Film sur la cellule du deuxième arrondissement de Paris des Quartiers Vivienne-Gaillon réalisé par l'un de ses membres : Raymond Bossot. Ce documentaire amateur, bien filmé, donne à voir quelques activités et temps forts du militantisme de la cellule entre 1954 et 1956. Il vise aussi à mettre en valeur le travail des militants sur le terrain à travers ses résultats concrets, et en particulier à tr ... [Voir la suite]
Résumé
Film sur la cellule du deuxième arrondissement de Paris des Quartiers Vivienne-Gaillon réalisé par l'un de ses membres : Raymond Bossot. Ce documentaire amateur, bien filmé, donne à voir quelques activités et temps forts du militantisme de la cellule entre 1954 et 1956. Il vise aussi à mettre en valeur le travail des militants sur le terrain à travers ses résultats concrets, et en particulier à travers la campagne électorale des Législatives de 1956 et les bons résultats obtenus par le PCF (25,9% des suffrages, 150 députés) et ceux de la cellule dans son secteur où sont élus Marcel Cachin et Jeannette Vermeersch.
Remise de cartes
Celle-ci se déroule dans la salle au 1er étage du café Capoulade, rue Dussoubs.
Les militants nombreux sont assis dans la salle et appelés à tout de rôle pour venir chercher leur carte. Cette remise est suivie par une projection du film : "La Terre Fleurira" d'Henri Aisner (1954), puis c'est "champagne, fête et bal". Une loterie a également lieu dans la soirée. Parmi les lots, des bijoux Burma (on est près de la place Vendôme) ; selon Bielka Mijoin, Burma en donnait quelques-uns spécialement pour la loterie. Gilles Ségal fait un numéro de mime (il était membre de la cellule), les Frères ennemis font aussi un sketch. Des lots de tissu sont mis aux enchères ("des copains tailleurs à qui il en restait sur les bras", selon Bielka, "C'est ce qui faisait rentrer de l'argent dans les caisses").
Réunion de la cellule
Cette réunion a lieu dans l'appartement des Mijoin, 18 rue Daunou.
Nombreux participants et discussion animée (mais muette)
CDH (Comité de diffusion de l'Humanité)
La vente de l'Humanité sur le territoire de la cellule. Les postes Huma - croisement rue Saint-Anne et rue des petits Champs. Gilles Ségal vend l'Humanité Dimanche (titre en Une : « 29 jours pour chasser la réaction du pouvoir »), Malvina en tournée rue Vivienne, rue de Richelieu, avenue de l'Opéra ; un autre CDH au porte à porte dans la rue Sainte-Anne (Une de l'Humanité dimanche : « Journée d'alerte à Constantine ». Monette et Bossot à leur poste.
Distribution de tracts & impression du journal de la cellule
A la bouche du métro Quatre Septembre, les militants distribuent un tract.
Plusieurs tracts et brochures distribuées par la cellule : « Avec les vieux de France » (discours de Jacques Duclos), "La situation économique de la France" (Maurice Thorez), "Femmes de France, nos difficultés et nos intérêts" (Marcel Servin)...
Impression du journal de la cellule « Le 4 septembre »- Rotative en marche. Présentation de plusieurs exemplaires du journal, dont un réclamant le cessez-le-feu en Algérie.
Une série de plans courts cadre les enseignes des gros employeurs du secteur de la cellule : RATP, la Bourse, le personnel des écoles, la Bibliothèque nationale, le crédit foncier...
Le film montre encore quelques tracts distribués (journée de vente-exposition du livre marxiste au Vel d'Hiv le 17/3/1956...) puis passe en revue les autres actions de propagande de la cellule : le porte à porte (une main glisse un tract sous un paillasson), le boîtage (dans les boîtes à lettres) et l'affichage.
Campagne électorale et meeting de quartier
Plans sur les affiches électorales pour les législatives de 1956 (Marcel Cachin conduit la liste du 2ème secteur)
Meeting électoral de quartier le 17 décembre 1955, à l'école de garçons du 6 rue de Louvois, en présence de Albert Ouzoulias et Justine Mayeu.
Une de l'Humanité au lendemain du scrutin du 2 janvier : « Éclatant succès communiste ». Jeannette Vermeesch et Marcel Cachin sont élus dans le 2ème secteur.
Fête de l'Humanité 1956
En couleur. gros plans sur les slogans des stands : « Vers une France socialiste », « Pour une politique de grandeur nationale », « Comme en 1936 l'unité entre communistes et socialistes », « Paix en Algérie », « Négociation en Algérie »,
Cartons : « Adhérez », « Faites comme lui ! » Un jeune homme remplit son bulletin d'adhésion. Gros plan sur une carte du PCF de 1957.
Carton : Fin.
Lieux et monuments : Paris 2ème arrondissement, quartiers Vivienne-Gaillon, rue Dussoubs, rue Vivienne, rue Richelieu, avenue de l'Opéra, rue Saint-Anne, place du quatre septembre, café Capoulade, école de la rue de Louvois, Vincennes.
Membres de la cellule, par ordre d'apparition : Les Brosset, Paulette Nouet, Marcelle Petiot (dite « Malvina »), Jacques Petiot (dit « Toto », son mari), Gaston Auguet (qui fait le discours), Jacques et Sarah Hauboin, Monette Petit, Roubéka, André et Adèle Mijoin (André était le secrétaire de la cellule), Henri Kornovski, Suzanne et Pierre Loï, Jean Rozin, Eddie Eczstein, Denise Martin, Ita Mijoin, la chanteuse...?, le mime Gilles Ségal, Les Frères Ennemis (n'étaient pas membres de la cellule), Fernand Constant, André Arnault...
Notes : Raymond Bossot n'était pas exactement un amateur puisqu'il était photographe de profession.
Ce film a été déposé à Ciné-Archives par Bielka Mijoin, dont le père, la mère et la sœur étaient membres de la cellule. Son père, André Mijoin, en était alors le secrétaire.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
1954-1962 Guerre d'Algérie - Comité de diffusion de l'Humanité - Duclos Jacques - Guyot Raymond - L'Humanité (journal) - L'Humanité Dimanche (magazine) - Militantisme - Thorez Maurice - Thésaurus - Vermeersch Jeannette
Ce document amateur est très dégradé. Tournée par André Schmer, militant d'Ivry, il montre cependant certains aspects de la fête de l'Humanité en rapport avec l'actualité de 1952 :
Des portraits d'Henri Martin, un stand ("Libérez Henri Martin") et la présence de son père sur le stand, appellent à la mobilisation en faveur du marin emprisonné pour avoir diffusé des tracts contre la guerre française ... [Voir la suite]
Résumé
Ce document amateur est très dégradé. Tournée par André Schmer, militant d'Ivry, il montre cependant certains aspects de la fête de l'Humanité en rapport avec l'actualité de 1952 :
Des portraits d'Henri Martin, un stand ("Libérez Henri Martin") et la présence de son père sur le stand, appellent à la mobilisation en faveur du marin emprisonné pour avoir diffusé des tracts contre la guerre française en Indochine.
Des portraits de Maurice Thorez et des écriteaux ("Bientôt Maurice sera là", "Bonne santé Maurice") assurent la présence au sein de la fête du secrétaire général du PCF qui réside alors en URSS pour se faire soigner (suite à son attaque d'Hémiplégie survenue le 10 octobre 1950 ; Thorez rentrera en France le 10 avril 1953, après la mort de Staline).
Autres aperçus : Un portrait de Staline, Le stand d'Ivry, celui de l'Union des jeunes filles de France (UJRF), de l'Union des femmes françaises (UFF), Pif en peluche vendu sur un stand, le stand du journal Ce Soir ("Le seul journal du soir qui ne fait pas "chut"), le panneau de rue dédié à Ambroise Croizat (décédé le 11 février 1951), le stand de la Fédération des Métaux du XIème...
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
Ce soir (journal) - L'Humanité (fête de) - Martin Henri - Staline Joseph - Thorez Maurice - Union de la Jeunesse Républicaine de France - Union des Femmes Françaises
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1952-578-CongresPeupl-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>720576https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/578 - CONGRES DES PEUPLES POUR LA PAIX/CineA-1952-578-CongresPeupl-1_1-5.jpeg/CineA-1952-578-CongresPeupl-1_1
Résumé
Quelques images, filmées par Robert Laudereau, d'un congrès pour la paix organisé par le PCF en 1952, à un moment où la paix est « la question décisive de l'heure», selon les mots de Maurice Thorez. Au milieu des anonymes participant au rassemblement, on distingue trois figures de proue du mouvement de la paix : les acteurs et militants Simone Signoret et Gérard Philipe, ainsi que le scientifique ... [Voir la suite]
Résumé
Quelques images, filmées par Robert Laudereau, d'un congrès pour la paix organisé par le PCF en 1952, à un moment où la paix est « la question décisive de l'heure», selon les mots de Maurice Thorez. Au milieu des anonymes participant au rassemblement, on distingue trois figures de proue du mouvement de la paix : les acteurs et militants Simone Signoret et Gérard Philipe, ainsi que le scientifique Frédéric Joliot-Curie, président du Conseil mondial de la paix de 1949 à 1958.
Le film s'ouvre sur un plan de l'extérieur du Congrès, auquel succède un gros plan (un peu flou) sur un tableau représentant trois enfants de trois continents différents;
Plusieurs orateurs se succèdent à la tribune et sont applaudis par une salle comble. Au début du film, un plan rapproché montre quatre personnes discutant (à identifier ?), orateurs et organisateurs du Congrès. Parmi ces orateurs, une dame en manteau de fourrure apparaît à plusieurs reprises, semble présenter les intervenants et est honorée de nombreux bouquets de fleurs donnés tour à tour par un groupe de jeunes filles venu la remercier en public;
- Le public, assis ou debout, attentif, enthousiaste et souriant, fumant et discutant mais aussi quelques groupes d'hommes qui circulent dans la salle, sur les côtés ou sur la tribune centrale;
- Des artistes célèbres engagés : sur une des tribunes sont présents Simone Signoret et Gérard Philipe (00:01:21:00) qui saluent la salle et que le public applaudit chaleureusement en retour. D'autres artistes les entourent. Derrière ces tribunes, on distingue sur le mur des morceaux du dessin de la colombe pour la paix dessinée par Picasso. Présence possible de Claude Autant-Lara (00:00:09:00) Gabrielle Dorziat (00:00:17:00) et Madeleine Renaud (00:00:56:00)
Dans les dernières secondes du document, on aperçoit Frédéric Joliot-Curie.
Lieux: à préciser
Personnalités: [orateurs à préciser], Simone Signoret, Gérard Philipe, Frédéric Joliot-Curie
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1950-614-ChantierPont-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>768576https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/614 - CHANTIER DU PONT BARRAGE/CineA-1950-614-ChantierPont-1_1-5.jpeg/CineA-1950-614-ChantierPont-1_1
Résumé
Robert Laudereau fait un petit reportage sur deux opérations fluviales se déroulant sur une partie du Rhône, sur la commune de Donzère. Il montre successivement le difficile remorquage à contre-courant d'une péniche-conteneur professionnelle (le « Daim ») qui doit affronter une rivière bouillonnante et un très fort courant, puis l'important chantier de construction du pont-barrage et des bâtim ... [Voir la suite]
Résumé
Robert Laudereau fait un petit reportage sur deux opérations fluviales se déroulant sur une partie du Rhône, sur la commune de Donzère. Il montre successivement le difficile remorquage à contre-courant d'une péniche-conteneur professionnelle (le « Daim ») qui doit affronter une rivière bouillonnante et un très fort courant, puis l'important chantier de construction du pont-barrage et des bâtiments qui en dépendent.
a) Remorquage de la péniche professionnelle
Éléments principaux des plans filmés :
- Vue générale du pont-barrage tournée depuis la rive [note : les premières images sont très abîmées]: une dame est assise sur une rive et au loin on aperçoit le pont-barrage. Robert Laudereau montre la force de la rivière en filmant les très nombreux remous de l'eau au pied d'une tour du pont;
- Vue générale d' une péniche remontant la rivière à contre-courant, et plus loin d'un petit bateau à moteur qui semble entraîné par le courant assez fort;
- Gros plan sur un marinier de la péniche, casquette relevée, qui apparemment fait un commentaire sur cette opération un peu dangereuse. Un gros plan sur une bouée à contre-courant produisant de nombreux remous et beaucoup d'écume renforce l'inquiétude et la prudence à avoir pour réaliser ce remorquage;
- L'équipage de la péniche « Daim » (quatre hommes) s'active sur le pont de l'embarcation: l'un d'entre eux, seul, puis aidé par ses collègues essaye d'attraper un câble dans l'eau avec une longue perche pour y accrocher la péniche.
De l'autre côté du pont, un remorqueur tire la péniche et l'aide à passer sous le pont et à remonter le courant très puissant, à travers une eau bouillonnante.
b) Chantier de construction du barrage et des bâtiments alentours
Robert Laudereau rend compte d’une manière générale de l'importance de ce chantier en filmant plusieurs éléments différents de ce travail :
- Gros plan sur trois ouvriers qui s'activent sur une sorte d'échafaudage métallique. Non loin, une grue et un treuil aérien déplacent de volumineux éléments métalliques;
- Vue générale en plongée sur un vaste chantier, une zone aride et creusée où circule un camion, et la rivière au loin. Un plan court montre une étendu d'eau calme, sans doute le lac crée par le barrage;
- Vue générale du chantier de construction et de quelques activités séparées: des bâtiments et le barrage en cours de construction, des engins de chantier creusent la terre, ramassent du béton ? et chargent des camions, une pelleteuse sur chenille creuse et repousse de la terre sur le côté;
- Vue générale d’un homme discutant avec deux femmes sous le bras d'une grue. [Réduire]
Descripteurs
Barrage - Bouée - Drôme (26) - Marinier (conducteur de bateau) - Pont - Péniche - Rhône - Rivière - Transport maritime et fluvial
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1949-FestivalMond-300-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>760571https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/300 - FESTIVAL MONDIAL DE LA JEUNESSE A BUDAPEST, AOUT 1949/Photos/300-Festival_Mondial_Jeunesse-1.jpg/CineA-1949-FestivalMond-300-1_1
Résumé
Ce film amateur réalisé par Robert Laudereau, présente différentes vues du second festival mondial de la jeunesse à Budapest, en août 1949.
Avec ce film, le réalisateur entend témoigner du soin porté à l'organisation de ces rencontres entre jeunes du monde entier et de l'ambiance chaleureuse qui régna lors de cet événement.
Robert Laudereau n'était pas membre de la Jeunesse Communiste (J.C.). ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur réalisé par Robert Laudereau, présente différentes vues du second festival mondial de la jeunesse à Budapest, en août 1949.
Avec ce film, le réalisateur entend témoigner du soin porté à l'organisation de ces rencontres entre jeunes du monde entier et de l'ambiance chaleureuse qui régna lors de cet événement.
Robert Laudereau n'était pas membre de la Jeunesse Communiste (J.C.). Mais il travaillait alors à la Société Nationale d'Étude et de Construction de Moteurs d'Aviation (SNECMA) et est sans doute parti avec une délégation de jeunes de la SNECMA (on voit un jeune porter une banderole de la SNECMA dans un défilé).
Robert Laudereau dit avoir été marqué par l'ambiance chaleureuse, nourrie par les espoirs que les jeunes avaient. Le soin qui avait été porté à l'organisation de cet événement et les rencontres entre jeunes du monde entier lui ont laissé une impression durable. Il se souvient particulièrement avoir rencontré par hasard une espérantiste hongroise, qu'il avait reconnu à son étoile verte. Il garda contact avec elle jusqu'au décès de celle-ci.
Les festivals mondiaux de la jeunesse sont organisés par la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique (FMJD), une organisation de masse créée en 1945 avec pour but d'unir la jeunesse du monde entier contre le fascisme et pour la construction d'un monde pacifique. Comme les autres organisations de masse créées dans l'immédiat après-guerre, la FMJD se présentait comme un pôle de rassemblement pour une cause universelle (la paix) transcendant les appartenances politiques et idéologiques. Ces organisations de masse n'en furent pas moins des vecteurs stratégiques pour la propagande des régimes socialistes.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images. [Réduire]
Descripteurs
1947-1991 Guerre Froide - Fédération Mondiale de la Jeunesse Démocratique - Hongrie - Mouvement de jeunesse - Pacifisme - Société Nationale d'Étude et de Construction de Moteurs d'Aviation - Thésaurus
Film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont au camp national d'Eguzon en 1948.
L'union des vaillants et vaillantes fut créée à la Libération, en 1945, autour de l'hebdomadaire Vaillant. Devenue en 1970 "Les Pionniers de France", cette structure d'encadrement des loisirs de la jeunesse constitua l'alternative communiste au scoutisme.
Lieux de consultat ... [Voir la suite]
Résumé
Film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont au camp national d'Eguzon en 1948.
L'union des vaillants et vaillantes fut créée à la Libération, en 1945, autour de l'hebdomadaire Vaillant. Devenue en 1970 "Les Pionniers de France", cette structure d'encadrement des loisirs de la jeunesse constitua l'alternative communiste au scoutisme.
Lieux de consultation: Ciné-Archives, Archives départementales de Seine-Saint-Denis [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1951-VaillantsEtV-76-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>762572https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/76 - VAILLANTS ET VAILLANTES DE JOINVILLE LE PONT, FETE DE L'HUMANITE/Photos/76-Vaillants_Humanite-2.jpg/CineA-1951-VaillantsEtV-76-1_1
Résumé
Film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont entre 1950 et 1951.
La première séquence est filmée à la Fête de l’Humanité de Vincennes, sans doute celle du 3 septembre 1950 à Vincennes. La dernière séquence présente quelques activités de plein air dans un camp des vaillants et vaillantes en 1951.
A la fête de l’Humanité, plans de la scène centrale sur ... [Voir la suite]
Résumé
Film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont entre 1950 et 1951.
La première séquence est filmée à la Fête de l’Humanité de Vincennes, sans doute celle du 3 septembre 1950 à Vincennes. La dernière séquence présente quelques activités de plein air dans un camp des vaillants et vaillantes en 1951.
A la fête de l’Humanité, plans de la scène centrale sur laquelle est dressée une fresque dédiée à la lutte pour la paix (appel de Stockholm contre la bombe atomique). Maurice Thorez signe à la file indienne des exemplaires de sa biographie rééditée « Fils du peuple ». Plans de stands et des dirigeants du PCF (Gaston Monmousseau, Jacques Duclos, Léon Mauvais, Etienne Fajon…). Les vaillants et vaillantes participent au cross de la fête.
On les voit ensuite manger un casse-croûte dans l’herbe. Ces plans sont suivis de quelques plans touristiques de Paris (Trocadéro, Invalides…).
La séquence suivante est filmée devant le local de l’union des Vaillants et vaillantes. Inscription à la craie sur la porte du locale : « Equipe Henri Martin 1951 ». Un travelling latéral présente quelques-unes des recrues des vaillants de l’équipe Henri Martin.
Le film s’achève sur des images d’activités et de loisirs en plein air tournés dans un camp des Vaillants et vaillantes et par quelques plans rapprochés de jeunes et de responsables.
L'union des vaillants et vaillantes fut créée à la Libération, en 1945, autour de l'hebdomadaire Vaillant. Devenue en 1970 "Les Pionniers de France", cette structure d'encadrement des loisirs de la jeunesse constitua l'alternative communiste au scoutisme.
Lieux : Vincennes, Paris (Trocadéro, Invalides et Champ de Mars, Joinville-le-Pont ?)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives françaises du film, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
Bonte Florimond - Cross - Delaune Auguste - Duclos Jacques - Fajon Étienne - Fédération Sportive et Gymnique du Travail - Joinville-le-Pont (94) - L'Humanité (fête de) - Lecoeur Auguste - Martin Henri - Mauvais Léon - Monmousseau Gaston - Paris (75) - Thorez Maurice - Thésaurus
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1951-VaillantsEtV-92-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>759572https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/92 - VAILLANTS ET VAILLANTES DE JOINVILLE LE PONT, VOYAGE EN NORMANDIE ET FETE A JOINVILLE/Photos/92-Vaillants-1.jpg/CineA-1951-VaillantsEtV-92-1_1
Résumé
Ce film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont reste à dater précisément, mais il semble proche de l’immédiat après-guerre.
Il relate un voyage en Normandie. Le départ se fait de bonne heure (sous-exposition matinale) en voiture collective, plusieurs haltes en ville ou sur la bas-côté de la route. Passage par Vernon, Trouville (plusieurs plans du cas ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont reste à dater précisément, mais il semble proche de l’immédiat après-guerre.
Il relate un voyage en Normandie. Le départ se fait de bonne heure (sous-exposition matinale) en voiture collective, plusieurs haltes en ville ou sur la bas-côté de la route. Passage par Vernon, Trouville (plusieurs plans du casino municipal), à Cabourg (plan de groupe devant la borne de la ville). Le campement est établi en sous-bois. Baignade dans la mer et pique-nique.
Dans la seconde partie du film, les Vaillants et Vaillantes prennent part à une fête à Joinville-le-Pont. Plusieurs plans montrent l’immeuble qui abrite l’union des Vaillants et Vaillantes entièrement décoré et recouvert d’affiches et d’une Une géante du journal Vaillant.
Joute nautique sur la Seine. Rassemblement en ville. Discours du Maire (?), stands et défilé en ville. De nombreux intitulés (slogans et stands) font référence à la Résistance (Fabien – « Honneur à la Résistance »). Le patronage laïque de Joinville-le-Pont défile. De nombreux drapeaux dont les drapeaux soviétique, français, anglais et américain.
L'union des vaillants et vaillantes fut créée à la Libération, en 1945, autour de l'hebdomadaire Vaillant. Devenue en 1970 "Les Pionniers de France", cette structure d'encadrement des loisirs de la jeunesse constitua l'alternative communiste au scoutisme.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives françaises du film, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
Autocar - Fête - Joinville-le-Pont (94) - Mouvement de jeunesse - Normandie - Vaillants et Vaillantes - Voyage
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1951-VaillantsEtV-126-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>764574https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/126 - VAILLANTS ET VAILLANTES DE JOINVILLE, FORET DE FONTAINEBLEAU/Photos/126-Vaillants_Fontainebleau-2.jpg/CineA-1951-VaillantsEtV-126-1_1
Résumé
Ce film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont entre 1949 et 1951 comporte deux sujets : la participation des Vaillants et vaillantes de Joinville-le-Pont à un grand rassemblement pour la Paix et une excursion à Fontainebleau.
Rassemblement pour la Paix : La première séquence montre le regroupement des vaillants et vaillantes (Parents, enfants, adoles ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont entre 1949 et 1951 comporte deux sujets : la participation des Vaillants et vaillantes de Joinville-le-Pont à un grand rassemblement pour la Paix et une excursion à Fontainebleau.
Rassemblement pour la Paix : La première séquence montre le regroupement des vaillants et vaillantes (Parents, enfants, adolescents et responsables en habits du dimanche ou en uniforme de Vaillant) devant le local de l’union des Vaillants et Vaillantes. Beaucoup portent ou gonflent des ballons blancs. Plans rapprochés (à identifier).
Les slogans inscrits sur les pancartes défendent l’union soviétique : « Nous ne voulons pas que nos papas se fassent tuer dans une guerre d’agression contre ceux de nos amis les enfants soviétiques », « Plus d’argent pour faire tuer nos papas et pleurer nos mamans »…
Les Vaillants et vaillantes participent ensuite au défilé dans les rues qui rejoint un stade où est organisé un grand rassemblement pour la Paix. Présence d’autres organisations de masse du PCF : Secours populaire Français, Union des Femmes Françaises… Ballons blancs et pancarte à l’effigie de colombe parsèment le stade.
Ce rassemblement s’inscrit dans la lignée du Mouvement de la Paix, à l’initiative entre autres de l’appel de Stockholm contre la bombe atomique et favorable au camp soviétique pendant la guerre froide.
Le second sujet retrace une journée d’excursion des Vaillants et Vaillantes en forêt de Fontainebleau. L’excursion se fait en voitures collectives. Au programme : crapahutage parmi les rochers, pique-nique, jeux, plan de groupe et visite du château de Fontainebleau.
L'union des vaillants et vaillantes fut créée à la Libération, en 1945, autour de l'hebdomadaire Vaillant. Devenue en 1970 "Les Pionniers de France", cette structure d'encadrement des loisirs de la jeunesse constitua l'alternative communiste au scoutisme.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives françaises du film, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
Fontainebleau (77) - Forêt - Manifestation - Meeting - Mouvement de jeunesse - Pacifisme - Promenade - Vaillants et Vaillantes
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1951-VaillantsEtV-142-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>760571https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/142 - VAILLANTS ET VAILLANTES DE JOINVILLE, VACANCES DANS LE CANTAL, LE TARN, LE GARD, A MONACO/Photos/142-Vaillants-1.jpg/CineA-1951-VaillantsEtV-142-1_1
Résumé
Ce film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont au tournant des années quarante et cinquante rapporte des images de voyage dans le Cantal, le Tarn, le Gard et à Monaco.
Le film suit les pérégrinations en voiture collective et s’attarde sur les visages de certains vaillants et responsables, sur des infrastructures impressionnantes croisées au cours du pé ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film amateur tourné par les responsables des Vaillants et Vaillantes de Joinville-le-Pont au tournant des années quarante et cinquante rapporte des images de voyage dans le Cantal, le Tarn, le Gard et à Monaco.
Le film suit les pérégrinations en voiture collective et s’attarde sur les visages de certains vaillants et responsables, sur des infrastructures impressionnantes croisées au cours du périple (Barrage hydraulique, ponts, voirie à flanc de montagne…) et sur des vues touristiques, en particulier de Monaco (la ville, la mer, la frontière italienne)
L'union des vaillants et vaillantes fut créée à la Libération, en 1945, autour de l'hebdomadaire Vaillant. Devenue en 1970 "Les Pionniers de France", cette structure d'encadrement des loisirs de la jeunesse constitua l'alternative communiste au scoutisme.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives françaises du film, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]