video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1965-GrandRendezV-309-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>761566https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/309 - LE GRAND RDV (FETE DE L'HUMANITE 1964)/Photos/309-Grand_Rdv-1.jpg/CineA-1965-GrandRendezV-309-1_1
Résumé
Ce film amateur, réalisé par Michel Perrigouard un militant de la Fédération d'Indre-et-Loire, relate la participation des militants tourangeaux à la fête de l'Humanité les 5 et 6 septembre 1964 à la Courneuve (Seine-Saint-Denis) : le départ de Tours, le montage du stand, la fête (en couleur) et le retour des militants.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine- ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur, réalisé par Michel Perrigouard un militant de la Fédération d'Indre-et-Loire, relate la participation des militants tourangeaux à la fête de l'Humanité les 5 et 6 septembre 1964 à la Courneuve (Seine-Saint-Denis) : le départ de Tours, le montage du stand, la fête (en couleur) et le retour des militants.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Ce film évoque en images la grève de Mai 68 à l'Atelier industriel de l'aéronautique, à Bordeaux.
A la sortie de l'établissement, et dans la cour extérieure, les ouvriers en grève se rassemblent et discutent. A l'intérieur, dans l'usine occupée, les grévistes se réunissent pour préparer les actions. Un bref plan montre les grévistes jouant à la pétanque.
La fin du film donne à voir une manifestat ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film évoque en images la grève de Mai 68 à l'Atelier industriel de l'aéronautique, à Bordeaux.
A la sortie de l'établissement, et dans la cour extérieure, les ouvriers en grève se rassemblent et discutent. A l'intérieur, dans l'usine occupée, les grévistes se réunissent pour préparer les actions. Un bref plan montre les grévistes jouant à la pétanque.
La fin du film donne à voir une manifestation interprofessionnelle à Bordeaux, qui a démarré rue Aristide Briand, face à la Bourse du travail. Dans le cortège, on aperçoit une banderole de la CGT.
Ce film rend compte du Mai 68 de l'Atelier industriel de l'aéronautique, installé quai de la Souys à Bordeaux. Dédié à la maintenance d'aéronefs militaires, cet établissement dépendait du Ministère de la défense : ouvriers, techniciens et ingénieurs étaient civils mais la direction était militaire.
En Mai 68, sous l'impulsion de l'intersyndicale, les travailleurs ont voté une fermeture des grilles et une occupation jour et nuit de l'usine. Dès lors, pendant 3 semaines environ, les grévistes se sont relayés dans les locaux et une équipe de maintenance a assuré la protection des machines.
C'est Paul Lecocq (né en 1936), ouvrier à l'Atelier industriel de l'aéronautique, qui a enregistré ces images à l'aide d'une caméra 8mm. Militant à la CGT, très investi dans sa section syndicale, Paul Lecocq a voulu garder une trace des événements de Mai 68. Ceux-ci semblaient d'autant plus importants à l'Atelier industriel de l'aéronautique que l'établissement avait une vocation militaire.
Certains plans de la manifestation interprofessionnelle qui apparaît à la fin du film ont été perdus : ils montraient la tête du cortège et les responsables locaux de la CGT (Georges Mougnères et Francis Sanson). Pour les enregistrer, Paul Lecocq s'était positionné sur le rebord d'une fenêtre de l'hôpital Saint-André.
Lieux : Bordeaux, quai de la Souys, Atelier industriel de l'aéronautique
Mots clés : usine, travailleur, ouvrier, grève, gréviste, réunion, manifestation, rassemblement, occupation, aéronautique, CGT - Mai 68 – pétanque.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
1968 Mai 68 - Armée - Bordeaux (33) - Conflit social - Confédération Générale du Travail - Grève - Industrie aéronautique - Pétanque - Syndicalisme - Thésaurus - Usine (bâtiment)
Ce document témoigne de l'intensité de la contestation sociale en 1967, ici dans le Nord. En effet, avant même sa turbulente suivante, l'année 1967 avait battu le records de nombre de journées de grève en France.
La première partie du film est consacrée à la grève de deux mois à l'usine de production de matériel agricole CIMA de Croix, qui employait plusieurs milliers de travailleurs. La CIMA (Co ... [Voir la suite]
Résumé
Ce document témoigne de l'intensité de la contestation sociale en 1967, ici dans le Nord. En effet, avant même sa turbulente suivante, l'année 1967 avait battu le records de nombre de journées de grève en France.
La première partie du film est consacrée à la grève de deux mois à l'usine de production de matériel agricole CIMA de Croix, qui employait plusieurs milliers de travailleurs. La CIMA (Compagnie Internationale des Machines Agricoles de France) vient alors d'être rachetée par un grand groupe américain, International Harvester (IH). 239 licenciements sont annoncés par la direction. Pierre Charret suit la mobilisation des délégués syndicaux et responsables communistes de la région. Plusieurs journées de manifestations ont lieu à Croix et Roubaix, très suivies. Malheureusement, la direction, la préfecture et pour finir le Ministère des affaires sociales, restent sourds aux revendications, et la reprise du travail est votée sans avoir obtenu gain de cause.
La seconde partie du document relate la grande manifestation du 8 avril 1967 à Lille, qui rassemble des manifestants venus de l'ensemble du Nord.
Lieux : Roubaix, Lille, Wasquehal, Croix
Personnalités : Gustave Ansart, Joseph Ansart, Jean Cos, EMile Duhamel, Lucienne Charret, Léon Lesschaeve, Adolphe Dutoit.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Archipop [Réduire]
Descripteurs
Conflit social - Confédération Générale du Travail - Grève - Liberté (journal) - Lille (59) - Manifestation - Meeting - Presse écrite - Roubaix (59) - Syndicalisme - Usine (bâtiment)
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Résumé
Document amateur réalisé par Robert Laudereau lors du mouvement de soutien à la grève des mineurs de 1963.
Sur le plan du Parti et de la CGT, des communes ont pris contact avec des puits de mine pour organiser la solidarité envers les grévistes. La Ville de Châtillon s'est « jumelé » avec le Blanzy (Saône-et-Loire). Pendant « une bonne semaine », la ville a accueilli une quinzaine de mineurs du p ... [Voir la suite]
Résumé
Document amateur réalisé par Robert Laudereau lors du mouvement de soutien à la grève des mineurs de 1963.
Sur le plan du Parti et de la CGT, des communes ont pris contact avec des puits de mine pour organiser la solidarité envers les grévistes. La Ville de Châtillon s'est « jumelé » avec le Blanzy (Saône-et-Loire). Pendant « une bonne semaine », la ville a accueilli une quinzaine de mineurs du puits de Blanzy. Ils sont venus récolter les dons (surtout financiers) encouragés par la Ville. Mobilisation intense pour la collecte auprès des gens dans les quartiers. Dans le film, on voit à plusieurs reprises le maire, Lucien Bailleux, et certains de ses adjoints.
Grande banderole sur le fronton de la mairie : "Bienvenue aux mineurs qui collecteront dans notre ville. Réservez-leur un bon accueil."
Dans la deuxième partie de ce document, on voit aussi l'accueil d'enfants de mineurs du Blanzy, avec leurs valises, venus partager une colonie de vacances de la Ville de Châtillon.
Une projection de ce film fut organisée à la mairie de Châtillon pour commémorer le passage des mineurs et remercier les militants pour leurs efforts déployés.
Le film montre successivement:
- L'accueil d'une délégation des mineurs de Blanzy à Châtillon-sous-Bagneux (banderole de soutien sur le fronton de la mairie, affiches annonçant le parrainage et la collecte de dons pour soutenir l'action des mineurs, arrivée du groupe de mineurs dans la rue, souriant et en tenue de mineurs);
- L'accueil officiel à la mairie et la préparation de la collecte : discours du maire Lucien Bailleux, et des mineurs devant une assemblée attentive, délimitation des lieux de collecte à partir d'une carte et distribution des tracts d'information à diffuser ;
- Différents discours du maire, d'autres élus et des mineurs sur des estrades dans la rue en divers lieux, devant une usine où le public (ouvriers, employés et passants) écoute, s'informe et acquiesce (panneaux d'information sur les voitures et sur les murs);
- La collecte par les mineurs dans les rues commerçantes de Châtillon-sous-Bagneux (divers plans de dames et d'enfants donnant de l'argent aux mineurs, banderoles sur les murs et les camions) ;
- La pose pour une photographie de groupe et le départ des mineurs (embrassades) ;
- Vue générale sur une ville (Blanzy ou Montceau-les-Mines ?, plan éloigné sur un élément d'un puits des mines) et festivités officielles (le maire ? qui avance dans un couloir, pose de la fanfare et de personnalités pour une photographie, danses folkloriques russes sur une scène);
- La colonie de vacances pour les enfants de mineurs : enfants souriants descendant d'un bus de Montceau-les-Mines avec leurs valises pour entrer dans un bâtiment de Châtillon-sous-Bagneux ?, défilé des mineurs et d'une fanfare de jeunes en uniforme à Monceau-les-Mines ?.
Lieux et monuments: Châtillon-sous-Bagneux (mairie, rues) (Hauts-de-Seine, 92, Ile-de-France), Blanzy ou Montceau-les-Mines ? (Saône-et-Loire, 71, Bourgogne)
Personnalités: Lucien Bailleux (maire de Châtillon)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Bailleux Lucien - Banlieues rouges, « communisme municipal » - Châtillon (92) - Colonie de vacances - Confédération Générale du Travail - Discours - Grève - Mine de charbon - Parti Communiste Français - Saône-et-Loire (71)
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1968-887-GrevesMai68-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>14431080https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/887 - GREVES EN MAI 68/CineA-1968-887-GrevesMai68-1_1-4.png/CineA-1968-887-GrevesMai68-1_1
Résumé
Ce document relate les grèves et les importantes manifestations unitaires de mai 1968 à Lille et à Roubaix. Outre deux manifestations de grande ampleur, Pierre Charret filme des occupations d'usines, des prises de paroles, et diverses actions militantes (distribution de tracts, pétitions, vente militante du journal communiste Liberté).
La première séquence concerne la manifestation du 11 mai à Li ... [Voir la suite]
Résumé
Ce document relate les grèves et les importantes manifestations unitaires de mai 1968 à Lille et à Roubaix. Outre deux manifestations de grande ampleur, Pierre Charret filme des occupations d'usines, des prises de paroles, et diverses actions militantes (distribution de tracts, pétitions, vente militante du journal communiste Liberté).
La première séquence concerne la manifestation du 11 mai à Lille :
Plan face, en tête de cortège défile une large banderole : "Comité d'action pour l'emploi, contre le chômage, pour la défense et la promotion de l'emploi, pour la garantie des ressources".
Plan large en légère plongée de ¾ des manifestants, on distingue plusieurs élus ceints de leur écharpe tricolore, ensuite filmés en plan serré.
Sont présents: Léon Lesschave (UD CGT), Arthur Ramette (député PCF), Arthur Musmeaux (député PCF), Henri Fievez, Gustave Ansart, Jacques Estager, Arthur Brabant, Lily Lefebvre-Musmeaux.
Les banderoles témoignent de la grande diversité des manifestants : CGT, CFDT, Jeunesse Socialiste, UNEF, JOC, UFF, FSM, … Plan de la manifestation dans une rue commerçante, en arrière plan le beffroi de la Chambre de Commerce.
Banc-titre sur le journal communiste Liberté, qui annonce "Ils étaient 50 000 manifestants à Lille" et "Grève générale de 24h".
Plan d'un tract collé sur un mur : "CGT/FEN contre les les violences policières, en solidarité avec les étudiants pour les libertés syndicales. Tous, ce lundi 13 mai, manifestez à 15h place des Martyres".
C'est ensuite la manifestation du 13 mai 1968 à Roubaix. Le cinéaste filme la foule et les orateurs. Le cortège se rassemble sur la Place des Martyrs. Plans sur un jeune orateur qui s'exprime avec un microphone, en arrière plan une pancarte : "Les jeunes revendiquent leurs droits, 5eme semaine de congés payés." Panoramique sur l'assistance nombreuse.
Le journal Liberté titre "La grève : un coup très dur pour le pouvoir".
La séquence suivante traite des occupations d'usines. Un délégué lit un communiqué à la foule des ouvriers devant une usine en grève. Son intervention est applaudie ; on procède ensuite au vote à main levée. Les grévistes occupent l'usine CIMA. Un graffiti a été tracé sur le mur : "Action + Unité = Efficacité". Plans sur d'autre usines en grève. Cette séquence insiste sur l'unité syndicale, à l'instar de cette pancarte : "CGT, CFTD, FO, ouvriers, ouvrières, tous unis dans la lutte. SAGAM Arthur-Martin".
Des infirmières distribuent des tracts et font tourner une pétition. Les vendeurs du journal Liberté sont filmés en pleine action dans différents lieux.
La foule est rassemblée devant la Bourse du Travail et écoute le discours d'un délégué syndical; on distingue un petit groupe d'infirmières. On voit ensuite des images d'une autre manifestation (parisienne?), qui compte notamment des enseignants et des membres de l'ORTF. Cette dernière séquence est encadrée par deux extraits de programmes télévisés : le premier montre l'intervention de Waldeck Rochet à l'Assemblée Nationale, et le second des négociations des accords de Grenelle au Ministère des Affaires Sociales.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
1968 Mai 68 - Ansart Gustave - Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Grève - Liberté (journal) - Lille (59) - Manifestation - Militantisme - Usine (bâtiment)
Ce film amateur relate une journée de mobilisation en faveur des salariées de la haute-couture en grève chez Carven.
Un mouvement de grève d’occupation s’était déclenché chez Carven à la fin du mois d’octobre 1975. Prévenu dès le premier jour par une « copine du 14e », chef d’équipe chez Carven, la section PCF du 8e, qui jouxtait les locaux de cette maison de haute-couture, avait pris pied très tô ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur relate une journée de mobilisation en faveur des salariées de la haute-couture en grève chez Carven.
Un mouvement de grève d’occupation s’était déclenché chez Carven à la fin du mois d’octobre 1975. Prévenu dès le premier jour par une « copine du 14e », chef d’équipe chez Carven, la section PCF du 8e, qui jouxtait les locaux de cette maison de haute-couture, avait pris pied très tôt dans la lutte des midinettes.
Ce film retrace une action de lutte marquante durant la grève que fut l’organisation d’une « Sainte-Catherine de lutte » le 25 novembre, environ un mois après le déclenchement de la grève.
Clin d’œil à une profession essentiellement féminine, cette Sainte-Catherine de lutte devait servir de prétexte pour faire événement et élargir le mouvement autour de la grève des salariées de Carven.
Un rassemblement était prévu au Pont de l’Alma, qui fut suivi d’une manifestation et d’une distribution de tracts dans les rues, et en particulier devant chaque maison de haute-couture dans le secteur de l’avenue Montaigne (toutes les maisons de la haute-couture s’y trouvaient, sauf Nina Ricci qui était dans le 2e). Une prise de parole à bord d’une péniche et un récital de Georges Moustaki clôturèrent le programme.
Ce film amateur suit le déroulement de cette journée, fortement soutenue, comme toute la lutte, par la section du PCF du 8ème arrondissement. Il a été réalisé de sa propre initiative par René Bailly, militant communiste qui travaillait aux PTT du 8e, et ensuite montré dans la section du 8e.
Note : La section du 8e arrondissement de Paris avait alors pour secrétaire Michel Turoman, né en 1940 et a adhérant au PCF depuis 1963. Il est devenu secrétaire de la section du 8e en 1975, après avoir été celui de la section de Montparnasse dans le 14e (il a ensuite été secrétaire de la section du 19e). A l’époque, selon lui, le 8e comptait 200 000 personnes qui s’y rendaient chaque matin pour travailler. La section du 8e comptait alors entre 800 et 850 militants, deux cellules locales et surtout des cellules d’entreprises. Car, le 8e abritait alors les sièges de très grandes entreprises, comme EDF, le centre de tri Paris Saint-Lazare, la Poste, Shell, Péchinay, le Crédit coopératif, le Crédit du Nord… et aussi le secteur de la haute couture, principalement situé dans l’avenue Montaigne.
Selon Michel Turoman, le cortège de cette Sainte-Catherine de lutte comptait environ 150 personnes. La manifestation avait été annoncée dans la presse et beaucoup de journalistes l’avaient suivie. Selon lui, ce qui a caractérisé cette lutte des salariées de la haute-couture en 1975 c’était qu’il n’y avait en tout et pour tout qu’une seule communiste dans les maisons de haute couture de Paris. En revanche, elles avaient un syndicat CGT qui fonctionnait. Selon l’ancien secrétaire du 8e, l’initiative avait été laissée entièrement aux salariées grévistes, le PCF apportant son appui et tâchant de nourrir le mouvement de l’extérieur.
Note : Parmi les cellules d’entreprise du 8e arrondissement se trouvait la cellule du cinema. Les écharpes jaunes et vertes, aux couleurs de la Sainte-Catherine, portées par les grévistes avaient été confectionnées par la cellule du cinéma, qui s’était « spécialisée » dans la confection sérigraphique.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images
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Descripteurs
Couture - Manifestation - Paris (75) - Travail des femmes
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime comm ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film, signé « Les lendemains qui chantent », est l'œuvre collective d'un groupe de jeunes communistes partis en voyage en Hongrie avec les LVJ (Loisirs et Vacances pour la Jeunesse, créé en 1958). Françoise Roblin en faisait partie. Le film est structuré par les chapitres d'un livre sur la Hongrie et le commentaire off. Il met en avant certaines réalisations et lois édictées par le régime communiste hongrois.
Carton : "La Hongrie instantanés en chiffres".
Autres chapitres : "L'industrie pharmaceutique hongroise" ; "La loi sur la santé publique".
Budapest : visite de la ville ; vue du Danube.
Nouveau chapitre "Notre trésor le plus cher : l'enfant" ; "Allocation la mère au foyer ".
Départ en train pour Sagvariliget (banlieue de Budapest).
La progression du voyage est suivie sur carte de la Hongrie.
Kiskunfélegyhaza : visite de la ville, voyage en bus.
Szeged : visite de la ville, baignade dans une piscine en plein air, match de water polo.
Carton : Hongrie Balaton, Tihany.
Journée de farniente. Les jeunes se baignent dans le lac Balaton. Voyage en bateau sur le lac.
Vue de l'église de la presqu'île de Tihany.
Fête nationale et démonstration militaire sur le Danube : hélicoptères , bateaux. avions, parachutistes.
Dernière visite de la ville. Retour en train. Arrivée à Paris.
Dernière image sur "Muveszet es Otthon 1975" et un coucher de soleil.
Lieux : Hongrie : Budapest, Kiskunfélegyhaza, Szeged , Balaton, Tihany
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
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Résumé
Après Prague, Budapest, Berlin-est, Bucarest et Varsovie les années précédentes, Moscou accueille du 28 juillet au 11 aout 1957 la 6ème édition du Festival Mondial de la Jeunesse et des Étudiants pour la paix et l'amitié.
34 000 jeunes venus de 131 pays sont attendus, ce qui fait de cette 6ème édition l'une des plus grandes manifestations de l'après-guerre dans le bloc de l'Est .
Le choix d'organ ... [Voir la suite]
Résumé
Après Prague, Budapest, Berlin-est, Bucarest et Varsovie les années précédentes, Moscou accueille du 28 juillet au 11 aout 1957 la 6ème édition du Festival Mondial de la Jeunesse et des Étudiants pour la paix et l'amitié.
34 000 jeunes venus de 131 pays sont attendus, ce qui fait de cette 6ème édition l'une des plus grandes manifestations de l'après-guerre dans le bloc de l'Est .
Le choix d'organiser le festival à Moscou en 1957 n'est pas anodin, quatre ans après la mort de Staline, un an après le rapport Khrouchtchev et le début de la déstalinisation, un an également après la répression de l'insurrection de Budapest. Le festival est donc l'occasion pour l'URSS de diffuser une image d'ouverture.
Ce film amateur a été tourné par Francis Jégat, jeune employé en télécommunications. On y voit le défilé en costume traditionnel des participants dans le stade, ainsi que des vues touristiques de Moscou pendant le festival. Les images du défilé, tournées depuis la pelouse, à quelques mètres seulement des délégations à l'écran, sont particulièrement remarquables.
Ci-dessous un extrait du témoignage de Francis Jégat, en janvier 2014 :
"J'ai eu la chance, après une préparation, de pouvoir un jour de 1957 rejoindre en gare de Saint-Quentin une dizaine de camarades pour un voyage en train qui devait durer quatre jours jusqu'à Moscou, mais avec un accueil inoubliable sur tout le parcours. Après une nuit passée à Berlin-Est dans une école aménagée, nous avons traversé la Pologne avec des nombreux arrêts où les habitants prévenus de notre passage nous apportaient de la nourriture, des friandises, au son d'orchestres, souvent. Puis ce fut Varsovie encore couvert de ruines (...) enfin ce fut l'arrivée à Brest - frontière russe - accueil fraternel et moment d'émotion. Dans le train c'était une explosion de joie et de chants jusqu'à l'arrivée triomphale en gare de Moscou où une foule nous attendait.
La plupart des participants logèrent comme moi au Soloi Koloss, un grand hôtel près de l'exposition industrielle. Ma grande surprise fut de retrouver devant cette exposition l'immense groupe du kolkhozien et de la kolkhozienne que j'avais découvert enfant sur le pavillon soviétique de la Foire de Paris en 1937. Une organisation exceptionnelle accompagnait ce festival tant dans la restauration que dans les spectacles et rencontres internationales.
(...) Le plus grand moment fut celui de l'inauguration au stade Lénine : une tribune avec des chefs d'Etats et représentants du monde entier et un lâcher de centaines de pigeons avant le discours d'ouverture prononcé par le Mal Vorochilov "je vous salue, jeunes citoyens du monde, etc" (et) le défilé fraternel en costume des représentants de toutes les républiques. "
Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
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1922-1991 URSS - Festival - Fédération Mondiale de la Jeunesse Démocratique - Moscou (ville) - Pacifisme - Regards sur l'URSS et les pays de l'Est - Tourisme (activité)
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1973-1016-Inauguration-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>640452https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1016 - INAUGURATION DE LA MAISON DU PARTI/CineA-1973-1016-Inauguration-1.png/CineA-1973-1016-Inauguration-1_1
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Inauguration de la maison du parti de Manosque en juin 1973 en présence de Jacques Duclos et des responsables de la fédération du PCF des Basses-Alpes (aujourd'hui Alpes de Haute Provence). Jacques Duclos dédicace des livres et prononce un discours.
Personnalités membres du comité fédéral du PCF :
Joseph Casa, secrétaire de la section Manosque/Sainte-Tulle
Pierre Girardot, maire de Sainte Tulle, ... [Voir la suite]
Résumé
Inauguration de la maison du parti de Manosque en juin 1973 en présence de Jacques Duclos et des responsables de la fédération du PCF des Basses-Alpes (aujourd'hui Alpes de Haute Provence). Jacques Duclos dédicace des livres et prononce un discours.
Personnalités membres du comité fédéral du PCF :
Joseph Casa, secrétaire de la section Manosque/Sainte-Tulle
Pierre Girardot, maire de Sainte Tulle, conseiller général du canton de Manosque, ancien député communiste des Basses Alpes
Robert Demanet, membre du secrétariat de section de Manosque/Sainte Tulle;
Raymond Philippe, secrétaire fédéral du PCF, maire des Mées et conseiller général.
Janine De Geeter, membre du secrétariat de section Manosque/Sainte Tulle.
Maurice Richaud, secrétaire général de l'Union Départementale CGT des Basses Alpes.
En 2013, Marie-George Buffet sera invitée à fêter les 40 ans de la maison du parti. Un film aurait été fait à l'occasion.
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Ce film a été réalisé par Daniel Ropars, cinéaste non professionnel, en 2011, à partir du matériau 16mm qu'il avait tourné pendant la mobilisation contre la fermeture des aciéries de Longwy en 1979.
A Longwy, Usinor licencie près de 60% de ses effectifs. Les sidérurgistes lorrains manifestent pour le maintien de l'activité, et vont à la rencontre de leurs camarades d'Usinor Denain, dans le Nord. P ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film a été réalisé par Daniel Ropars, cinéaste non professionnel, en 2011, à partir du matériau 16mm qu'il avait tourné pendant la mobilisation contre la fermeture des aciéries de Longwy en 1979.
A Longwy, Usinor licencie près de 60% de ses effectifs. Les sidérurgistes lorrains manifestent pour le maintien de l'activité, et vont à la rencontre de leurs camarades d'Usinor Denain, dans le Nord. Parmi les élus communistes à l'image, on reconnaît Antoine Porcu, Gustave Ansart, Georges Hage, Henri Fiévez (maire de Denain) et Alain Bocquet. Le film montre également des images de la grande marche des sidérurgistes lorrains à Paris le 23 mars 1979 et donne une idée de la violence des affrontements (et de la répression policière de cette journée).
Par rapport aux rushes, également déposés à Ciné-Archives, le montage offre plusieurs ajouts : une introduction mettant en scène le réalisateur et sa compagne, une bande-son mêlant musique et prises de paroles enregistrées à l'époque et enfin des intertitres identifiant les séquences.
La bande-son permet d'entendre le témoignage de plusieurs sidérurgistes en lutte, ainsi que le discours du député communiste de Meurthe-et-Moselle Antoine Porcu. Elle donne également un aperçu de l'ambiance sonore de la marche du 23 mars 1979 à Paris.
La sidérurgie française est en crise depuis le milieu des années 1960 ; plus d'une vingtaine de hauts fourneaux ont fermé entre 1971 et 1975 et les suppressions d'emplois se comptent par dizaines de milliers. En 1979, le gouvernement Barre propose un plan de « sauvetage de la sidérurgie française » aux lourdes conséquences sociales :plus de 22 000 emplois sont voués à disparaître dans les bassins industriels de Longwy, Valenciennes, Denain... Le plan condamne les sites historiques de Longwy, comme l’usine de la Chiers qui passe, en 1976, de 5 hauts fourneaux et 3 600 salariés à 140 emplois en 1980.
"Ces spectaculaires suppressions d’emploi s’inscrivent également dans le plan Davignon qui, pensé à Bruxelles pour l’Europe de la CEE, prévoit la restructuration de la sidérurgie à l’échelle du continent – au détriment de la France et au relatif bénéfice de l’Allemagne occidentale (RFA).
(...) La CGT lance alors l’idée d’une « marche » sur Paris, le 23 mars 1979. Elle reçoit l’appui du PCF, du PS et du PSU, des enseignants de la FEN et de la JOC. « La marche pour la vie », comme la nomme Henri Krasucki, alors secrétaire confédéral, est méthodiquement et rigoureusement préparée par la confédération qui finance pour l’occasion une radio « pirate», Radio Lorraine Cœur d’Acier, radio qui connaîtra un grand succès (et une fin douloureuse). (...) La confédération dirigée par Georges Séguy souhaite également – ce sera un point de désaccord avec la CFDT – que cette mobilisation soit non seulement celle de tous les sidérurgistes mais aussi celles des populations concernées et des travailleurs de la région parisienne, aussi touchés par des plans de licenciements. 15 000 affiches sont accolées en région parisienne à cet effet et 1,2 millions de tracts distribués. 130 cars quittent la Lorraine et cinq trains spéciaux le Nord-Pas-de-Calais pour participer à la Marche. Près d’un millier de cars en tout va se diriger vers Paris et sa région. La région du Nord va même manquer de bus pour acheminer tous les manifestants. Environ 80 000 personnes vont ainsi affluer d’une large moitié de la France, accueillies par au moins autant de Parisiens. L’aspect « marche » de cette manifestation – qui s’inspire des « marches de la faim » organisées par la CGTU et le parti communiste au début des années trente - détermine l’organisation de la démonstration."
Les citations proviennent de l'article de Tangui Perron, "23 mars 1979 : grande Marche et basses manœuvres, 20 000 sidérurgistes au rebut" L'Humanité dimanche n°154, semaine du 26 mars au 1er avril 2009.
Générique :
Réalisation et montage : Daniel Ropars
Son : Robert Boarts et Stéphane Le Masson
Musique : Kroazhent
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
Confédération Française Démocratique du Travail - Meurthe-et-Moselle (54) - Paris (75)