Film amateur sur le conflit social chez le fabricant de téléviseurs Grandin à Montreuil-sous-Bois en 1975, lutte menée en très grande majorité par des femmes.
Assemblage de plusieurs bobineaux amateurs tournés par des grévistes.
Parmi les grévistes, on reconnaît les déléguées syndicales Evelyne Vanderheym et Mathilde Angeloni, figures de la lutte des Grandin. On aperçoit également le maire de Mon ... [Voir la suite]
Résumé
Film amateur sur le conflit social chez le fabricant de téléviseurs Grandin à Montreuil-sous-Bois en 1975, lutte menée en très grande majorité par des femmes.
Assemblage de plusieurs bobineaux amateurs tournés par des grévistes.
Parmi les grévistes, on reconnaît les déléguées syndicales Evelyne Vanderheym et Mathilde Angeloni, figures de la lutte des Grandin. On aperçoit également le maire de Montreuil Marcel Dufriche, qui soutient les grévistes.
Ballade au Puces de Montreuil, action de lutte et manifestation syndicale, l'exposition ORT (18 au 27 juin) et discussion avec Lionel Stoleru, Secrétaire d'état chargé de la condition des travailleurs manuels.
Vues diverses dans les rues de Montreuil, vues de personnes depuis des fenêtres, dans un appartement, piquet de grève et occupation de l'usine Grandin, Marc à Montreuil, fête du 14 juillet 1975, et bal du PCF
Vues diverses dans les rues de Montreuil, vues de personnes depuis des fenêtres, dans un appartement,piquet de grève et occupation de l'usine Grandin, Marc à Montreuil, fête du 14 juillet 1975, et bal du PCF
Manifestation syndicale à Paris, dont des salariés d'entreprises de Seine-Saint-Denis (tournage du 07/10/1975)
Délégation de la section syndicale CGT d'Artelec (ex-Grandin), plusieurs manifestations dont celle devant la Préfecture à Bobigny, à Montreuil-sous-Bois (07/10/1975)
Manifestation des salariés en grève de l'usine Grandin dans la rue pour populariser leur action, manifestation syndicale Place de la République à Paris (le 23)
Manifestation syndicale à Paris. Un manifestant porte un masque représentant Valéry Giscard d'Estaing, vue d'une banderole Chaix
Manifestation de salariés, "enterrement" du Plan Barre
Scènes de vie quotidienne dans l'usine Grandin occupée par les salariés grévistes.
Grandin était la Société française de radio et de Télévision (SFRT, production et construction) située rue Marceau, à Montreuil-sous- Bois. Dès 1963, la société décide de réduire ses effectifs de 15 % en supprimant 150 emplois. Après rachat de 50% de l'entreprise par Thomson en 1974, Grandin dépose son bilan et se trouve en liquidation judiciaire ; elle doit fermer le 12 décembre 1974. Le 13 décembre 1974, les salariés se mettent en grève et occupent l'usine.
Durant l'occupation de l'usine, les salariés multiplient les actions : occupation du stand de la Thomson au salon des arts ménagers, du siège de la Thomson, journées porte ouverte, occupation des locaux de IT1 rue Cognacq-Jay, auto-invitation chez Françaoise Giroud, secrétaire d'Etat à la condition féminine. L'entreprise Grandin reçaoit en août 1975 une aide de l'Etat afin de redémarrer l'activité avec un nouveau repreneur, Artelec. Le 8 octobre 1975, un protocole d'accord est signé et l'activité redémarre le 13 octobre 1975. Un an plus tard les emplois sont à nouveau menacés chez Artelec et l'entreprise fermera définitivement fin 1976.
Au delà des problèmes de sauvegarde de l'emploi, l'occupation de l'usine aura mis en lumière les difficultés de travail de cette main d'oeuvre féminine non qualifiée et sous payée (O.S. travaillant à la chaîne).
Dans son témoignage, Mathilde Angeloni raconte les difficultés et la pénibilité du travail chez Grandin :
- travail à la chaîne, cadences impossibles à tenir
- faibles salaires, obligeant les femmes à une activité importante à leur domicile (couture)
- un besoin ressenti par les femmes d'un travail qualifié qui n'existait pas dans l'entreprise
- une attitude extrêmement dure des contremaîtres et donc une tension nerveuse et une pénibilité physique importante
L'entreprise Grandin est rachetée par Thomson en 1974 et la fermeture de l'usine de Montreuil-sous-Bois est annoncée pour décembre 1974. Une première occupation des locaux est votée le 13 février 1974. Des cahiers de revendications sont élaborés durant l'occupation : ils reprennent essentiellement les problèmes liés aux conditions de travail. Elle décrit aussi les actions menées pendant ce conflit et les initiatives faites à l'intérieur même de l'entreprise (bals, journées portes ouvertes). Après 9 mois d'occupation réouverture de l'entreprise en octobre 1975, mais les débouchés restent fermés. La fermeture définitive intervient en 1976 et difficultés pour les femmes de retrouver du travail
Mathilde Angeloni fut militante du PCF et responsable de la cellule d'entreprise, puis comme conseillère municipale de Montreuil en 1977. (source : entretien de Mathilde Angeloni par les Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis, 2000)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Banlieue - Grève - Manifestation - Montreuil (93) - Travail des femmes - Usine (bâtiment)
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1976-1028-AProposImage-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>500353https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/1028 - A PROPOS D UNE IMAGE COLLECTIVE/CineA-1976-1028-AProposImage-2.png/CineA-1976-1028-AProposImage-1_1
Résumé
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
Le commentaire rappelle en off ... [Voir la suite]
Résumé
En septembre 1976, la Maison de la Culture de Grenoble invite l'artiste Ernest Pignon-Ernest à animer un stage de sérigraphie avec des travailleurs de l'industrie de la région. Ce film retrace l'élaboration de cette œuvre collective sur le thème du corps meurtri par le travail, et montre sa diffusion - éphémère - sur les murs de la ville et des usines des environs.
Le commentaire rappelle en off certaines œuvres crées précédemment par Ernest Pignon-Ernest. Il s'agissait à chaque fois d'affiches sérigraphiées représentant des corps humains grandeur nature, placardées dans les rues des villes de France. Tour d'horizon des différentes déclinaisons de cette œuvre : la Commune de Paris, les accidents du travail, les immigrés, Maiakovski, l'Apartheid...
En 1976, la Maison de la culture de Grenoble invite Ernest Pignon-Ernest à animer pendant quinze jours un atelier. "L’atelier comprend l'apprentissage de la sérigraphie et une réflexion collective sur la production d'une image, de sa conception à sa diffusion." précise le commentaire.
Grenoble est une ville profondément industrielle, comme en témoignent les images du début et leurs cheminées d'usines crachant de la fumée. Ce n'est donc pas par hasard si le thème retenu par les participants au stage, qui travaillent dans ces mêmes usines, est les nuisances liées au travail (bruit, accidents, cadences...) L'affiche produite à l'issue de l'atelier montrera donc un homme dont le corps subit plusieurs altérations (organes atrophiés, tête éclatée par le bruit, chronomètres mitrailleurs).
Le film montre la fabrication de l'écran de sérigraphie puis l'impression des affiches, tandis qu'une longue séquence finale, au son de chansons revendicatives, montre ces affiches placardées sur les murs et sur les grilles des sites industriels de la ville - façon de rendre visible à l'extérieur la souffrance qui se cache dans ces lieux. "Les affiches réalisées avaient été placardées durant la nuit sur les murs de plusieurs usines de Grenoble, Echirolles, Pont de Claix. Elles n'y sont d'ailleurs pas restées longtemps." (courrier de J-F.Rajau, décembre 2015)
Ce film amateur a été réalisé collectivement par les travailleurs CGT participant au stage. Les prises de vue et le montage ont été effectués par Jean-François Rajau, qui a coordonné le film avec Marie-Madeleine Rajau (alors militante CGT chez Renault-Grenoble).
Mots clés : éducation populaire, sérigraphie, souffrance au travail, accidents du travail
Lieu de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
Affiche - Condition de travail - Dessin (art) - Grenoble (38) - Métier artistique - Thésaurus - Usine (bâtiment)
Ce film rend compte de la fête de l'Humanité organisée à Bassens en Gironde en 1977.
Les images montrent les allées de la fête, où les passants sont nombreux. Une femme s'amuse avec un bébé sur les genoux près des stands. Sur la scène, se succèdent un discours et un concert. Les spectateurs applaudissent.
Grand moment de sociabilité communiste, la fête de l'Humanité, d’envergure nationale, se dé ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film rend compte de la fête de l'Humanité organisée à Bassens en Gironde en 1977.
Les images montrent les allées de la fête, où les passants sont nombreux. Une femme s'amuse avec un bébé sur les genoux près des stands. Sur la scène, se succèdent un discours et un concert. Les spectateurs applaudissent.
Grand moment de sociabilité communiste, la fête de l'Humanité, d’envergure nationale, se déroule depuis sa création, en 1930, en région parisienne. En plus de celle-ci, un certain nombre de fêtes de l'Humanité locales sont organisées, comme ici, à Bassens. Commune de la banlieue bordelaise, Bassens est le principal site du port maritime et fluvial de Bordeaux.
Paul Lecocq (né en 1936), a été, dès 1962, ouvrier à l'Atelier de l'aéronautique de Bordeaux ; syndicaliste très actif à la CGT, il est entré au PCF en 1970. Il a filmé en amateur différents moments de sa vie professionnelle et militante.
Mots clés : Bassens, Gironde, Aquitaine - Fête de l'Humanité, discours, chanteur, concert, bébé. [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1977-Manif1erDece-685-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>763571https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/685 - MANIFESTATION DU 1ER DECEMBRE 1977/CineA-1977-Manif1erDece-685-1.png/CineA-1977-Manif1erDece-685-1_1
Résumé
Gare de Tours, manifestants dans la gare de Tours, banderole Cadoux cheminots, manif en gare, manif devant la gare, place du Ct Tulasme, arrivée des Cadoux, banderole de l’UD CGT, le bus de l’UD, « vivre et travailler en Touraine », banderole VOYER , les Cadoux ,
Plan sur manifestants Cadoux, vue générale du défilé, banderole Cadoux, arrivée au pont de Pierre.
Note : Ce film n’a pas de titre prop ... [Voir la suite]
Résumé
Gare de Tours, manifestants dans la gare de Tours, banderole Cadoux cheminots, manif en gare, manif devant la gare, place du Ct Tulasme, arrivée des Cadoux, banderole de l’UD CGT, le bus de l’UD, « vivre et travailler en Touraine », banderole VOYER , les Cadoux ,
Plan sur manifestants Cadoux, vue générale du défilé, banderole Cadoux, arrivée au pont de Pierre.
Note : Ce film n’a pas de titre propre.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Ciclic [Réduire]
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1977-1erMaiManifE-687-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>760575https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/687 - 1ER MAI, MANIFESTATION CADOUX POUR L'EMPLOI/CineA-1977-1erMaiManifE-687-1.png/CineA-1977-1erMaiManifE-687-1_1
Résumé
Ce film n’a pas de titre propre.
Peut être daté du 1er mai, (1977 ou 1978 ?) Super 8, couleur, muet, 5mn.
Images : Elisabeth Maugars et Dominique Maugars. Film appartenant à Dominique Maugars.
Manifestants, panneau avec mots d’ordre Cadoux : oui a l’affiliation des Cadoux à la SNCF.
Des pancartes, des manifestants, bouquet de muguet a la boutonnière qui permet de dater un 1er mai.
Prise de paro ... [Voir la suite]
Résumé
Ce film n’a pas de titre propre.
Peut être daté du 1er mai, (1977 ou 1978 ?) Super 8, couleur, muet, 5mn.
Images : Elisabeth Maugars et Dominique Maugars. Film appartenant à Dominique Maugars.
Manifestants, panneau avec mots d’ordre Cadoux : oui a l’affiliation des Cadoux à la SNCF.
Des pancartes, des manifestants, bouquet de muguet a la boutonnière qui permet de dater un 1er mai.
Prise de parole de Jean Gardère, secrétaire général de l’UD 37.
Départ d’une manifestation devant chez Cadoux.
Devant la mairie de St Pierre des Corps. (Est-ce la manifestation du 30 mars 1977 ? pas sur puisque avant il y a une manifestation du 1er mai.
Il semble que c’est un autre jour pour les plans suivants : modèle réduit de la voiture devant la porte de l’usine, préparation pour le départ d’une manifestation. (On me voit en train de filmer)
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Ciclic [Réduire]
Descripteurs
Journée internationale des travailleurs et travailleuses - Manifestation - Saint-Pierre-des-Corps (37)
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1979-ManifAuSiege-282-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>760572https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/282 - MANIFESTATION AU SIEGE DE LA THOMSON, MANIFESTATION DU PARIS NICE/Photos/282-Manifestation_Thomson-1.jpg/CineA-1979-ManifAuSiege-282-1_1
Résumé
Robert Laudereau présente l'une des manifestations importantes de l'entreprise Thomson CSF le 22 novembre 1979 dans laquelle il était alors employé. Ce rassemblement a mobilisé de très nombreux salariés venus de tous les sites de la région parisienne y compris des sites de province (Bagneux, Fleury-Les-Aubrais, Brest, ...). Les revendications sociales sont précises et concernent l'ensemble de l'e ... [Voir la suite]
Résumé
Robert Laudereau présente l'une des manifestations importantes de l'entreprise Thomson CSF le 22 novembre 1979 dans laquelle il était alors employé. Ce rassemblement a mobilisé de très nombreux salariés venus de tous les sites de la région parisienne y compris des sites de province (Bagneux, Fleury-Les-Aubrais, Brest, ...). Les revendications sociales sont précises et concernent l'ensemble de l'entreprise, d'où cette grande mobilisation et une union des syndicats CGT et CFDT sur les banderoles. Robert Laudereau filme une manifestation sereine et motivée.
Les éléments principaux du film sont:
- Des vues générales sur la mobilisation et des plans rapprochés sur les manifestants. Certains manifestants reconnaissent leur collègue Robert Laudereau, saluent ou sourient facilement à sa caméra; plans de bus remplis de manifestants; plan rapproché sur un salarié faisant un petit discours, juché sur le toit d’une station de bus;
- Des plans permettant de situer l’itinéraire de la manifestation : peinture au sol « Tous à 11h30 à Saint-Augustin CGT Paris le 22 / 11/ 79 », défilé devant les façades des grands magasins boulevard Haussmann et les abords de La Madeleine, un salarié debout sur le toit de l’arrêt de bus « Friedland-Haussmann » devant le siège de Thomson (PR sur la plaque « Thomson-Brandt et Thomson-CSF »);
- Des vues plus précises sur la variété et multitude des banderoles, des pancartes et des revendications « 5ème semaine de C. P. (= congés payés), 35 h maxi, 450 F et 2, 5%, [....] », sur une estafette Renault « Thomson peut payer », sur une pancarte « Du temps pour vivre ». Les premières images du film indique la banderole du site de travail de Robert Laudereau « Thomson CSF-Issy-les Moulineaux, les travailleurs du centre Gyunemer en lutte [....] CFDT-CGT » suivi d'un très gros plan sur l'appel à mobilisation « Tous à Haussman le jeudi 22 ».
- Plans sur le public qui observe la manifestation (gens aux fenêtres et balcons, photographe équipé d’un appareil au long objectif).
Lieux: Paris
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Archives départementales de la Seine-Saint-Denis [Réduire]
Descripteurs
Confédération Française Démocratique du Travail - Confédération Générale du Travail - Conquêtes sociales (congés payés, retraites, pouvoir d'achat...) - Manifestation - Paris (75) - Syndicat - Thomson
video1.0diazinteregiohttp://diazinteregio.orgdiazcinearchiveshttps://www.cinearchives.org32024025<iframe width="320" height="240" src="https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/embed/CineA-1979-VisiteSotrai-713-1_1?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen allow="autoplay; fullscreen"></iframe>765574https://diazcinearchives.oembed.diazinteregio.org/photos/713 - VISITE DE LA SOTRAIP/CineA-1979-VisiteSotrai-713-1.png/CineA-1979-VisiteSotrai-713-1_1
Résumé
Départ de l’usine Cadoux, sortie de l’atelier, sortie de l’usine et direction de la Sotraip en passant Rue des Ateliers, gros plans vers la Sotraip, arrivée a la Sotraip, entrée a la Sotraip, ouverture des portes, entrée dans le bâtiment, dans la cours de l’usine, dans le bâtiment, retour dans la cours de la Sotraip et explication de Pierrot Bottreau des but de cette action de visite. Gros plans d ... [Voir la suite]
Résumé
Départ de l’usine Cadoux, sortie de l’atelier, sortie de l’usine et direction de la Sotraip en passant Rue des Ateliers, gros plans vers la Sotraip, arrivée a la Sotraip, entrée a la Sotraip, ouverture des portes, entrée dans le bâtiment, dans la cours de l’usine, dans le bâtiment, retour dans la cours de la Sotraip et explication de Pierrot Bottreau des but de cette action de visite. Gros plans des salariés qui écoutent, retour vers l’usine Cadoux.
Commentaires : L’usine de la Sotraip était anciennement un atelier Sncf qui a fermé. Elle était louée a l’entreprise Sotraip qui a fermée et licenciés les salariés .Les terrains et les bâtiments appartenaient a la SNCF. Les propositions syndicales intégraient ce site pour développer l’activité. La ville de St Pierre des Corps avait acheté les terrains de façon conservatoire. Lors de la journée porte ouverte, le 05 mai 1979, le Pcf (Dominique Maugars secrétaire de la cellule Paul Désormeaux de Cadoux) a pris la parole dans ce secteur, en présence de Jacques Bruhne, député PCF.
Lorsque la victoire de l’intégration du personnel a été acquise, la municipalité à vendu une partie des terrains a l’entreprise de transport TERY et a conservé l’autre pour ses ateliers municipaux et des services techniques.
Lors des journées parlementaires du 28 et 29 septembre 2004 a St Pierre des Corps, nous avons offert un DVD « Rue des Ateliers » a J Bruhne en souvenir de son soutien. Il a répondu le petit mot de sympathie ci-joint.
Ce film n’a pas de titre propre.
Lieux de consultation : Ciné-Archives, Ciclic [Réduire]
Voyage organisé à Moscou au printemps 1979, filmé par le militant communiste Gilbert Séché.
Après des vues de l'aéroport, le film consacre une longue séquence à la place rouge et à l'attente devant le mausolée de Lénine. La foule assiste à la relève de la garde à l'entrée du bâtiment. La place rouge est montrée sous tous ses angles, côté Kremlin et côté cathédrale. Le Kremlin fait l'objet de nomb ... [Voir la suite]
Résumé
Voyage organisé à Moscou au printemps 1979, filmé par le militant communiste Gilbert Séché.
Après des vues de l'aéroport, le film consacre une longue séquence à la place rouge et à l'attente devant le mausolée de Lénine. La foule assiste à la relève de la garde à l'entrée du bâtiment. La place rouge est montrée sous tous ses angles, côté Kremlin et côté cathédrale. Le Kremlin fait l'objet de nombreux plans : le canon, les dômes, la cloche cassée.
La visite suivante est celle de l'Exposition des réalisations de l'économie nationale de l'URSS (VDNKh), vaste parc des expositions mettant en avant les réalisations technologiques et scientifiques soviétiques. Le pavillon Cosmos, qui expose différentes fusées (Vostok), réacteurs, et capsules lunaires est très prisé des cinéastes amateurs, puisqu'on retrouve des vues de celui-ci dans ce film et dans un autre film amateur de Luc Biéret.
La suite est consacrée à des vues de différents lieux de Moscou (rues, parcs, fleuve Moskova) encore partiellement enneigés. Le groupe croise une voiture décorée pour un mariage. Quelques séquences sont tournées dans le métro. A part une fresque représentant Lénine, le film révèle assez peu de symboles communistes dans la ville.
Le plan final montre les étoiles rouges du Kremlin brillant dans la nuit.
Lieux de consultation : Ciné-Archives [Réduire]
Descripteurs
1922-1991 URSS - Moscou (ville) - Regards sur l'URSS et les pays de l'Est - Russie