Hauts-de-Seine (92) - Hommage - Lajoinie André - Marchais Georges - Pacifisme - Thésaurus
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1981-1022-MarchePourLa-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>500341https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1022 - MARCHE POUR LA PAIX/CineA-1981-1022-MarchePourLa-2.png/CineA-1981-1022-MarchePourLa-1_1
Résumé
Le 25 octobre 1981 à Paris, le Mouvement de la Paix organise une manifestation autour du mot d’ordre “Ni Pershing – ni SS20” et débouchera sur “l’Appel de Paris”.
Le film s'attarde sur les banderoles ("Marche de la jeunesse pour la paix et le désarmement" "Faites l'amour, pas la guerre", "Mon bébé, c'est plus beau qu'une bombe", "Non aux fusées américaines, ... [Voir la suite]
Résumé
Le 25 octobre 1981 à Paris, le Mouvement de la Paix organise une manifestation autour du mot d’ordre “Ni Pershing – ni SS20” et débouchera sur “l’Appel de Paris”.
Le film s'attarde sur les banderoles ("Marche de la jeunesse pour la paix et le désarmement" "Faites l'amour, pas la guerre", "Mon bébé, c'est plus beau qu'une bombe", "Non aux fusées américaines, oui à la paix"), slogans, badges, pins... des manifestants.
On aperçoit des représentants de la CGT et de l'UNEF.
Un meeting a lieu sous la grande halle de la Villette.
Même s'il rassemblait au-delà des partis politiques (son secrétaire de l'époque était le journaliste chrétien Pierre-Luc Séguillon), le Mouvement de la paix eut de profondes ramifications au sein du PCF, et beaucoup de militants communistes furent aussi d'ardents militants pour la paix.
Ce film suit une manifestation pour le droit au travail et à la santé qui se déroule en novembre 1967 et qui se termine par un meeting de plein air, sur une place à Maubeuge.
Plusieurs centaines de personnes sont regroupées sur une place.
Plan face du cortège, en tête une grande banderole : "Pour le droit à la santé. Pour le droit au travail", puis des jeunes gens, qui ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film suit une manifestation pour le droit au travail et à la santé qui se déroule en novembre 1967 et qui se termine par un meeting de plein air, sur une place à Maubeuge.
Plusieurs centaines de personnes sont regroupées sur une place.
Plan face du cortège, en tête une grande banderole : "Pour le droit à la santé. Pour le droit au travail", puis des jeunes gens, qui chacun portant une pancarte, forment le slogan "Droit au Travail". Divers plans dans les rue de Maubeuge, on remarque une caricature du général de Gaulle découpé sur un panneau. Les manifestants passent sur un pont et se regroupent sur une grande place. Deux orateurs sont applaudis. La manifestation est terminée et se disperse.
Le film se clôt sur une revue de presse faite par Pierre Charret, avec un gros plan sur la une du journal Liberté : "Impressionnant défilé à Maubeuge et Fourmies". Le mot fin apparaît en incrustation sur une photo en une du journal.
Personnalités: Albert Mathon, J. Jarosz (?)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Liberté (journal) - Nord (59) - Nord-Pas-de-Calais - Thésaurus
En mars 1967 se tiennent des élections législatives, dans un contexte de crispation du pouvoir gaulliste, qui fait face à une montée des mécontentements dans la pays, comme en témoigne la grève générale déclarée le 1er février. Ce court document non monté rend compte de plusieurs événements de ce début d'année 1967 : une séquence tournée aux abords d'une usine, une revue de la presse communiste ap ... [Voir la suite]
Résumé
En mars 1967 se tiennent des élections législatives, dans un contexte de crispation du pouvoir gaulliste, qui fait face à une montée des mécontentements dans la pays, comme en témoigne la grève générale déclarée le 1er février. Ce court document non monté rend compte de plusieurs événements de ce début d'année 1967 : une séquence tournée aux abords d'une usine, une revue de la presse communiste après la grève, et enfin un meeting de Gustave Ansart et Lucienne Charret à Roubaix.
Plans large d'une usine. Plans serrés d'une cheminée d'usine au sommet de laquelle travaillent deux ouvriers.
Revue de presse : banc-titre sur les unes de Liberté et l'Humanité, "Un succès massif : 620000 grévistes dans notre région" pour l'un et "Par millions les travailleurs accusent" pour l'autre.
Après un intermède pendant lequel le fils du cinéaste se filme en train de faire des grimaces, le reste de la bobine est consacré à un meeting à Roubaix. Le meeting se tient en intérieur. De très jeunes personnes y assistent ; nombreux plans sur les applaudissements de la salle, puis sur les orateurs à la tribune, Lucienne Charret puis Gustave Ansart.
Lieux : Roubaix
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Archipop [Réduire]
Meeting de Jacques Duclos, candidat du PCF à l'élection présidentielle de 1969, à Saint-Ouen. Le public du meeting est majoritairement jeune, d'où la présence de René Piquet, à cette époque responsable des questions relatives à la jeunesse au PCF. Ce film apporte un contrepoint intéressant au film Les communistes dans la lutte, tourné par une équipe professionnelle : on voit d'ailleurs ici plusieu ... [Voir la suite]
Résumé
Meeting de Jacques Duclos, candidat du PCF à l'élection présidentielle de 1969, à Saint-Ouen. Le public du meeting est majoritairement jeune, d'où la présence de René Piquet, à cette époque responsable des questions relatives à la jeunesse au PCF. Ce film apporte un contrepoint intéressant au film Les communistes dans la lutte, tourné par une équipe professionnelle : on voit d'ailleurs ici plusieurs opérateurs caméra au travail. On reconnait notamment Yann Le Masson.
Meeting antifranquiste de Dolores Ibarrruri, la Pasionaria, à une date inconnue (début des années 1970, probablement peu avant la mort de Franco en 1975)
banderole : Libertad Democracia Amnistia
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1957-MeudonEtPari-303-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>764573https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/303 - MEUDON ET PARIS, 5 ANS DE LUTTE/Photos/303-Meudon_Paris_5ansLutte-2.jpg/CineA-1957-MeudonEtPari-303-1_1
Résumé
Roger Vuillemenot, né en 1931, médecin du travail et militant communiste, a tourné depuis 1957 une vingtaine de films amateurs sur ses activités militantes, d'abord avec sa section de Meudon puis avec celle de Sèvres (92), en particulier contre la guerre d'Algérie.
Ce film rassemble plusieurs documents filmés sur les actions menés par la section de Meudon contre la guerre d'Algérie entre ... [Voir la suite]
Résumé
Roger Vuillemenot, né en 1931, médecin du travail et militant communiste, a tourné depuis 1957 une vingtaine de films amateurs sur ses activités militantes, d'abord avec sa section de Meudon puis avec celle de Sèvres (92), en particulier contre la guerre d'Algérie.
Ce film rassemble plusieurs documents filmés sur les actions menés par la section de Meudon contre la guerre d'Algérie entre 1957 et 1962. Le matériau filmé au long de ces années par Roger Vuillemenot est divers, tantôt en noir et blanc tantôt en couleur. Il met en avant la persévérance et la combativité des communistes, le travail de terrain des militants de sa section de Meudon : affichage, tractage, pétition, manifestation... mais aussi l'engagement du PCF tout entier à travers son "organe central", le journal L'Humanité dont Roger Vuillemenot se sert abondamment pour illustrer la mobilisation contre la guerre d'Algérie et contre l'OAS.
1er carton : "Pour la paix en Algérie débrayez le 17 octobre 1957". Gros plan d'un tract qui appelle à la journée de mobilisation pour la paix en Algérie. Des militants de la section de Meudon tiennent un stand dans la rue : journaux, tracts et pétition - Discussion avec les passants... Un panoramique de bas en haut découvre sur le viaduc de Meudon une inscription à la peinture blanche sur toute sa longueur : "Journée nationale contre la guerre d'Algérie le 17 octobre".
Une délégation de manifestants va porter une pétition à la mairie de Meudon (?) ; Au passage de la caméra, dans la rue, le petit cortège composé d'hommes, de femmes et d'enfants brandit des pancartes "Paix en Algérie".
2ème carton : "Réactions populaires à l'émeute fasciste du 24 janvier 1960"
Placard mural dans la rue : "Comité de paix Meudon Bellevue. Les soussignés se félicitent que le président de la République n'ait pas cédé devant les factieux et ait maintenu le principe de l'autodétermination. Ils demandent le châtiment des responsables de l'insurrection..." Des militants distribuent tractent, un passant signe une pétition (ou un bulletin d'adhésion ?).
Vente de l'Humanité Dimanche par les comités de défense de l'Humanité (CDH) de Meudon, distribution de tracts dans la rue (lieux et personne sà identifier) - Allocution au porte-voix sur un marché.
La séquence qui suit est un montage de banc-titres de l'Humanité. Elle couvre des événements de l'année 1961, à commencer la répression de la manifestation du 17 octobre 1961 à l'appel du FLN contre le couvre-feu imposé aux algériens dans lé région parisienne : "Des centaines de milliers d'algériens manifestent pour la paix et l'indépendance". "60 cadavres d'algériens retrouvés en un mois à Paris - "13 jours sans manger Les détenus algériens unanimes poursuivent leur grève" - "Contre le fascisme grève dans la plupart des universités de France" - "Contre le terrorisme de l'OAS et le fascisme organisons ensemble une action d'ampleur nationale propose Maurice Thorez" - "20 000 jeunes dans la rue à Paris debout contre le fascisme et la guerre" - "500 000 grévistes ont lancé un nouvel avertissement au pouvoir gaulliste" - "A paris (malgré le formidable quadrillage policier) et dans toute la France les combattants de la Paix ont défilé dans les rues aux cris de "A bas la guerre d'Algérie, OAS assassins" "6 décembre barrage à l'OAS" "19 décembre : journée de manifestation nationale contre l'OAS et pour la paix en Algérie par la négociation"...
Ce montage est suivi par une série de cartons du réalisateur : "Le 15 novembre 1961, le Pcf propose une rencontre le 20" - "le 20 novembre appel à l'action pour le 6 décembre PCF - CGT - JC" - "Le 7 décembre réunion des syndicats "CGT - UNEF - CFTC - FEN" - "la CGT propose une manifestation centrale à Paris"
Images d'une manifestation à Paris. Le cortège passe dans la rue Claude Bernard. Pose de gerbes devant le 33 de la rue.
La dernière partie du film est consacrée aux funérailles des victimes de la répression de la manifestation contre l'OAS du 8 février 1962 : A Meudon, une collecte de solidarité est organisée "pour les funérailles des huit militants tués. La collecte se déroule dans la rue, sur un marché... Montage des pages de journaux avec les portraits des manifestants tués et une carte d'adhérent au PCF (parti dont étaient membres les victimes de la répression policière) - Plans de l'arrivée des manifestants, sortie du métro Strasbourg-Saint-Denis, avec des drapeaux rouges sur l'épaule ; rassemblement place de la République, défilé et gerbes déposées au Père Lachaise, dans le carré des communistes (plan de la stèle des fusillés de Chateaubriand), près du mur des Fédérés.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
1954-1962 Guerre d'Algérie - Comité de diffusion de l'Humanité - Confédération Française des Travailleurs Chrétiens - Confédération Générale du Travail - Fédération de l'Éducation Nationale - L'Humanité (journal) - L'Humanité Dimanche (magazine) - Meudon (92) - Militantisme - Mouvement Jeunes Communistes de France - Paris (75) - Père-Lachaise (cimetière du) - Paris (75) - Thorez Mauri ... [Voir la suite]
Descripteurs
1954-1962 Guerre d'Algérie - Comité de diffusion de l'Humanité - Confédération Française des Travailleurs Chrétiens - Confédération Générale du Travail - Fédération de l'Éducation Nationale - L'Humanité (journal) - L'Humanité Dimanche (magazine) - Meudon (92) - Militantisme - Mouvement Jeunes Communistes de France - Paris (75) - Père-Lachaise (cimetière du) - Paris (75) - Thorez Maurice [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1967-Mobilisation-257-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>764570https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/257 - MOBILISATION DE LA JEUNESSE COMMUNISTE POUR LE VIETNAM/Photos/257-Mobilisation_JC_Vietnam-4.jpg/CineA-1967-Mobilisation-257-1_1
Résumé
Ce film rend compte des préparatifs puis de la manifestation qui s'est déroulée à Paris le 26 novembre 1967 pour montrer le soutien de la jeunesse française au peuple vietnamien.
Toute une première partie concerne la préparation de la manifestation : à la sortie d'un lycée mixte, de jeunes militants distribuent des tracts et discutent avec les lycéens. Une séquence porte sur un groupe ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film rend compte des préparatifs puis de la manifestation qui s'est déroulée à Paris le 26 novembre 1967 pour montrer le soutien de la jeunesse française au peuple vietnamien.
Toute une première partie concerne la préparation de la manifestation : à la sortie d'un lycée mixte, de jeunes militants distribuent des tracts et discutent avec les lycéens. Une séquence porte sur un groupe de jeunes filles qui vendent des poupées vietnamiennes en faisant du porte à porte : l'une d'entre elles porte un costume vietnamien.
Différents plans relatent de nouveau des distributions de tracts à la sortie d'établissements scolaires. Les affiches annonçant la manifestation sont également visibles à l'image.
A l'approche de la manifestation, des cars sont affrétés. Les jeunes participants mangent ensemble dans un grand réfectoire.
Une brève séquence décrit les collectes de boites de conserve. Elles sont transformées en troncs destinés à des collectes en faveur du peuple vietnamien. L'argent réuni est ensuite compté dans des bassines.
La deuxième partie du film porte sur la manifestation en elle-même. Les cortèges se succèdent : les jeunes sont venus nombreux, de toute la France. Parfois accompagnés de fanfares ou de majorettes, ils représentent des villes, des régions ou des organisations de jeunes, telles que l'UEC, le mouvement de la jeunesse communiste, l'UJCF ou l'UJFF... Des délégations de jeunes Grecs et de jeunes Espagnols sont également présentes.
Certains manifestants sont habillés en costumes folkloriques ; des bergers landais avancent sur des échasses. D'autres portent l'habit ou le chapeau traditionnel vietnamien. Les banderoles sont nombreuses : elles dénoncent la politique menée par Johnson, affirment la solidarité avec le Vietnam d'Ho Chi Minh et réclament la paix. De nombreux drapeaux vietnamiens (et parfois français) ponctuent les rangs de la manifestation. Un bref plan montre Waldeck-Rochet et Georges Marchais.
A la suite des accords de Genève, en 1954, le Vietnam est divisé en deux états : au nord, s’établit un régime communiste sous l’égide de Ho Chi Minh. Il encourage alors la réunification vietnamienne par la création d’un front national pour la libération du Sud-Vietnam, le FNL (surnommé Viêt-Cong par ses adversaires). Par crainte d’une propagation du communisme, les Etats-Unis appuient le Sud-Vietnam et finissent par intervenir militairement à compter de 1965 : c’est le début de la guerre du Vietnam. Celle-ci oppose le Nord du Vietnam au Sud, soutenu par les Etats-Unis. Malgré d’importants moyens militaires, les Etats-Unis ne parviennent pas à rétablir la situation en faveur du Sud-Vietnam : ils s’enlisent dans un conflit qui est de plus en plus décrié par l’opinion publique. Au tournant des années 1970, la protestation contre la guerre du Vietnam s’avive, particulièrement parmi les jeunes Américains. Celle-ci prend une dimension mondiale : en France, la guerre du Vietnam est dénoncée pour alerter contre l’impérialisme américain.
La guerre du Vietnam s’achève sur un échec américain : à partir de 1973, les forces militaires se retirent et laissent face à face Sud et Nord-Vietnam. Le Nord procède alors à la réunification du pays.
A l’initiative du Mouvement de la jeunesse communiste, la manifestation du 26 novembre 1967 se déroule à Paris, de la place du colonel Fabien à la place de la République. Elle rassemble des jeunes venus de la France entière : selon l’Humanité du 27 novembre 1967, 70 000 manifestants se sont réunis (le quotidien indique que la radio en a annoncé 50 000). Les principaux représentants des organisations de jeunesse communistes (UJRF, UJFF, UJAF) sont présents, de même que les dirigeants du PCF, comme par exemple Waldeck-Rochet.
Un meeting se tient place de la République, en présence de François Hilsum, qui est secrétaire général de la Jeunesse communiste, et du représentant des Vietnamiens en France.
Pendant le mois qui a précédé la manifestation, les jeunes ont récolté de l’argent pour soutenir le peuple vietnamien. Le jour de la manifestation, l’Humanité annonce que des « millions (d’anciens francs) » ont été collectés à Paris et en banlieue.
Ce film a été tourné en amateur par Charles Sebbah. Né en 1930, il passe son enfance à Paris. Ouvrier chez Renault de 1944 à 1956, il entre au PCF en 1947. A partir de 1953, il s’installe à Pantin et y poursuit ses activités militantes tout en devenant conseiller municipal dès 1959.
Un autre film sur cette manifestation existe dans le catalogue de Ciné-Archives : "Ce Jour-là, 26 novembre 1967" réalisé par Marcel Trillat, Paul Seban et Jacques Krier.
Lieux : banlieue parisienne, Romainville, Paris, place du Colonel Fabien
Personnalités : Georges Marchais, Waldeck-Rochet
Mots clés :
Georges Marchais, Waldeck-Rochet, Romainville
Vietnam, guerre du Vietnam, manifestation, manifestant, banderole, défilé, fanfare, majorette, drapeau, tract, collecte, UEC, mouvement de la jeunesse communiste
Jeune, militant, jeunesse, lycéen, étudiant, collégien
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
1946-1954 Guerre d'Indochine - 1955-1975 Guerre du Vietnam - Militantisme - Mobilisation de solidarité internationale - Mouvement de jeunesse - Thésaurus
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-2010-1096-ManifRetrait-1-1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>768576https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1096 - MANIFESTATIONS POUR LES RETRAITES/CineA-2010-1096-ManifRetrait-1-6h.jpg/CineA-2010-1096-ManifRetrait-1-1
Résumé
Ce document est un bout-à-bout de plusieurs films tournés par Dominique Maugars à Tours, Saint-Pierre des Corps et Paris pendant le mouvement contre la réforme des retraites voulue par Nicolas Sarkozy, de juin à novembre 2010. Ce mouvement de très grande ampleur a rassemblé à travers la France plusieurs millions de salariés du public et du privé lors de 14 grandes journées d'action, afin de protes ... [Voir la suite]
Résumé
Ce document est un bout-à-bout de plusieurs films tournés par Dominique Maugars à Tours, Saint-Pierre des Corps et Paris pendant le mouvement contre la réforme des retraites voulue par Nicolas Sarkozy, de juin à novembre 2010. Ce mouvement de très grande ampleur a rassemblé à travers la France plusieurs millions de salariés du public et du privé lors de 14 grandes journées d'action, afin de protester contre le relèvement de 2 ans de l'âge légal de départ à la retraite. L'ensemble des syndicats de salariés français (CGT, CFDT, FO, CFTC, CGC, l'Unsa, Solidaires et la FS) s'oppose à cette réforme, ainsi que les syndicats lycéens et étudiants. Les manifestants entendent non seulement défendre le maintien de l'âge de la retraie à 60 ans, mais aussi l'augmentation des salaires et la sécurisation de l'emploi.
La première manifestation filmée par Dominique Maugars a lieu le 24 juin 2010, mais le cœur du mouvement se situe à l'automne 2010, à partir du 7 septembre.
Jean-Michel Bodin, conseiller régional communiste de la région Centre, commente la manifestation du 24 juin. Marie-France Beaufils, sénatrice communiste et maire de Saint-Pierre des Corps, explique que le système de retraites pourrait être financé, non par l'allongement de la durée de cotisation, mais par la taxation des revenus du capital et la suppression des niches fiscales.
Stéphane Deplobin, secrétaire de l'Union Départementale CGT 37, prononce un discours sur la place de l'Hôtel de ville à Tours. Marie-France Beaufils se charge de déposer au Sénat la pétition signée par les manifestants.
Les sujets tournés dans les cortèges sont entrecoupés par des bancs-titres sur des unes de l'Humanité, et des zooms sur des affiches ou slogans : "1% de salaires en +, c'est 2 milliards de cotisations en +", "exonération des cotisations patronales = 25 milliards en moins pour les retraites", "30 milliards de plus dans les caisses de retraite... si les revenus financiers cotisent au même taux que les salaires"
Le pic de la mobilisation est atteint le 12 octobre. Les jeunes, étudiants et lycéens, sont nombreux à avoir rejoint les rangs. Les syndicats revendiquent 3,5 millions de manifestants pour cette journée, dont 330 000 pour la manifestation parisienne.
Plusieurs séquences sont tournées au Technicentre de Saint-Pierre-des-Corps (ex-Cadoux), lors des AG pour la reconduction de la grève des cheminots.
Rassemblement devant le dépôt pétrolier de Saint-Pierre des Corps ; rassemblement en gare de Saint-Pierre des Corps.
"Sarko, Parisot, y en a marre de vos lois pour les riches" sur l'air du Chant des partisans.
Dominique et Elisabeth Maugars sont à Paris le 6 novembre pour une journée de double manifestation, contre la réforme des retraites et le démantèlement du service public, mais aussi pour le droit à l’avortement, en présence de Laurence Cohen, Marie-George Buffet et Pierre Laurent. On aperçoit Emmanuelle Becker, conseillère de Paris.
Manifestations et rassemblements filmés : 24 juin 2010, 7 septembre 2010, 29 septembre 2010, 2 octobre 2010, 12 octobre 2010, 13 octobre 2010, 14 octobre 2010, 15 octobre 2010, 16 octobre 2010, 18 octobre 2010, 20 octobre 2010, 21 octobre 2010, 22 octobre 2010, 25 octobre 2010, 27 octobre 2010, 28 octobre 2010, 6 novembre 2010, 23 novembre, 25 novembre 2010
Personnalités à l'image : Jean-Michel Bodin, Marie-France Beaufils, Marie-George Buffet, Laurence Cohen, Pierre Laurent, Stéphane Deplobin (CGT), Christophe Dubois (CGT), Didier Bochet (CGT),
Personnalités évoquées : Nicolas Sarkozy (président de la République), Laurence Parisot (présidente du MEDEF),
Buffet Marie-George - Cheminot - Confédération Générale du Travail - Conquêtes sociales (congés payés, retraites, pouvoir d'achat...) - Front de Gauche - Gare ferroviaire - Laurent Pierre - Manifestation - Paris (75) - Parti Communiste Français - SNCF - Saint-Pierre-des-Corps (37) - Thésaurus - Tours (37)