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00:00:00:00 | 00:01:36:00 | 00:01:36:00 | Des manifestants d'Indre-et-Loire descendent du train à la gare d'Austerlitz en chantant, leurs banderoles déployées. | |
00:01:36:01 | 00:03:22:00 | 00:01:45:24 | La deuxième séquence donne la parole à quatre hommes originaires de la République Démocratique du Congo ; ils ont entendu parler de la journée pour la paix et, de passage à Paris, sont venus par curiosité place de la Nation. Ils disent ce que représente la paix pour eux. | |
00:03:22:01 | 00:05:10:00 | 00:01:47:24 | Les autocollants sont très nombreux parmi les manifestants, ainsi ce jeune garçon coiffé d'un sombrero rouge orné d'un autocollant "J'aime la paix". La foule bigarrée réserve quelques surprises, puisqu'un groupe de Raëliens participent à la fête, tout de blanc vêtus. L'équipe du tournage se promène parmi la foule rassemblée autour de la place avant le départ du cortège. | |
00:05:10:01 | 00:06:08:00 | 00:00:57:24 | Des cyclistes chantent sur l'air de Vive le vent "Vive la vie, vive la paix, le désarmement! Non Reagan tu n'auras pas la bombe à neutrons!" ; en tête de manifestation, un groupe chante "Quand c'est pour la paix, on est toujours là!". | |
00:06:08:01 | 00:08:34:00 | 00:02:25:24 | Une deuxième équipe prend des plans larges en plongée depuis un balcon ou une grue. Les manifestants bloquent la circulation sur le Cours de Vincennes. | |
00:08:34:01 | 00:09:34:00 | 00:00:59:24 | Les marcheurs sont arrivés dans la clairière de Reuilly. Des banderoles en plusieurs langues disent "J'aime la paix", "Je veux des bombes de fleurs". Des vendeurs proposent des boissons et des sandwiches. | |
00:09:34:01 | 00:09:55:00 | 00:00:20:24 | Sous un barnum, Georges Séguy et le professeur Léon Schwartzenberg discutent. | |
00:09:55:01 | 00:10:22:00 | 00:00:26:24 | Claude Piéplu apparaît à l'image. | |
00:10:22:01 | 00:11:05:00 | 00:00:42:24 | Maxime Gremetz, Georges Séguy et deux autres personnes sont en grande conversation ; ils arrêtent net lorsqu'ils aperçoivent la caméra. | |
00:11:05:01 | 00:13:27:00 | 00:02:21:24 | Images de la foule. Un couple de jeunes punks discute avec un jeune homme. Des gens dansent sur la pelouse au son de la musique. Des jeunes filles habillées en hippies saluent la caméra. Plans sur des passants. | |
00:13:27:01 | 00:17:53:00 | 00:04:25:24 | Des gens allongés sur les pelouses répondent aux questions de l'équipe du film. Ils sont agréablement surpris de la mobilisation. Une femme explique qu'elle est là pour ses enfants et petits-enfants, "je veux pas qu'on nous les tue! | |
00:17:53:01 | 00:18:13:00 | 00:00:19:24 | Un vieux monsieur exhibe un chapeau sur lequel il a accroché sa collection de badges pour la paix. | |
00:18:13:01 | 00:20:25:00 | 00:02:11:24 | Georges Marchais discute avec un jeune homme non communiste, qui présente la position des détracteurs de l'Appel des 100, qui accusent les organisateurs d’être critiques à l’égard des Pershing américains et bienveillants envers les SS-20 soviétiques…. Maxime Gremetz veille à l'image publique de Georges Marchais, lui conseillant de regarder en direction des photographes. | |
00:20:25:01 | 00:21:47:00 | 00:01:21:24 | Après une vue d'enfants dans la foule, le discours à la tribune de soeur Françoise Vandermeersch, qui dénonce la guerre et les ravages qu'elle a semés au Vietnam. | |
00:21:47:01 | 00:23:30:00 | 00:01:42:24 | Panoramique sur la foule rassemblée devant la scène. | |
00:23:30:01 | 00:27:00:00 | 00:03:29:24 | Albert Jacquard lit à la tribune l'appel en faveur du désarmement. "Il y a un an, nous étions cent, (...) maintenant nous sommes des centaines de milliers." "Il répète le slogan "Nous voulons la paix, nous aimons la vie" et demande aux personnalités publiques de s'engager et de mettre leur notoriété au service du combat pour la paix, pour "un monde délivré de l'angoisse atomique". | |
00:27:00:01 | 00:28:38:00 | 00:01:37:24 | Le document se termine en musique, et en dansant. |