1848-1998 LE COMMUNISME ?
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- Réalisateur.ice.sRaoul SANGLA
- Année(s)1998 précisément
- Durée00:09:00
- ColorationCouleur
- FormatBétacam SP
- SonSonore
Ce document présente une série de courts entretiens avec des anonymes, filmés par Raoul Sangla. Ces entretiens ont été tournés pour être projetés lors de la fête organisée par le PCF le 6 juin 1998 pour célébrer le 150ème anniversaire de la Révolution de 1848 et du Manifeste du Parti communiste de Karl Marx.
Les personnes interrogées y définissent ce que représente pour eux le communisme.
Pour les plus âgés, le communisme était un moteur et un espoir pour la classe ouvrière : un homme cite le fonctionnement des soviets, un autre Cuba et le Vietnam.
L'ensemble des personnes interrogées définit le communisme comme étant un synonyme de progrès social.
Pour les jeunes, "on n'en retient que l'URSS malheureusement, et tous les pays de l'Est qui n'ont pas marché." Tout en refusant en bloc le stalinisme, ces jeunes sont présentés comme les continuateurs du communisme, ancrés dans les luttes de leur époque : l'une milite pour la régularisation des sans papiers et lutte contre le racisme, une autre évoque le combat des femmes algériennes pour abolir le code de la famille, le dernier dit son admiration pour le combat du sous-commandant Marcos au Chiapas.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, BNF
Les personnes interrogées y définissent ce que représente pour eux le communisme.
Pour les plus âgés, le communisme était un moteur et un espoir pour la classe ouvrière : un homme cite le fonctionnement des soviets, un autre Cuba et le Vietnam.
L'ensemble des personnes interrogées définit le communisme comme étant un synonyme de progrès social.
Pour les jeunes, "on n'en retient que l'URSS malheureusement, et tous les pays de l'Est qui n'ont pas marché." Tout en refusant en bloc le stalinisme, ces jeunes sont présentés comme les continuateurs du communisme, ancrés dans les luttes de leur époque : l'une milite pour la régularisation des sans papiers et lutte contre le racisme, une autre évoque le combat des femmes algériennes pour abolir le code de la famille, le dernier dit son admiration pour le combat du sous-commandant Marcos au Chiapas.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, BNF