FÊTE DE L’HUMANITÉ 2000
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- Réalisateur.ice.sANONYME
- Année(s)2000 précisément
- ColorationCouleur
- SonSonore
Première fête de l'Humanité qui se tient au Bourget, dans des allées goudronnées.
Des gens arrivent à la fête. Quelques plans dans les allées.
Interviews sur les intentions de vote au référendum du 24 septembre 2000 (sur le septennat). Plans de la foule depuis la grande scène. Une banderole sur le « Référendum bidon ». Sur la scène, des dirigeants entourent Robert Hue. Un gros plan sur Charles Gayssot. Après quelques interventions de salariés, Dominique Grador (secrétaire du comité exécutif du P.C.F.) commence son discours. Des gros plans détaillent quelques dirigeants du P.C.F. (dont Martine Durlach, secrétaire de la fédération de Paris).
Un gros plan sur un badge dénonçant le « référendum bidon » clos cette séquence. Visite de l'exposition d'œuvre d'art (peintures et sculptures, Fougeron, Mireille Denis-Malherbe, J.C. Blanchard) organisée pour le 80ème anniversaire du P.C.F. par la fédération du Val d'Oise.
Une interview inédite entre Eddy Mitchell et Robert Hue, qui se tiennent par les épaules. Arrivée d'Eddy, un journaliste l'interroge sur le référendum. Il s'abstient annonce rigolard Robert Hue. Une seconde question l'interroge : Est-ce un concert comme les autres ? Eddy répond qu'il est ici à une grande fête. « Être communiste dans ma jeunesse c'était spécial... La chose qui n'a jamais changé c'est que ce sont des empêcheurs de tourner en rond et on en a besoin. ». Ils trinquent. L'ambiance est bon enfant. Puis des questions plus légères amènent Robert Hue a rappeler qu'il connaissait fort bien les chaussettes noires et le Golf Drouot où il a vu Eddy Mitchell se produire. Notamment un concert avec orchestre et violons dans une des versions de Be Bop a Lula.
Des gens arrivent à la fête. Quelques plans dans les allées.
Interviews sur les intentions de vote au référendum du 24 septembre 2000 (sur le septennat). Plans de la foule depuis la grande scène. Une banderole sur le « Référendum bidon ». Sur la scène, des dirigeants entourent Robert Hue. Un gros plan sur Charles Gayssot. Après quelques interventions de salariés, Dominique Grador (secrétaire du comité exécutif du P.C.F.) commence son discours. Des gros plans détaillent quelques dirigeants du P.C.F. (dont Martine Durlach, secrétaire de la fédération de Paris).
Un gros plan sur un badge dénonçant le « référendum bidon » clos cette séquence. Visite de l'exposition d'œuvre d'art (peintures et sculptures, Fougeron, Mireille Denis-Malherbe, J.C. Blanchard) organisée pour le 80ème anniversaire du P.C.F. par la fédération du Val d'Oise.
Une interview inédite entre Eddy Mitchell et Robert Hue, qui se tiennent par les épaules. Arrivée d'Eddy, un journaliste l'interroge sur le référendum. Il s'abstient annonce rigolard Robert Hue. Une seconde question l'interroge : Est-ce un concert comme les autres ? Eddy répond qu'il est ici à une grande fête. « Être communiste dans ma jeunesse c'était spécial... La chose qui n'a jamais changé c'est que ce sont des empêcheurs de tourner en rond et on en a besoin. ». Ils trinquent. L'ambiance est bon enfant. Puis des questions plus légères amènent Robert Hue a rappeler qu'il connaissait fort bien les chaussettes noires et le Golf Drouot où il a vu Eddy Mitchell se produire. Notamment un concert avec orchestre et violons dans une des versions de Be Bop a Lula.