tc in | tc out | durée | description | mots clés |
---|---|---|---|---|
00:00:00:00 | 00:00:33:00 | 00:00:33:00 | Plan de surplomb sur la ville. Présentation démographique de la ville en voix off | |
00:00:33:01 | 00:02:08:00 | 00:01:34:24 | Présentation historique : la ville tire son nom de la tour érigée en 1856 à Vanves dans le quartier de la Nouvelle-Californie en l’honneur de la prise de la tour de Malakoff. À partir de 1864, le nom de Malakoff remplace « Californie » et « petit Vanves » pour désigner ces quartiers. 1883 : la commune est née ; la ville se développe ensuite vers le sud en dépit des difficultés (la ville est construite sur d’anciennes carrières devenues champignonnières ; le terrain manque avec le grand fort de Vanves). « Depuis 1925, la ville de Malakoff est gérée par une municipalité ouvrière à majorité communiste ». | |
00:02:08:01 | 00:06:32:00 | 00:04:23:24 | « Premier chapitre : Au service et à l’écoute des besoins de la population laborieuse ». Micro-trottoir : ça a changé en bien (logements, écoles, etc.), soutien municipal aux revendications en 68. Léo Figuères s’explique : une municipalité communiste, c’est un point d’appui pour les travailleurs d’abord ; ensuite améliorer le cadre de la ville ; « utiliser les moyens limités dans le contexte actuel pour apporter une atténuation aux conséquences de la politique antisociale des gouvernants actuels que nous n’avons cessé de dénoncer ». La parole de la population alterne avec celle des élus : un lycée est demandé. | |
00:06:32:01 | 00:07:47:00 | 00:01:14:24 | L’enfance et l’action de la municipalité : crèches, centres aérés, bassins d’initation, centres médico-psycho-pédagogiques pour les enfants inadaptés, camps d’adolescents, colonies de vacances… La municipalité prend près de 40% du coup des classes de neige et les subventions sont à peine supérieures à 10%. | |
00:07:47:01 | 00:10:04:00 | 00:02:16:24 | Les foyers pour les anciens ; la tarification sociale. Promenades, radio, séjours sur la Côte-d’Azur très subventionnés par la municipalité… | |
00:10:04:01 | 00:14:36:00 | 00:04:31:24 | Construction de plus de 2 000 logements en 10 ans. Rénovation de quartiers vétustes. Présentation des projets d’urbanisme : les vues de la maquette et de la ville alternent. L’office HLM de la commune y est très actif. L’objectif est de construire des logements accessibles largement tout en étant très modernes. | |
00:14:36:01 | 00:16:10:00 | 00:01:33:24 | Le plan de la place du 11 Novembre, centre ville, avec la municipalité, l’espace culturel, les salles polyvalentes est présenté. | |
00:16:10:01 | 00:17:22:00 | 00:01:11:24 | L’arrivée du métro, la réfection du marché, la création de la piscine sont évoquées et saluées. Les activités sportives dans les équipements modernes sont filmées (handball). | |
00:17:22:01 | 00:19:13:00 | 00:01:50:24 | Établissements Ragonot. L’entreprise est condamnée à la fermeture mais les grèves fortes permettent d’empêcher cette issue. Appui de la municipalité : une photographie est montrée où apparaît le député communiste de la circonscription Guy Ducoloné ; sur d’autres, le maire, Léo Figuères apparaît. La grève victorieuse a permis le maintien de l’activité. Les nouvelles entreprises installées à Malakoff sont filmées : Thomson-CSF, Peugeot en remplacement de Grammont… | |
00:19:13:01 | 00:26:24:00 | 00:07:10:24 | « Deuxième chapitre : les difficultés et les luttes ». Le pays est au service des classes possédantes et non des masses laborieuses et des collectivités locales explique Léo Figuères. Explication des impôts locaux : transferts de charges en direction des communes qui relevaient de l’État ; subventions de l’État en baisse pour les constructions municipales ; assujettissement à la TVA quand les entreprises la récupère quand ils investissent. Explication du budget par grands secteurs. Rien n’est possible sans l’action de la population explique Léo Figuères : manifestations, pétitions… pour des équipements. Hostilité aux surloyers et action des amicales de locataires en lien avec la mairie (1 ménage sur 2 est à l’amicale dans une cité) | |
00:26:24:01 | 00:28:00:00 | 00:01:35:24 | La structuration des habitants dans des organisations sectorielles : personnes âgées, parents d’élèves | |
00:28:00:01 | 00:32:00:00 | 00:03:59:24 | « Troisième chapitre : associer toujours plus la population ». On est bien informés : réunions, bulletins… Réunions pour la préparation du prochain programme municipal. Cinq commissions consultatives de travail sont mises en œuvre ouvertes à la population, des élus, des fonctionnaires, des associations. C’est encore insuffisant reconnaît un élu : on manque de moyens ; nos habitants n’ont pas toujours le temps nécessaire pour participer à la gestion de leurs propres affaires. | |
00:32:00:01 | 00:40:00:00 | 00:07:59:24 | Éducation : bibliothèque, valorisation de la culture. Élever le niveau des besoins est revendiqué comme une priorité. Créations dramatiques, pratiques sportives, activités de la Maison des jeunes et de la culture (MJC) sont évoquées. La gestion de la MJC est largement confiée aux jeunes eux-mêmes qui appuient la municipalité pour réclamer les subventions nationales qui manquent. La charte exposant ces principes et adoptée en assemblée générale des adhérents le 28 septembre 1968 est ainsi lue par la voix off. Influence grandissante de la MJC au succès croissant. Débat contradictoire parmi les jeunes par rapport à la gestion de la MJC dans le cadre du conseil de la MJC : ski, ciné-club, génétique, etc. | |
00:40:00:01 | 00:41:10:00 | 00:01:09:24 | Dans la mesure où les élus ne seront pas isolés, nous avons la certitude que l’union la plus large des travailleurs ici permettra, sur le plan national, d’ouvrir la voie à des changements fondamentaux à l’échelle nationale, condition d’amélioration de la gestion communale, explique Léo Figuères. | |
00:41:10:01 | 00:41:11:00 | 00:00:00:24 | Générique de fin : des personnalités professionnelles importantes y figurent, à l’image de Christiane Lack ou Gilbert Pereira. |