Rushes tournés par Daniel Ropars pendant la mobilisation contre la fermeture des aciéries de Longwy, en 1979.
A Longwy, Usinor licencie près de 60% de ses effectifs. Les sidérurgistes lorrains manifestent pour le maintien de l'activité, et vont à la rencontre de leurs camarades d'Usinor Denain, dans le Nord. Parmi les élus communistes à l'image, on reconnaît Antoine Porcu, Gustave Ansart, Georges ... [Voir la suite]
Résumé
Rushes tournés par Daniel Ropars pendant la mobilisation contre la fermeture des aciéries de Longwy, en 1979.
A Longwy, Usinor licencie près de 60% de ses effectifs. Les sidérurgistes lorrains manifestent pour le maintien de l'activité, et vont à la rencontre de leurs camarades d'Usinor Denain, dans le Nord. Parmi les élus communistes à l'image, on reconnaît Antoine Porcu, Gustave Ansart, Georges Hage, Henri Fiévez (maire de Denain) et Alain Bocquet. Le film montre également des images de la grande marche des sidérurgistes lorrains à Paris le 23 mars 1979 et donne une idée de la violence des affrontements (et de la répression policière de cette journée).
La sidérurgie française est en crise depuis le milieu des années 1960 ; plus d'une vingtaine de hauts fourneaux ont fermé entre 1971 et 1975 et les suppressions d'emplois se comptent par dizaines de milliers. En 1979, le gouvernement Barre propose un plan de « sauvetage de la sidérurgie française » aux lourdes conséquences sociales :plus de 22 000 emplois sont voués à disparaître dans les bassins industriels de Longwy, Valenciennes, Denain... Le plan condamne les sites historiques de Longwy, comme l’usine de la Chiers qui passe, en 1976, de 5 hauts fourneaux et 3 600 salariés à 140 emplois en 1980.
"Ces spectaculaires suppressions d’emploi s’inscrivent également dans le plan Davignon qui, pensé à Bruxelles pour l’Europe de la CEE, prévoit la restructuration de la sidérurgie à l’échelle du continent – au détriment de la France et au relatif bénéfice de l’Allemagne occidentale (RFA).
(...) La CGT lance alors l’idée d’une « marche » sur Paris, le 23 mars 1979. Elle reçoit l’appui du PCF, du PS et du PSU, des enseignants de la FEN et de la JOC. « La marche pour la vie », comme la nomme Henri Krasucki, alors secrétaire confédéral, est méthodiquement et rigoureusement préparée par la confédération qui finance pour l’occasion une radio « pirate», Radio Lorraine Cœur d’Acier, radio qui connaîtra un grand succès (et une fin douloureuse). (...) La confédération dirigée par Georges Séguy souhaite également – ce sera un point de désaccord avec la CFDT – que cette mobilisation soit non seulement celle de tous les sidérurgistes mais aussi celles des populations concernées et des travailleurs de la région parisienne, aussi touchés par des plans de licenciements. 15 000 affiches sont accolées en région parisienne à cet effet et 1,2 millions de tracts distribués. 130 cars quittent la Lorraine et cinq trains spéciaux le Nord-Pas-de-Calais pour participer à la Marche. Près d’un millier de cars en tout va se diriger vers Paris et sa région. La région du Nord va même manquer de bus pour acheminer tous les manifestants. Environ 80 000 personnes vont ainsi affluer d’une large moitié de la France, accueillies par au moins autant de Parisiens. L’aspect « marche » de cette manifestation – qui s’inspire des « marches de la faim » organisées par la CGTU et le parti communiste au début des années trente - détermine l’organisation de la démonstration."
Les citations proviennent de l'article de Tangui Perron, "23 mars 1979 : grande Marche et basses manœuvres, 20 000 sidérurgistes au rebut" L'Humanité dimanche n°154, semaine du 26 mars au 1er avril 2009.
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
Ansart Gustave - Cheminée - Confédération Française Démocratique du Travail - Denain (59) - Longwy (54) - Lorraine - Manifestation - Meeting - Meurthe-et-Moselle (54) - Paris (75) - Porcu Antoine - Syndicat - Usine (bâtiment)
Ce film contient six courts sujets :
N° 1 Soirée photo du 26/1/1980
Reportage : Ce sujet n'a pas de titre propre, mais deux cartons :
1er carton : « En studio. Sonorisation du film ». Commentaire off : « Pour la première fois dans l'histoire des soirées photo, vous allez découvrir les coulisses, la préparation du film, la mise au point du fond sonore. Vous n'en verrez que quelques minutes car, si ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film contient six courts sujets :
N° 1 Soirée photo du 26/1/1980
Reportage : Ce sujet n'a pas de titre propre, mais deux cartons :
1er carton : « En studio. Sonorisation du film ». Commentaire off : « Pour la première fois dans l'histoire des soirées photo, vous allez découvrir les coulisses, la préparation du film, la mise au point du fond sonore. Vous n'en verrez que quelques minutes car, si vous êtes néophytes en la matière, eh bien dix minutes de projection représentent des dizaines d'heures de préparation. » Présentation de l'activité de montage et de sonorisation des films dans le studio du CE. Plans des appareils : projecteur S8, tourne-disque, tablette de mixage... Jean Gérard Gauthier et Alain Lambert aux manettes.
2nd carton : « En salle après la projection »
La salle est pleine. Les participants font une farandole sur la musique de la fanfare de l'ASLT, les Joyeux Lurons (avec leurs canotiers). Commentaire off : les images qui suivent « rappellent le millésime 79/80 avec le thème de la soirée : concours de costume ». Sur scène, JC Grasset et Daniel Menier, en costume blanc et nœud papillon, qui appelle les participants costumés à défiler devant les spectateurs. Farandole.
N° 2 : 8 mai 1945 35 ans après..
Reportage:
Temps venteux et couvert. Commentaire en voix off : « Les loisirs ont leur place chaque année dans la vie du CE, mais le souvenir aussi. C'est pourquoi, chaque année, et plus particulièrement tous les cinq ans, un émouvant hommage est rendu à nos camarades de travail morts pour la France ».
Entrée de l'usine, blason de la République française et drapeaux tricolores sont accrochés au fronton de l'usine. Plans des invités et des salariés de l'usine dans la cour, près du monument aux morts. Dépose de la gerbe de fleurs du CE par Jean Gérard Gauthier et Bernard Boyeldieu. Dépose de la gerbe de la cellule Paul Désormeaux du PCF par Dominique Maugars et Michel Barreau (Paul Desormeaux était responsable des FTP en Touraine, il a été fusillé en 1942, il était salarié de l'entreprise). Enfin, Philippe Brossillon et Pierrot Bottreau déposent la gerbe de la CGT.
Plan des dirigeants syndicaux et politiques : Pierre Bottreau, Patrick Montagner, Philippe Brossillon, Jean Gérard Gauthier, Bernard Boyeldieu, Dominique Maugars, Georges Raimbault, M. Barreau, Félicien Thuillier.
Intervention de JC Grasset, secrétaire du CE et d'Antoine Voisin, retraité ancien déporté, membre de la CGT et du PCF.
La foule des salariés écoute les interventions. Plans du drapeau, du monument aux morts, des noms des ouvriers de l'usine morts pour la France gravés dans la pierre du monument.
Musique : Le Chant des Partisans
Images : Max Coste.
N° 3 11 mai 80 Voyage surprise.
Reportage
Première étape de ce voyage sur le thème des fleurs : Chablis. Les groupes de salariés (en famille) entrent dans la salle des fêtes de Chablis pour petit-déjeuner. Un homme cueille des boutons d'or sur une pelouse. Les salariés regagnent les bus. Un chanteur anime le voyage à bord (Claude Boussiquet). Visite des jardins de Beaune. Les participants se promènent, photographient... Gros plans sur un cadran solaire, la famille Barreau, les jardins en fleur.
Étape déjeuner à La guerche sur l'Aubois. Panoramique sur les sept bus alignés à l'arrêt. Les salariés boivent une sangria dehors en apéritif, puis gagnent la grande salle du repas. Plans des tablées et travellings sur les convives. Etape suivante : Apremont. Visite du village médiéval, du château et du parc floral : Tulipes, massifs de fleurs, sieste, plan d'eau, canards, puits...
Retour à Chablis pour la dernière étape surprise : Diner spectacle avec deux chanteurs humoristes.
N° 4 Football. Finale Coupe....
Reportage
Plans du stade SNCF de St-Pierre-des-Corps. Matchs et joueurs, tirs, dribbles, passes et spectateurs... Commentaire off : « Un bon résultat pour les représentants de l'ASLT puisqu'ils remportent la coupe principale ». Longue table en plein air sur laquelle est servie le vin d'honneur. Joueurs, supporters et familles rassemblés. Mr Champion de la FSGT remet les coupes. Les joueurs boivent à même la coupe qu'ils ont remportée.
N° 5 15 juin 80 Rencontre Inter-Usine à Marçon.
Reportage
Le temps est venteux, le ciel est au gris. Commentaire off : « Il ne fait pas très chaud, mais lorsqu'on a pris un engagement, il faut le tenir. Aussi les participants des deux usines Cadoux se retrouvent (...) pour disputer les différentes disciplines des sports et loisirs ».
- Concours de pêche. Au bord de l'eau, les participants préparent leurs cannes. Beaux plans de pêche et de pêcheurs, Guy Pinon à l'accordéon. Plans de poissons attrapés, de bouchons et d'amorces. Une femme, assise dans l'herbe, tricote en surveillant la pêche. JC Grasset pêche...
- Football. Plans des joueurs, des actions et d'un but. Le fils Barreau est assis et applaudit.
- Boules. Plans de tir, de ramasse (avec un aimant). Gros plans des joueurs et des boules. Vin d'honneur en plein air. Les gagnants boivent dans leur coupe . Plans de M. Barreau, d'Elisabeth Maugars et de Modeste Blavin. Patrick Montagner annonce les résultats au micro.
La coupe tenue à bout de bras par un camarade (Molveau) de l'usine de St Denis de l'Hôtel, près d'Orléans.
Images : Dominique Maugars.
N° 6 Un bon coup de main
Fiction couleur muet 3 min
Le titre est écrit à la peinture noire sur un mur.
Quatre jardiniers se sont donnés rendez-vous pour labourer un jardin.
Montage parallèle : chaque jardinier se rend au rendez-vous.
L'un (?) arrive avec son solex et sa remorque, un autre attend assis en lisant le journal (Bonnin). Près de lui un réveil indique trois heures de l'après-midi.
Le troisième jardinier (M. Barreau) arrive avec sa fourche et le dernier (Jassemin) avec sa pelle. Les jardiniers se saluent, puis vont inspecter le travail a faire. Résolus, ils se préparent et empoignent leurs outils. Une bouteille est ouverte et ils se mettent... à jouer aux cartes. Le réveil indique 20 heures et ils jouent toujours.
Générique : « Cours Ciné du Club Photo présente.... Un bon coup de main »
Acteurs : Bonnin (1er jardinier), M. Barreau (2ème jardinier), Jassemin (3ème jardinier)
Générique : « Le Comité d’Établissement de la société des Ets. Cadoux présente...
Coup d’œil sur quelques activités. 80. »
Lieux et monuments : Studio du ciné-club photo, Usine Cadoux (entrée, monument aux morts), stade SNCF de St Pierre des Corps, Chablis (salle des fêtes), La guerche-sur-l'Aubois, Apremont, Marçon.
Personnalités : Jean Gérard Gauthier, Alain Lambert, la fanfare des Joyeux Lurons, JC Grasset, Daniel Menier, Bernard Boyeldieu, Paul Désormeaux (cellule PCF), Dominique Maugars, Michel Barreau, Philippe Brossillon, Pierre Bottreau (dit Pierrot), Patrick Montagner, Georges Raimbault, Félicien Thuillier, Antoine Voisin, Claude Boussiquet, famille Barreau, Mr Champion (FSGT), Guy Pinon, Elisabeth Maugars, Modeste Blavin, Molveau, Bonin, Jassemin.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Ciclic [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1980-ParisNiceEtL-260-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>766571https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/260 - PARIS-NICE ET LES TRAVAILLEURS D'ISSY, MARS 1980/Photos/CineA-1980-ParisNiceEtL-260-1.png/CineA-1980-ParisNiceEtL-260-1_1
Résumé
Un petit cortège de manifestants de l’entreprise Thomson-CSF s’invite sur le parcours et à l’arrivée de la course cycliste du « Paris-Nice »: plan rapproché sur une banderole « Prologue du 30ème Paris-Nice, le 6 mars 1980 à 14h à Issy-les-Moulineaux ».
Les éléments principaux sont :
- Vues diverses des manifestants se répartissant le long des barrières de sécurité, derrière lesquelles les premi ... [Voir la suite]
Résumé
Un petit cortège de manifestants de l’entreprise Thomson-CSF s’invite sur le parcours et à l’arrivée de la course cycliste du « Paris-Nice »: plan rapproché sur une banderole « Prologue du 30ème Paris-Nice, le 6 mars 1980 à 14h à Issy-les-Moulineaux ».
Les éléments principaux sont :
- Vues diverses des manifestants se répartissant le long des barrières de sécurité, derrière lesquelles les premiers coureurs cyclistes arrivent, de la circulation du cortège au milieu de la foule avec des pancartes et une caisse en carton « Thomson-CSF CGT-CFDT, ouverture de réelles négociations », une banderole « La métallurgie franco-belge, nous exigeons la garantie de l’emploi et du pouvoir d’achat ».
- Vues diverses des coureurs, des voitures des équipes, de l’arrivée de la course commentée par un monsieur au micro, de la distribution des prix et des maillots sur une petite estrade.
- Vues diverses de la logistique de cet évènement : voitures de police et policiers en service, présence des médias pour couvrir la course cycliste (équipements de radio et caméra de télévision).
Lieux: Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine, 92, Ile-de-France)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Compétition sportive - Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Cyclisme - Issy-les-Moulineaux (92) - Manifestation - Syndicat - Thomson
Voyage touristique effectué par une militante communiste en retraite, Andrée Joubert, au début des années 1980. Le film est majoritairement consacré à des vues de sites touristiques (Grande muraille, Cité interdite, temples), mais offre aussi un aperçu intéressant d'un pays en transition, entre tradition et modernité.
Le film s'ouvre par une visite sur la Grande Muraille de Chine, très fréquentée ... [Voir la suite]
Résumé
Voyage touristique effectué par une militante communiste en retraite, Andrée Joubert, au début des années 1980. Le film est majoritairement consacré à des vues de sites touristiques (Grande muraille, Cité interdite, temples), mais offre aussi un aperçu intéressant d'un pays en transition, entre tradition et modernité.
Le film s'ouvre par une visite sur la Grande Muraille de Chine, très fréquentée par les touristes chinois. Visite d'un temple puis des Treize tombeaux des empereurs Ming et de la voie des Esprits, bordée de statues d’animaux. A Pékin, visite de la place Tian'Anmen et de la Cité interdite. Les touristes sont majoritairement européens cette fois-ci.
La ville de Pékin est plongée dans le brouillard, comme le montre un panoramique pris depuis les toits. Le film montre une Chine en transition : d'un côté les habitants se déplacent exclusivement à vélo et en pousse-pousse, et sont vêtus très simplement d'un habit de coton bleu. Les maisons quant à elles sont basses et d'aspect traditionnel. De l'autre côté, la publicité fait son apparition sur des panneaux géants en ville, tandis de très hauts immeubles en béton font leur apparition. Une image, à la fin du film, résume ce contraste : on y voit, dans un port industriel, une jonque croiser un cargo. Le tourisme, important dans les sites les plus connus, est majoritairement chinois.
Les visites se poursuivent avec la visite du Palais d'été de Pékin. On aperçoit le lac de Kunming, traversé par le pont aux Dix-sept arches. C'est ensuite la visite du Temple du Ciel, toujours à Pékin. Le voyage se poursuit avec la visite du Mausolée Qian et ses soixante statues sans tête. A la sortie du site, de jeunes chinoises vendent aux touristes des grigris.
Une séquence se passe dans la campagne ; les paysans y ramassent les foins sous un panneau de basket.
Visite d'un nouveau lieu touristique, les bouddhas taillés dans la roche de Luoyang. Le voyage continue en train puis en bateau sur un lac. Dans un quartier de la ville, des jonques transportant des matériaux se suivent sur le fleuve. Le film se termine dans une ville, avec des scènes de rue, beaucoup de gens à vélo, et un port industriel.
Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Voyage au Vietnam en 1980 effectué par Elisabeth et Dominique Maugars, dans un pays qui, cinq ans après la fin du conflit avec les Etats-Unis, porte encore des traces profondes de la guerre (routes et ponts en ruines, carcasses de tanks américains...). Le tourisme n'échappe pas au souvenir de la guerre, comme en témoignent ces visites guidées à la découverte des cachettes et réseaux souterrains ut ... [Voir la suite]
Résumé
Voyage au Vietnam en 1980 effectué par Elisabeth et Dominique Maugars, dans un pays qui, cinq ans après la fin du conflit avec les Etats-Unis, porte encore des traces profondes de la guerre (routes et ponts en ruines, carcasses de tanks américains...). Le tourisme n'échappe pas au souvenir de la guerre, comme en témoignent ces visites guidées à la découverte des cachettes et réseaux souterrains utilisés dans la jungle par les combattants vietnamiens.
Beaucoup de scènes de rue dans les villes, les campagnes (reconstruction de routes et de digues, vie des paysans, éleveurs ou cultivateurs dans les rizières).
La solidarité avec le peuple vietnamien a été l'un des moteurs de l'engagement des jeunes communistes français tout au long des années 1970 ; ce film de voyage, réalisé par un cinéaste amateur ayant par ailleurs beaucoup filmé les manifestations en France contre la guerre du Vietnam, donne un aperçu de la vie d'un pays qui se relève d'un conflit de plus de dix ans.
Mots clés : Ho-Chi-Minh-Ville (Saigon), Hanoi, tank, guérilla, rizière
Lieu de consultation : Ciné-Archives
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Descripteurs
Avion - Char d'assaut - Guerre - Pont - Route - Ruine (guerre) - Temple - Thésaurus - Vietnam
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Résumé
Le 25 octobre 1981 à Paris, le Mouvement de la Paix organise une manifestation autour du mot d’ordre “Ni Pershing – ni SS20” et débouchera sur “l’Appel de Paris”.
Le film s'attarde sur les banderoles ("Marche de la jeunesse pour la paix et le désarmement" "Faites l'amour, pas la guerre", "Mon bébé, c'est plus beau qu'une bombe", "Non aux fusées américaines, oui à la paix"), slogans, badges, pins.. ... [Voir la suite]
Résumé
Le 25 octobre 1981 à Paris, le Mouvement de la Paix organise une manifestation autour du mot d’ordre “Ni Pershing – ni SS20” et débouchera sur “l’Appel de Paris”.
Le film s'attarde sur les banderoles ("Marche de la jeunesse pour la paix et le désarmement" "Faites l'amour, pas la guerre", "Mon bébé, c'est plus beau qu'une bombe", "Non aux fusées américaines, oui à la paix"), slogans, badges, pins... des manifestants.
On aperçoit des représentants de la CGT et de l'UNEF.
Un meeting a lieu sous la grande halle de la Villette.
Même s'il rassemblait au-delà des partis politiques (son secrétaire de l'époque était le journaliste chrétien Pierre-Luc Séguillon), le Mouvement de la paix eut de profondes ramifications au sein du PCF, et beaucoup de militants communistes furent aussi d'ardents militants pour la paix.
Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org1440108024<iframe width="1440" height="1080" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1982-MarcheDeLaPa-107-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>763574https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/107 - MARCHE DE LA PAIX, 20 JUIN 1982/Photos/107-Marche_Paix_1982-1.jpg/CineA-1982-MarcheDeLaPa-107-1_1
Résumé
Robert Laudereau livre un témoignage brut de la Marche pour la paix et le désarmement à Paris en juin 1982.
Une foule nombreuse et pacifiste dénonce les conflits en cours au Liban et en Palestine, ainsi que la course à l'armement réinitiée par le gouvernement Reagan avec la bombe à neutron. L'accent est mis sur l'internationalisme des participants (Européens, Orientaux), et les banderoles appellen ... [Voir la suite]
Résumé
Robert Laudereau livre un témoignage brut de la Marche pour la paix et le désarmement à Paris en juin 1982.
Une foule nombreuse et pacifiste dénonce les conflits en cours au Liban et en Palestine, ainsi que la course à l'armement réinitiée par le gouvernement Reagan avec la bombe à neutron. L'accent est mis sur l'internationalisme des participants (Européens, Orientaux), et les banderoles appellent à un monde solidaire et désarmé.
Une ambiance festive anime cette manifestation de Montparnasse à la place de la Bastille.
La Marche pour la paix et le désarmement est née de "L'appel des Cent", un collectif de personnalités politiques et intellectuelles (Albert Jacquard, Claude Pieplu, Georges Séguy...), qui, dans le contexte très marqué de la guerre froide, appelle à la négociation Est/Ouest et à la fin de la course aux armements. Ronald Reagan vient de relancer le développement de la bombe à neutrons. Juin 1982 voit également l'escalade de la violence entre Israël et le Liban. Suite à l'attentat contre l'ambassadeur d'Israël à Londres, l'armée israélienne bombarde les camps de l'OLP au sud Liban.
La Marche réunira plusieurs centaines de milliers de participants.
Lieux : Paris
Descripteurs : Désarmement, Guerre du Liban, Palestine, Israël
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
1947-1991 Guerre Froide - Armement militaire - Internationalisme - Manifestation - Marchais Georges - Pacifisme - Piéplu Claude - Séguy Georges
Ce film a été tourné à l'occasion de la Fête de l'Humanité 1983 par Dominique Maugars, militant syndical et communiste, ancien cheminot du Technicentre de la ville de Saint-Pierre des Corps, où il réside (Indre-et-Loire).
Deux jours à la Fête de l'Humanité, de stand en stand, au gré de la promenade. Le film débute par des unes de l'Humanité quotidienne et de l'Humanité dimanche : "Fête de l'Humani ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film a été tourné à l'occasion de la Fête de l'Humanité 1983 par Dominique Maugars, militant syndical et communiste, ancien cheminot du Technicentre de la ville de Saint-Pierre des Corps, où il réside (Indre-et-Loire).
Deux jours à la Fête de l'Humanité, de stand en stand, au gré de la promenade. Le film débute par des unes de l'Humanité quotidienne et de l'Humanité dimanche : "Fête de l'Humanité. Au Parc paysager de la Courneuve des 10 et 11 septembre "; "Vive la Fête" ; "500.000 personnes à Vincennes" ; "La Fête 83".
La visite de la Fête débute par le calicot du stand du Comité central et du Comité de défense des libertés et des droits de l'homme (créé par Georges Marchais en 1978).
Entrée dans le stand où discutent Marie-Claude Vaillant-Couturier et Étienne Fajon (directeur de l'Humanité ente 1958 et 1974). La foule est assemblée pour écouter le discours de Georges Marchais. La caméra zoome sur une affiche surplombant le stand : "Notre combat pour les droits de l'homme". Travelling arrière permettant de voir le tableau de Pablo Picasso : "Guernica"
Stand de la technologie où un robot allume une cigarette, un autre manipule des objets. Arrêt au "télémanipulateur Mat 1 pour tétraplégiques"
Retour au stand précédent : Portrait de Karl Marx et toile de Fernand Léger
Arrivée du Cross de l'Humanité à la Fête. Sculpteur sur bois exécutant un buste à la hache. Henri Krasucki discutant avec deux militants. Discours de Roland Leroy devant une foule nombreuse.
Déambulation à travers les stands de la Cité Internationale : Stands du Sahara Libre ; d' All Wattar ;
d'Afghanistan ; de "La Voix du Kamerun" surmonté d'une banderole "Hommage à Ruben um Nyobe" (leader camerounais, précurseur des indépendances en Afrique francophone, assassiné le 13 septembre 1958) ; de la République Démocratique Populaire Lao ; du Parti communiste d'Irak devant lequel danse un groupe folklorique ; dans une allée deux funambules font des acrobaties ; stands du Kurdistan et du Parti communiste chinois.
Stand de vente de posters dont le slogan est inspiré de l'affiche "Marx est mort. Mon œil" "Il n'est pas mort, il est en vente ici"
Espace moto : course de moto-cross. La première journée se termine sur un manège. Arrivée le dimanche matin. a l'entrée l'affiche "Avec l'Humanité s'informer autrement". Stand "La Sécu c'est la vie" suivi de celui de l'Amitié franco-coréenne et d'un autre offrant une super tombola à l'effigie de Pif et Hercule.
La grande scène encore vide à cette heure de la journée, le stand de l'Indre-et-Loire, mur d'escalade, défilé de majorettes accompagné de la fanfare.
Discours traditionnel du dimanche après-midi de Georges Marchais entouré sur scène par les membres du Comité central. La foule écoute attentivement. A la fin du discours la foule et la scène entonne l'Internationale (poings levés)
Lieu : Parc Paysager de la Courneuve (93)
Personnalités : Georges Marchais, Roland Leroy, Henri Krasucki, Marie-Claude Vaillant-Couturier, Étienne Fajon, Fernand Léger, Pablo Picasso
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis, Forum des images [Réduire]
Descripteurs
Fajon Étienne - Krasucki Henri - L'Humanité (fête de) - L'Humanité (journal) - L'Humanité Dimanche (magazine) - Leroy Roland - Marchais Georges - Picasso Pablo - Thésaurus - Vaillant-Couturier Marie-Claude
Document constitué de 4 sujets :
1/ 1er mai 1983
2/ Fête de la Paix-Vincennes 19 juin 1983
3/ Avant la Fête de l’Humanité 1983
4/ Manifestation sur les retraites, 23 mai 1983
Sur ces quatre documents amateurs bruts de durées très diverses tournés au printemps 1983, le plus bref est consacré au montage d'un stand pour la fête de l'Humanité. Le premier et et le dernier suivent deux manifestations ... [Voir la suite]
Résumé
Document constitué de 4 sujets :
1/ 1er mai 1983
2/ Fête de la Paix-Vincennes 19 juin 1983
3/ Avant la Fête de l’Humanité 1983
4/ Manifestation sur les retraites, 23 mai 1983
Sur ces quatre documents amateurs bruts de durées très diverses tournés au printemps 1983, le plus bref est consacré au montage d'un stand pour la fête de l'Humanité. Le premier et et le dernier suivent deux manifestations : un 1er mai qui met clairement l'accent sur la paix et le désarmement (la Marche pour la paix se déroulera 1 mois après) et une manifestation de retraités. Peu de revendications politiques ou sociales apparaissent sur les images de ce premier mai 1983 alors que s'amorce pourtant le "tournant de la rigueur". La manifestation sur les retraites se déroule dans le contexte de la baisse de l'âge de la retraite à 60 ans (en février 1983), mais cette décision pèse sur la Sécurité sociale.
Le second document s'attache à la Marche pour la paix et le désarmement, manifestation pacifiste et internationaliste répondant à l'Appel des Cent, un collectif de personnalités diverses (Albert Jacquard, Georges Séguy, Hervé Bazin, Claude Piéplu...). La Marche débute par une manifestation classique et se termine au Bois de Vincennes autour d'une scène de concerts et interventions politiques.
Lieux : Paris, Place de la République, Place du Palais royal, Place de la Nation, Bois de Vincennes
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Journée internationale des travailleurs et travailleuses - L'Humanité (fête de) - Manifestation - Militantisme - Pacifisme - Paris (75) - Piéplu Claude - Thésaurus - Troisième âge