video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1976-1028-AProposImage-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>500353https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1028 - A PROPOS D UNE IMAGE COLLECTIVE/CineA-1976-1028-AProposImage-2.png/CineA-1976-1028-AProposImage-1_1
Résumé
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
Le commentaire rappelle en off ... [Voir la suite]
Résumé
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
Le commentaire rappelle en off certaines œuvres crées précédemment par Ernest Pignon-Ernest. Il s'agissait à chaque fois d'affiches sérigraphiées représentant des corps humains grandeur nature, placardées dans les rues des villes de France. Tour d'horizon des différentes déclinaisons de cette œuvre : la Commune de Paris, les accidents du travail, les immigrés, Maiakovski, l'Apartheid...
En 1976, la Maison de la culture de Grenoble invite Ernest Pignon-Ernest à animer pendant quinze jours un atelier. "L’atelier comprend l'apprentissage de la sérigraphie et une réflexion collective sur la production d'une image, de sa conception à sa diffusion." précise le commentaire.
Grenoble est une ville profondément industrielle, comme en témoignent les images du début et leurs cheminées d'usines crachant de la fumée. Ce n'est donc pas par hasard si le thème retenu par les participants au stage, qui travaillent dans ces mêmes usines, est les nuisances liées au travail (bruit, accidents, cadences...) L'affiche produite à l'issue de l'atelier montrera donc un homme dont le corps subit plusieurs altérations (organes atrophiés, tête éclatée par le bruit, chronomètres mitrailleurs).
Le film montre la fabrication de l'écran de sérigraphie puis l'impression des affiches, tandis qu'une longue séquence finale, au son de chansons revendicatives, montre ces affiches placardées sur les murs et sur les grilles des sites industriels de la ville - façon de rendre visible à l'extérieur la souffrance qui se cache dans ces lieux. "Les affiches réalisées avaient été placardées durant la nuit sur les murs de plusieurs usines de Grenoble, Echirolles, Pont de Claix. Elles n'y sont d'ailleurs pas restées longtemps." (courrier de J-F.Rajau, décembre 2015)
Ce film amateur a été réalisé collectivement par les travailleurs CGT participant au stage. Les prises de vue et le montage ont été effectués par Jean-François Rajau, qui a coordonné le film avec Marie-Madeleine Rajau (alors militante CGT chez Renault-Grenoble).
Mots clés : éducation populaire, sérigraphie, souffrance au travail, accidents du travail
Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
Affiche - Condition de travail - Dessin (art) - Grenoble (38) - Métier artistique - Thésaurus - Usine (bâtiment)
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Résumé
Rencontre avec Paul Durot (1892-1966), conseiller général et maire de Seclin de 1929 à 1935 et de 1945 à sa mort en 1966. Ouvrier textile, puis coiffeur ; militant socialiste, puis communiste. Pierre et Lucienne Charret font une visite dans Seclin : l'hôtel de ville, des immeubles en construction, la résidence pour personnes âgées Ambroise Croizat située sur un ancien béguinage. La dernière séquen ... [Voir la suite]
Résumé
Rencontre avec Paul Durot (1892-1966), conseiller général et maire de Seclin de 1929 à 1935 et de 1945 à sa mort en 1966. Ouvrier textile, puis coiffeur ; militant socialiste, puis communiste. Pierre et Lucienne Charret font une visite dans Seclin : l'hôtel de ville, des immeubles en construction, la résidence pour personnes âgées Ambroise Croizat située sur un ancien béguinage. La dernière séquence est tournée en intérieur chez un couple âgé.
Lieux : Seclin (59)
Personnes : DUROT Paul
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Archipop [Réduire]
Descripteurs
Enfant - Nord (59) - Urbanisme et paysage - École primaire
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Résumé
Ce film montre le quartier de Belleville à Paris alors que de grandes opérations de réaménagement urbain ont tout juste commencé. Léon Buch, militant communiste, filme la mobilisation menée sur sa section du 19e arrondissement et le comité de défense de l'Îlot 7.
Après quelques images en couleurs des monuments de la capitale, les plans en noir en blanc s'attachent à décrire la mobilisation locale ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film montre le quartier de Belleville à Paris alors que de grandes opérations de réaménagement urbain ont tout juste commencé. Léon Buch, militant communiste, filme la mobilisation menée sur sa section du 19e arrondissement et le comité de défense de l'Îlot 7.
Après quelques images en couleurs des monuments de la capitale, les plans en noir en blanc s'attachent à décrire la mobilisation locale pour réclamer la construction de logements sociaux à Belleville et le relogement des habitants dans le quartier. Des affiches, des banderoles, des inscriptions peintes sur les murs exposent ces revendications. Rue de Belleville, a lieu un rassemblement organisé par le comité de défense de l'îlot n°7 ; les participants signent une pétition à l'emplacement de l'ancien cinéma Pathé (25 rue de Belleville).
De nombreux plans présentent les rues insalubres du quartier de Belleville : façades en piteux état, habitations vétustes, cours délabrées. On note aussi des terrains vagues, consécutifs à la destruction de certains immeubles.
Un tract édité par la section du 19e arrondissement de la Fédération national des locataires indique « 5000 logements peuvent être construits tout de suite » et dresse la liste de tous les terrains vides.
Une manifestation réclame des « HLM sur les terrains libres ». Les manifestants, partis de la rue de Belleville, défilent sur le boulevard de la Villette puis sur la rue d'Aubervilliers jusqu'à l'ancienne usine à Gaz de la Villette (où seront construits 1789 logements par la suite).
André Sibaud et Jean Portejoie, conseiller municipal PCF du 19eme arrondissement, participent au rassemblement.
Une dernière séquence, en couleurs, donne à voir une distribution de tracts sur un marché (peut-être celui de Joinville) et dans les rues du 19e arrondissement. Sur les voitures des militants sont collées des affiches « votez François Mitterrand ».
Dès le début des années 1950, une grande opération de réaménagement urbain est lancée par la ville de Paris dans le quartier de Belleville et plus largement dans tout le 19e arrondissement : il s'agit d'éradiquer les îlots d'habitation insalubres. Certaines zones d'habitation sont alors complètement détruites pour y ériger de nouvelles constructions, qui sont le plus souvent des immeubles d'habitation collective.
Jusque dans les années 1990, Belleville, et le 19e arrondissement, subissent d'énormes transformations, qui font l'objet de nombreuses critiques : le choix de démolir pour construire des tours et des barres d'immeubles ne fait pas l'unanimité. A partir de la fin des années 1970, la politique urbaine évolue sensiblement : aux destructions, on privilégie désormais la réhabilitation du parc immobilier ancien.
La fin du film fait allusion à la campagne présidentielle de novembre-décembre 1965. François Mitterrand se présente face au général de Gaulle comme le candidat unique de la gauche. Cette alliance électorale, qui rassemble le PCF et le Parti socialiste, est le premier pas d'un rapprochement politique qui culmine en 1972 avec l'élaboration d'un Programme commun. Battu au deuxième tour par le général de Gaulle, François Mitterrand remporte néanmoins 45% des suffrages exprimés.
Léon Buch est un militant communiste du 19e arrondissement de Paris. Il dispose d'une caméra 8mm et enregistre quelques luttes temps forts de sa vie militante. Son film garde la trace du quartier de Belleville avant les grandes transformations urbaines : c’est le « Vieux Belleville » ouvrier, érigé au XIXe siècle, qui apparaît à l’image. Le film témoigne en outre de la mobilisation du PCF pour donner une orientation plus sociale aux rénovations du quartier.
Lieux : Paris, 19e arrondissement, Belleville, boulevard de la Villette, rue d'Aubervilliers, rue de Belleville.
Mots clés : Paris, 19e arrondissement, Belleville, boulevard de la Villette, rue d'Aubervilliers, rue de Belleville - Urbanisme, réaménagement, aménagement, politique de la ville - Manifestant, pétition, manifestation, CNL 19e, militant, PCF, François Mitterrand, élection présidentiel, André Sibaud, Jean Portejoie.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
Campagne électorale - Militantisme - Paris (75) - Précarité - Urbanisme et paysage
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1980-ParisNiceEtL-260-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>766571https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/260 - PARIS-NICE ET LES TRAVAILLEURS D'ISSY, MARS 1980/Photos/CineA-1980-ParisNiceEtL-260-1.png/CineA-1980-ParisNiceEtL-260-1_1
Résumé
Un petit cortège de manifestants de l’entreprise Thomson-CSF s’invite sur le parcours et à l’arrivée de la course cycliste du « Paris-Nice »: plan rapproché sur une banderole « Prologue du 30ème Paris-Nice, le 6 mars 1980 à 14h à Issy-les-Moulineaux ».
Les éléments principaux sont :
- Vues diverses des manifestants se répartissant le long des barrières de sécurité, derrière lesquelles les premi ... [Voir la suite]
Résumé
Un petit cortège de manifestants de l’entreprise Thomson-CSF s’invite sur le parcours et à l’arrivée de la course cycliste du « Paris-Nice »: plan rapproché sur une banderole « Prologue du 30ème Paris-Nice, le 6 mars 1980 à 14h à Issy-les-Moulineaux ».
Les éléments principaux sont :
- Vues diverses des manifestants se répartissant le long des barrières de sécurité, derrière lesquelles les premiers coureurs cyclistes arrivent, de la circulation du cortège au milieu de la foule avec des pancartes et une caisse en carton « Thomson-CSF CGT-CFDT, ouverture de réelles négociations », une banderole « La métallurgie franco-belge, nous exigeons la garantie de l’emploi et du pouvoir d’achat ».
- Vues diverses des coureurs, des voitures des équipes, de l’arrivée de la course commentée par un monsieur au micro, de la distribution des prix et des maillots sur une petite estrade.
- Vues diverses de la logistique de cet évènement : voitures de police et policiers en service, présence des médias pour couvrir la course cycliste (équipements de radio et caméra de télévision).
Lieux: Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine, 92, Ile-de-France)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Compétition sportive - Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Cyclisme - Issy-les-Moulineaux (92) - Manifestation - Syndicat - Thomson
Ce film retrace deux événements liés à l'engagement en faveur de la paix : une commémoration de la Seconde guerre mondiale dans la région Lilloise en mai 1966, et la manifestation nationale pour la paix au Viet Nam du 19 juin 1966 à Paris, de la porte d'Orléans au stade de Châtillon.
La section PCF de Wasquehal est venue fleurir le monument au morts du Fort de Bondues en hommage aux soixante-huit ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film retrace deux événements liés à l'engagement en faveur de la paix : une commémoration de la Seconde guerre mondiale dans la région Lilloise en mai 1966, et la manifestation nationale pour la paix au Viet Nam du 19 juin 1966 à Paris, de la porte d'Orléans au stade de Châtillon.
La section PCF de Wasquehal est venue fleurir le monument au morts du Fort de Bondues en hommage aux soixante-huit résistants fusillés à cet endroit même par les nazis. , zoom sur monument et plan serré sur le nom des personnes. Plan sur la remise de gerbe et bouquet de fleurs.
Séquence Paris
plans à l'intérieur d'une auto sur les boulevards et avenues parisiens.
Le temps est ensoleillé.
Plan large en plongé du cortège des manifestants, la foule est très dense et les banderoles nombreuses, sur la première on peut lire "Conseil National du mouvement pour la paix", sur une suivante il est écrit "La femme est mère de tous les enfants du monde".
Plan moyen en plongé sur les manifestants et les banderoles de différentes régions avec les revendications variées :"Non à la force de frappe", "Non à la base de sous-marins de Brest", " Comité de la paix du Nord", "Pour le désarmement général et la Paix", …
Images en plan large (toujours en plongé) sur la longueur du défilé (focus à vérifier).
Plans rapproché (au niveau de la rue) : les manifestants arrivent dans les environs du stade, plan sur banderole "Adhésion au traité de Moscou . Plan face manifestants qui évitent la caméra de part et d'autre.
Images d'arrivée dans le stade, plan sur les tribunes, plans sur un groupe de personnes avec une banderole " Conseil de la paix du Nord".
Panoramique général sur les manifestants dans le stade.
Lieux : Lille, Paris, le stade de Châtillon
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Archipop [Réduire]
Descripteurs
1955-1975 Guerre du Vietnam - Châtillon (92) - Commémoration - Lille (59) - Pacifisme - Paris (75) - Thésaurus
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Résumé
Ce film amateur de Maurice Sebbah suit les obsèques de Maurice Thorez à Paris, le 16 juillet 1964.
Le film débute par la garde d'honneur du cercueil avec Jeannette Vermeersch, Waldeck Rochet, Benoît Frachon, Georges Marchais. Défilé de la foule et des porteurs de gerbes et de portraits de Maurice Thorez., puis viennent les membres du Comité central. On aperçoit Jacques Duclos et Benoît Frachon ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur de Maurice Sebbah suit les obsèques de Maurice Thorez à Paris, le 16 juillet 1964.
Le film débute par la garde d'honneur du cercueil avec Jeannette Vermeersch, Waldeck Rochet, Benoît Frachon, Georges Marchais. Défilé de la foule et des porteurs de gerbes et de portraits de Maurice Thorez., puis viennent les membres du Comité central. On aperçoit Jacques Duclos et Benoît Frachon et à l'arrivée au Père-Lachaise, Georges Marchais et Paul Laurent.
Lieux : Paris 11e (cimetière du Père-Lachaise), Paris 9e (Rue Châteaudun, siège du PCF)
Personnalités : Thorez Maurice (évoqué), Vermeersch Jeannette, Duclos Jacques, Rochet Waldeck, Franchon Benoît, Souslov Michel, Laurent Paul, Marchais Georges
Mots-clé : PCF, VO, Voix Ouvrière, organe de la CGT
Obsèques, funérailles, délégation, hommage, cortège
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
Duclos Jacques - Frachon Benoit - Funérailles - Hommage - Laurent Paul - Marchais Georges - Père-Lachaise (cimetière du) - Paris (75) - Rochet Waldeck - Souslov Michel - Thorez Maurice - Vermeersch Jeannette
Film sur la cellule du deuxième arrondissement de Paris des Quartiers Vivienne-Gaillon réalisé par l'un de ses membres : Raymond Bossot. Ce documentaire amateur, bien filmé, donne à voir quelques activités et temps forts du militantisme de la cellule entre 1954 et 1956. Il vise aussi à mettre en valeur le travail des militants sur le terrain à travers ses résultats concrets, et en particulier à tr ... [Voir la suite]
Résumé
Film sur la cellule du deuxième arrondissement de Paris des Quartiers Vivienne-Gaillon réalisé par l'un de ses membres : Raymond Bossot. Ce documentaire amateur, bien filmé, donne à voir quelques activités et temps forts du militantisme de la cellule entre 1954 et 1956. Il vise aussi à mettre en valeur le travail des militants sur le terrain à travers ses résultats concrets, et en particulier à travers la campagne électorale des Législatives de 1956 et les bons résultats obtenus par le PCF (25,9% des suffrages, 150 députés) et ceux de la cellule dans son secteur où sont élus Marcel Cachin et Jeannette Vermeersch.
Remise de cartes
Celle-ci se déroule dans la salle au 1er étage du café Capoulade, rue Dussoubs.
Les militants nombreux sont assis dans la salle et appelés à tout de rôle pour venir chercher leur carte. Cette remise est suivie par une projection du film : "La Terre Fleurira" d'Henri Aisner (1954), puis c'est "champagne, fête et bal". Une loterie a également lieu dans la soirée. Parmi les lots, des bijoux Burma (on est près de la place Vendôme) ; selon Bielka Mijoin, Burma en donnait quelques-uns spécialement pour la loterie. Gilles Ségal fait un numéro de mime (il était membre de la cellule), les Frères ennemis font aussi un sketch. Des lots de tissu sont mis aux enchères ("des copains tailleurs à qui il en restait sur les bras", selon Bielka, "C'est ce qui faisait rentrer de l'argent dans les caisses").
Réunion de la cellule
Cette réunion a lieu dans l'appartement des Mijoin, 18 rue Daunou.
Nombreux participants et discussion animée (mais muette)
CDH (Comité de diffusion de l'Humanité)
La vente de l'Humanité sur le territoire de la cellule. Les postes Huma - croisement rue Saint-Anne et rue des petits Champs. Gilles Ségal vend l'Humanité Dimanche (titre en Une : « 29 jours pour chasser la réaction du pouvoir »), Malvina en tournée rue Vivienne, rue de Richelieu, avenue de l'Opéra ; un autre CDH au porte à porte dans la rue Sainte-Anne (Une de l'Humanité dimanche : « Journée d'alerte à Constantine ». Monette et Bossot à leur poste.
Distribution de tracts & impression du journal de la cellule
A la bouche du métro Quatre Septembre, les militants distribuent un tract.
Plusieurs tracts et brochures distribuées par la cellule : « Avec les vieux de France » (discours de Jacques Duclos), "La situation économique de la France" (Maurice Thorez), "Femmes de France, nos difficultés et nos intérêts" (Marcel Servin)...
Impression du journal de la cellule « Le 4 septembre »- Rotative en marche. Présentation de plusieurs exemplaires du journal, dont un réclamant le cessez-le-feu en Algérie.
Une série de plans courts cadre les enseignes des gros employeurs du secteur de la cellule : RATP, la Bourse, le personnel des écoles, la Bibliothèque nationale, le crédit foncier...
Le film montre encore quelques tracts distribués (journée de vente-exposition du livre marxiste au Vel d'Hiv le 17/3/1956...) puis passe en revue les autres actions de propagande de la cellule : le porte à porte (une main glisse un tract sous un paillasson), le boîtage (dans les boîtes à lettres) et l'affichage.
Campagne électorale et meeting de quartier
Plans sur les affiches électorales pour les législatives de 1956 (Marcel Cachin conduit la liste du 2ème secteur)
Meeting électoral de quartier le 17 décembre 1955, à l'école de garçons du 6 rue de Louvois, en présence de Albert Ouzoulias et Justine Mayeu.
Une de l'Humanité au lendemain du scrutin du 2 janvier : « Éclatant succès communiste ». Jeannette Vermeesch et Marcel Cachin sont élus dans le 2ème secteur.
Fête de l'Humanité 1956
En couleur. gros plans sur les slogans des stands : « Vers une France socialiste », « Pour une politique de grandeur nationale », « Comme en 1936 l'unité entre communistes et socialistes », « Paix en Algérie », « Négociation en Algérie »,
Cartons : « Adhérez », « Faites comme lui ! » Un jeune homme remplit son bulletin d'adhésion. Gros plan sur une carte du PCF de 1957.
Carton : Fin.
Lieux et monuments : Paris 2ème arrondissement, quartiers Vivienne-Gaillon, rue Dussoubs, rue Vivienne, rue Richelieu, avenue de l'Opéra, rue Saint-Anne, place du quatre septembre, café Capoulade, école de la rue de Louvois, Vincennes.
Membres de la cellule, par ordre d'apparition : Les Brosset, Paulette Nouet, Marcelle Petiot (dite « Malvina »), Jacques Petiot (dit « Toto », son mari), Gaston Auguet (qui fait le discours), Jacques et Sarah Hauboin, Monette Petit, Roubéka, André et Adèle Mijoin (André était le secrétaire de la cellule), Henri Kornovski, Suzanne et Pierre Loï, Jean Rozin, Eddie Eczstein, Denise Martin, Ita Mijoin, la chanteuse...?, le mime Gilles Ségal, Les Frères Ennemis (n'étaient pas membres de la cellule), Fernand Constant, André Arnault...
Notes : Raymond Bossot n'était pas exactement un amateur puisqu'il était photographe de profession.
Ce film a été déposé à Ciné-Archives par Bielka Mijoin, dont le père, la mère et la sœur étaient membres de la cellule. Son père, André Mijoin, en était alors le secrétaire.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
1954-1962 Guerre d'Algérie - Comité de diffusion de l'Humanité - Duclos Jacques - Guyot Raymond - L'Humanité (journal) - L'Humanité Dimanche (magazine) - Militantisme - Thorez Maurice - Thésaurus - Vermeersch Jeannette
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-2003-1089-MumiaCitoyen-1-1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>768576https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1089 - MUMIA CITOYEN VILLE DE PARIS/CineA-2003-1089-MumiaCitoyen-1-2h.jpg/CineA-2003-1089-MumiaCitoyen-1-1
Résumé
Dans le salon d’honneur de l'hôtel de ville de Paris, Angela Davis reçoit des mains de Bertrand Delanoë, maire de Paris, le diplôme et la médaille de citoyen d’honneur de la ville de Paris décerné à Mumia Abu Jamal.
Bertrand Delanoë exprime son émotion de recevoir Angela Davis et de décerner cette médaille à Mumia Abu-Jamal. Angela Davis, en français, rappelle le combat des français et françaises ... [Voir la suite]
Résumé
Dans le salon d’honneur de l'hôtel de ville de Paris, Angela Davis reçoit des mains de Bertrand Delanoë, maire de Paris, le diplôme et la médaille de citoyen d’honneur de la ville de Paris décerné à Mumia Abu Jamal.
Bertrand Delanoë exprime son émotion de recevoir Angela Davis et de décerner cette médaille à Mumia Abu-Jamal. Angela Davis, en français, rappelle le combat des français et françaises qui a permis sa libération il y a 30 ans et appelle à amplifier le combat pour Mumia Abu Jamal, dont elle fait entendre un enregistrement. Le film se clôt sur l'interview par Elisabeth Maugars de Nicole Borvo, à l’initiative avec le groupe des élus communistes de la ville de Paris de cette reconnaissance.
Mumia Abu-Jamal, est un militant afro-américain né en 1954, condamné à mort en 1982 pour le meurtre d’un policier. Après 30 ans dans le couloir de la mort à clamer son innocence, il est devenu un des symboles de la lutte contre la peine capitale aux États-Unis. Sa peine a été commuée en prison à perpétuité en 2011. Le combat en faveur de Mumia Abu-Jamal a été largement relayé par le journal L'Humanité. Dominique et Elisabeth Maugars font partie du comité "Sauvons Mumia" d'Indre-et-Loire.
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
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Résumé
Ce document est un bout-à-bout de plusieurs films tournés par Dominique Maugars à Tours, Saint-Pierre des Corps et Paris pendant le mouvement contre la réforme des retraites voulue par Nicolas Sarkozy, de juin à novembre 2010. Ce mouvement de très grande ampleur a rassemblé à travers la France plusieurs millions de salariés du public et du privé lors de 14 grandes journées d'action, afin de protes ... [Voir la suite]
Résumé
Ce document est un bout-à-bout de plusieurs films tournés par Dominique Maugars à Tours, Saint-Pierre des Corps et Paris pendant le mouvement contre la réforme des retraites voulue par Nicolas Sarkozy, de juin à novembre 2010. Ce mouvement de très grande ampleur a rassemblé à travers la France plusieurs millions de salariés du public et du privé lors de 14 grandes journées d'action, afin de protester contre le relèvement de 2 ans de l'âge légal de départ à la retraite. L'ensemble des syndicats de salariés français (CGT, CFDT, FO, CFTC, CGC, l'Unsa, Solidaires et la FS) s'oppose à cette réforme, ainsi que les syndicats lycéens et étudiants. Les manifestants entendent non seulement défendre le maintien de l'âge de la retraie à 60 ans, mais aussi l'augmentation des salaires et la sécurisation de l'emploi.
La première manifestation filmée par Dominique Maugars a lieu le 24 juin 2010, mais le cœur du mouvement se situe à l'automne 2010, à partir du 7 septembre.
Jean-Michel Bodin, conseiller régional communiste de la région Centre, commente la manifestation du 24 juin. Marie-France Beaufils, sénatrice communiste et maire de Saint-Pierre des Corps, explique que le système de retraites pourrait être financé, non par l'allongement de la durée de cotisation, mais par la taxation des revenus du capital et la suppression des niches fiscales.
Stéphane Deplobin, secrétaire de l'Union Départementale CGT 37, prononce un discours sur la place de l'Hôtel de ville à Tours. Marie-France Beaufils se charge de déposer au Sénat la pétition signée par les manifestants.
Les sujets tournés dans les cortèges sont entrecoupés par des bancs-titres sur des unes de l'Humanité, et des zooms sur des affiches ou slogans : "1% de salaires en +, c'est 2 milliards de cotisations en +", "exonération des cotisations patronales = 25 milliards en moins pour les retraites", "30 milliards de plus dans les caisses de retraite... si les revenus financiers cotisent au même taux que les salaires"
Le pic de la mobilisation est atteint le 12 octobre. Les jeunes, étudiants et lycéens, sont nombreux à avoir rejoint les rangs. Les syndicats revendiquent 3,5 millions de manifestants pour cette journée, dont 330 000 pour la manifestation parisienne.
Plusieurs séquences sont tournées au Technicentre de Saint-Pierre-des-Corps (ex-Cadoux), lors des AG pour la reconduction de la grève des cheminots.
Rassemblement devant le dépôt pétrolier de Saint-Pierre des Corps ; rassemblement en gare de Saint-Pierre des Corps.
"Sarko, Parisot, y en a marre de vos lois pour les riches" sur l'air du Chant des partisans.
Dominique et Elisabeth Maugars sont à Paris le 6 novembre pour une journée de double manifestation, contre la réforme des retraites et le démantèlement du service public, mais aussi pour le droit à l’avortement, en présence de Laurence Cohen, Marie-George Buffet et Pierre Laurent. On aperçoit Emmanuelle Becker, conseillère de Paris.
Manifestations et rassemblements filmés : 24 juin 2010, 7 septembre 2010, 29 septembre 2010, 2 octobre 2010, 12 octobre 2010, 13 octobre 2010, 14 octobre 2010, 15 octobre 2010, 16 octobre 2010, 18 octobre 2010, 20 octobre 2010, 21 octobre 2010, 22 octobre 2010, 25 octobre 2010, 27 octobre 2010, 28 octobre 2010, 6 novembre 2010, 23 novembre, 25 novembre 2010
Personnalités à l'image : Jean-Michel Bodin, Marie-France Beaufils, Marie-George Buffet, Laurence Cohen, Pierre Laurent, Stéphane Deplobin (CGT), Christophe Dubois (CGT), Didier Bochet (CGT),
Personnalités évoquées : Nicolas Sarkozy (président de la République), Laurence Parisot (présidente du MEDEF),
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
Buffet Marie-George - Cheminot - Confédération Générale du Travail - Conquêtes sociales (congés payés, retraites, pouvoir d'achat...) - Front de Gauche - Gare ferroviaire - Laurent Pierre - Manifestation - Paris (75) - Parti Communiste Français - SNCF - Saint-Pierre-des-Corps (37) - Thésaurus - Tours (37)
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Résumé
Ce film rend compte des préparatifs puis de la manifestation qui s'est déroulée à Paris le 26 novembre 1967 pour montrer le soutien de la jeunesse française au peuple vietnamien.
Toute une première partie concerne la préparation de la manifestation : à la sortie d'un lycée mixte, de jeunes militants distribuent des tracts et discutent avec les lycéens. Une séquence porte sur un groupe de jeunes f ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film rend compte des préparatifs puis de la manifestation qui s'est déroulée à Paris le 26 novembre 1967 pour montrer le soutien de la jeunesse française au peuple vietnamien.
Toute une première partie concerne la préparation de la manifestation : à la sortie d'un lycée mixte, de jeunes militants distribuent des tracts et discutent avec les lycéens. Une séquence porte sur un groupe de jeunes filles qui vendent des poupées vietnamiennes en faisant du porte à porte : l'une d'entre elles porte un costume vietnamien.
Différents plans relatent de nouveau des distributions de tracts à la sortie d'établissements scolaires. Les affiches annonçant la manifestation sont également visibles à l'image.
A l'approche de la manifestation, des cars sont affrétés. Les jeunes participants mangent ensemble dans un grand réfectoire.
Une brève séquence décrit les collectes de boites de conserve. Elles sont transformées en troncs destinés à des collectes en faveur du peuple vietnamien. L'argent réuni est ensuite compté dans des bassines.
La deuxième partie du film porte sur la manifestation en elle-même. Les cortèges se succèdent : les jeunes sont venus nombreux, de toute la France. Parfois accompagnés de fanfares ou de majorettes, ils représentent des villes, des régions ou des organisations de jeunes, telles que l'UEC, le mouvement de la jeunesse communiste, l'UJCF ou l'UJFF... Des délégations de jeunes Grecs et de jeunes Espagnols sont également présentes.
Certains manifestants sont habillés en costumes folkloriques ; des bergers landais avancent sur des échasses. D'autres portent l'habit ou le chapeau traditionnel vietnamien. Les banderoles sont nombreuses : elles dénoncent la politique menée par Johnson, affirment la solidarité avec le Vietnam d'Ho Chi Minh et réclament la paix. De nombreux drapeaux vietnamiens (et parfois français) ponctuent les rangs de la manifestation. Un bref plan montre Waldeck-Rochet et Georges Marchais.
A la suite des accords de Genève, en 1954, le Vietnam est divisé en deux états : au nord, s’établit un régime communiste sous l’égide de Ho Chi Minh. Il encourage alors la réunification vietnamienne par la création d’un front national pour la libération du Sud-Vietnam, le FNL (surnommé Viêt-Cong par ses adversaires). Par crainte d’une propagation du communisme, les Etats-Unis appuient le Sud-Vietnam et finissent par intervenir militairement à compter de 1965 : c’est le début de la guerre du Vietnam. Celle-ci oppose le Nord du Vietnam au Sud, soutenu par les Etats-Unis. Malgré d’importants moyens militaires, les Etats-Unis ne parviennent pas à rétablir la situation en faveur du Sud-Vietnam : ils s’enlisent dans un conflit qui est de plus en plus décrié par l’opinion publique. Au tournant des années 1970, la protestation contre la guerre du Vietnam s’avive, particulièrement parmi les jeunes Américains. Celle-ci prend une dimension mondiale : en France, la guerre du Vietnam est dénoncée pour alerter contre l’impérialisme américain.
La guerre du Vietnam s’achève sur un échec américain : à partir de 1973, les forces militaires se retirent et laissent face à face Sud et Nord-Vietnam. Le Nord procède alors à la réunification du pays.
A l’initiative du Mouvement de la jeunesse communiste, la manifestation du 26 novembre 1967 se déroule à Paris, de la place du colonel Fabien à la place de la République. Elle rassemble des jeunes venus de la France entière : selon l’Humanité du 27 novembre 1967, 70 000 manifestants se sont réunis (le quotidien indique que la radio en a annoncé 50 000). Les principaux représentants des organisations de jeunesse communistes (UJRF, UJFF, UJAF) sont présents, de même que les dirigeants du PCF, comme par exemple Waldeck-Rochet.
Un meeting se tient place de la République, en présence de François Hilsum, qui est secrétaire général de la Jeunesse communiste, et du représentant des Vietnamiens en France.
Pendant le mois qui a précédé la manifestation, les jeunes ont récolté de l’argent pour soutenir le peuple vietnamien. Le jour de la manifestation, l’Humanité annonce que des « millions (d’anciens francs) » ont été collectés à Paris et en banlieue.
Ce film a été tourné en amateur par Charles Sebbah. Né en 1930, il passe son enfance à Paris. Ouvrier chez Renault de 1944 à 1956, il entre au PCF en 1947. A partir de 1953, il s’installe à Pantin et y poursuit ses activités militantes tout en devenant conseiller municipal dès 1959.
Un autre film sur cette manifestation existe dans le catalogue de Ciné-Archives : "Ce Jour-là, 26 novembre 1967" réalisé par Marcel Trillat, Paul Seban et Jacques Krier.
Lieux : banlieue parisienne, Romainville, Paris, place du Colonel Fabien
Personnalités : Georges Marchais, Waldeck-Rochet
Mots clés :
Georges Marchais, Waldeck-Rochet, Romainville
Vietnam, guerre du Vietnam, manifestation, manifestant, banderole, défilé, fanfare, majorette, drapeau, tract, collecte, UEC, mouvement de la jeunesse communiste
Jeune, militant, jeunesse, lycéen, étudiant, collégien
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
1946-1954 Guerre d'Indochine - 1955-1975 Guerre du Vietnam - Militantisme - Mobilisation de solidarité internationale - Mouvement de jeunesse - Thésaurus